Roger,
Voilà que tu es parti, discrètement, au début de ce mois de février.
Voilà que je me sens mal d’avoir remis plusieurs fois d’aller te voir. La dernière fois que nous nous sommes parlé, c’était au téléphone et je t’avais dit mon désir de te rendre visite. Je me sens aujourd’hui comme un fils prodigue qui n’aurait pas assuré la fin de l’histoire...
Car, pour moi, tu étais un peu mon " père de cinéma ".
Lors de ta nomination et de celle de Maurice comme membre d’honneur de notre association, j’avais écrit dans notre Lettre que (...)