A l’aéroport de Poznan, j’ai retrouvé Pascal Lagriffoul qui, comme moi, se retrouvait sans bagages. L’astucieuse Lufthansa sait bien qu’en moins de 40 minutes de transit à Munich, elle ne peut pas faire suivre les bagages d’un avion à l’autre puisque nous, en tant que passagers, il nous faut arpenter des kilomètres de couloirs, en courant comme des dératés, pour espérer "attraper" la correspondance. Mais au départ, en chafouine, elle fait comme si il n’y avait pas de problème.