Céline Bozon

Direction de la photographie

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Articles (30)

Entretien avec la directrice de la photographie Céline Bozon, AFC

Propos et entretiens

Exposure, le magazine en langue anglaise de Fujifilm, a publié, dans son n° 19 (Automne 2010), un entretien avec la directrice de la photographie Céline Bozon, AFC, dans lequel elle évoque ses débuts et parle de sa façon de travailler dans le cinéma d’aujourd’hui.
Elle fait part également de ses expériences avec les pellicules Fuji Eterna et Eterna Vivid, et de la façon dont elle envisage les nouveaux outils.

  • Lire une traduction de cet entretien, avec l’aimable autorisation de Fujifilm France que l’on remercie.

Exposition du dernier travail photographique de Céline Bozon, AFC, et Nicolas Gaurin, AFC, à la Galerie L77

Expositions et Musées

La Galerie L77, conçue et fondée par Franck David et David Nissen, AFC, est un nouveau lieu exclusivement dédié à la photographie contemporaine. Du 16 février au 20 mai 2023, les directrice et directeur de la photographie Céline Bozon, AFC, et Nicolas Gaurin, AFC, exposent les dernières de leurs œuvres sous les titres "Les funambules", pour la première, et "Depuis si longtemps, le soleil glisse au loin", pour le deuxième.

Entretien avec la directrice de la photographie Céline Bozon, AFC, à propos du film "L’Autre monde" de Gilles Marchand
En Sélection officielle du Festival de Cannes 2010, Séance de minuit

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Céline Bozon a travaillé à plusieurs reprises avec Jean-Paul Civeyrac et aussi avec Cédric Khan, Tony Gatlif et son frère, Serge Bozon. Très liée au jeune cinéma français, elle assoit désormais son expérience de directrice de la photographie en signant l’image d’une vingtaine de longs métrages.
Scénariste de Dominik Moll pour Harry, un ami qui vous veut du bien et pour Lemming, Gilles Marchand a réalisé en 1993 un premier long métrage Qui a tué Bambi. C’est une première collaboration pour Céline Bozon sur ce thriller L’Autre monde, hors compétition à Cannes en Séance de minuit.
Nous avions déjà rencontré Céline l’an dernier pour le film d’Axelle Ropert La Famille Wolberg, sélectionné à la Quinzaine des Réalisateurs.

80e édition de la Mostra de Venise Céline Bozon, AFC, revient sur le tournage de "Sidonie au Japon", d’Élise Girard
"Sidonie vide son sac", par François Reumont

Le Festival de Venise 2023 - 80e édition

Partie visiter le Japon à l’invitation de son éditeur, une grande écrivaine française voit son passé resurgir au pays du Soleil-levant. C’est Isabelle Huppert qui endosse le rôle de ce film signé Élise Girard (Drôles d’oiseaux, Belleville Tokyo). Entre lieux iconiques, paysages de cartes postales et hôtels de luxe, le voyage de Sidonie se transforme peu à peu dans une ambiance fantastique où le fantôme de son mari défunt vient lui tenir compagnie. Céline Bozon, AFC, est aux manettes de l’image et vient nous partager son expérience d’un tournage au pays de Mizoguchi. Un film en sélection à la 80e Mostra de Venise où il est projeté le mercredi 30 août dans la section parallèle "Journées des Auteurs". (FR)

Céline Bozon, passer la frontière
Par Ariane Damain Vergallo pour Ernst Leitz Wetzlar

Portraits de directeurs de la photographie dans l’optique de Leitz

Quand la conseillère d’orientation de son lycée de Lyon lui avait dit d’une manière un peu péremptoire qu’il ne fallait pas choisir un métier dans la photographie car c’était se choisir une vie sans travail, sans argent, sans horizon, bref une vie de bohémienne, cela avait interloqué Céline Bozon du haut de ses 14 ans. Ses parents, tous deux professeurs, lui disaient alors – dans une veine post-soixante-huitarde – exactement l’inverse : « Fais ce qui te plaît, ce qui te passionne ».

La directrice de la photographie Céline Bozon, AFC, parle de son travail sur la série Netflix "Grégory"
Loin des images d’Epinal

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Pour écrire la trame narrative et superviser la mise en scène de la série documentaire "Gregory" (adaptée de l’affaire Villemin), Netflix a fait appel au réalisateur de fiction Gilles Marchand (Qui a tué Bambi ?, L’Autre monde, Dans la forêt). Une volonté éditoriale fictionnelle, que ce soit pour la mise en scène ou pour l’image. C’est Céline Bozon, AFC, qui signe la photographie, comme colonne vertébrale du projet, d’une série d’entretiens très audacieux en lumière. Egalement à retenir, le remarquable travail de montage et d’exploitation des archives (parfois inédites) comme des photos d’époque, dont la texture va encore dans le sens du long métrage de fiction plutôt que vers les canons du documentaire TV hexagonal (FR).

Articles (30)

La directrice de la photographie Céline Bozon, AFC, parle de son travail sur "Tip Top", de Serge Bozon

Les entretiens au Festival de Cannes

Céline Bozon a éclairé le film de son frère Serge Bozon, La France, qui avait obtenu le prix Jean Vigo en 2007. Tip Top est le quatrième long métrage de Serge. Céline a travaillé au côté de Tony Gatlif (Exils, Transylvania) et de Jean-Paul Civeyrac (Toutes ces belles promesses, Tristesse beau visage, A travers la forêt). Elle nous livre ici un texte personnel relatant la démarche photographique particulière pour ce film en sélection à la Quinzaine des réalisateurs. (BB)

Céline Bozon parle de son travail sur "La France" et "Un homme perdu"

Entretiens avec des directeurs de la photographie

En sortant de La fémis en 1999, Celine Bozon débute avec Jean-Paul Civeyrac sur un film fait de manière très libre, avec très peu d’argent, une équipe toute petite et en vidéo. Cela a donné Fantômes, un long métrage qui est sorti en salle. Ensuite il y a eu Le Doux amour des hommes et Toutes ces belles promesses. Parallèlement, elle tourne un moyen métrage Mods avec son frère Serge Bozon, puis deux films de Tony Gatlif (Exils et Transylvania). En 2007, la Quinzaine des réalisateurs a sélectionné deux films dont elle a fait l’image : La France, le second long métrage de son frère, et Un homme perdu de la cinéaste libanaise Danielle Arbid.

Robert Alazraki présente Céline Bozon

Nouveaux venus à l’AFC

J’ai rencontré Céline Bozon au cours d’un voyage à Beaune, nous étions deux des invités de Fuji pour participer aux Rencontres de l’ARP. J’ai suivi son parcours depuis, et quand j’ai eu besoin de renseignements sur une pellicule particulière (Kodak 5299), elle m’a aidé avec ses essais (et un œil très fin).
C’est exactement ce que j’espère d’un collègue, j’ai donc pensé qu’elle pourrait en aider d’autres et je suis content de l’accueillir parmi nous.

Eric Gautier présente Céline Bozon

Nouveaux venus à l’AFC

Je connais le travail de Céline depuis un film de Jean-Paul Civeyrac, Le Doux amour des hommes (2002). Je me souviens d’une image très structurée et classique, mais aussi élégante et sensuelle (comme chez Bresson). Le film a été tourné en vidéo, en format Beta numérique à l’époque ; tant de " Cinéma " dans l’image électronique me semblait une prouesse…

Cinematographer Céline Bozon talks about his work on "La France" and "Un homme perdu" ("A Lost Man")
interview by François Reumont

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Upon graduating from the Femis in 1999, Celine Bozon made her debut with Jean-Paul Civeyrac on Fantômes, a low-budget film freely shot on video with a tiny crew. The result, feature film Fantômes, was given a theatrical release. Then came Le Doux amour des hommes (Man’s Gentle Love) and Toutes ces belles promesses (All the Fine Promises). At the same time, she shot medium-length Mods with her brother Serge Bozon, then two films by Tony Gatlif (Exils (Exiles) and Transylvania). In 2007, two of the films she photographed were selected in the Quinzaine des réalisateurs : her brother’s second feature La France and Lebanese Danielle Arbid’s Un homme perdu (A Lost Man).

Céline Bozon parle de son travail sur "La France" et "Un homme perdu"

Entretiens avec des directeurs de la photographie

En sortant de La fémis en 1999, Celine Bozon débute avec Jean-Paul Civeyrac sur un film fait de manière très libre, avec très peu d’argent, une équipe toute petite et en vidéo. Cela a donné Fantômes, un long métrage qui est sorti en salle. Ensuite il y a eu Le Doux amour des hommes et Toutes ces belles promesses.
Parallèlement, elle tourne un moyen métrage Mods avec son frère Serge Bozon, puis deux films de Tony Gatlif (Exils et Transylvania). En 2007, la Quinzaine des réalisateurs a sélectionné deux films dont elle a fait l’image : La France, le second long métrage de son frère, et Un homme perdu de la cinéaste libanaise Danielle Arbid.

Articles (30)

La directrice de la photographie Céline Bozon, AFC, parle de son travail sur "Tip Top", de Serge Bozon

Les entretiens au Festival de Cannes

Céline Bozon a éclairé le film de son frère Serge Bozon, La France, qui avait obtenu le prix Jean Vigo en 2007. Tip Top est le quatrième long métrage de Serge. Céline a travaillé au côté de Tony Gatlif (Exils, Transylvania) et de Jean-Paul Civeyrac (Toutes ces belles promesses, Tristesse beau visage, A travers la forêt). Elle nous livre ici un texte personnel relatant la démarche photographique particulière pour ce film en sélection à la Quinzaine des réalisateurs. (BB)

Entretien avec la directrice de la photographie Céline Bozon, AFC

Propos et entretiens

Exposure, le magazine en langue anglaise de Fujifilm, a publié, dans son n° 19 (Automne 2010), un entretien avec la directrice de la photographie Céline Bozon, AFC, dans lequel elle évoque ses débuts et parle de sa façon de travailler dans le cinéma d’aujourd’hui.
Elle fait part également de ses expériences avec les pellicules Fuji Eterna et Eterna Vivid, et de la façon dont elle envisage les nouveaux outils.

  • Lire une traduction de cet entretien, avec l’aimable autorisation de Fujifilm France que l’on remercie.

80e édition de la Mostra de Venise Céline Bozon, AFC, revient sur le tournage de "Sidonie au Japon", d’Élise Girard
"Sidonie vide son sac", par François Reumont

Le Festival de Venise 2023 - 80e édition

Partie visiter le Japon à l’invitation de son éditeur, une grande écrivaine française voit son passé resurgir au pays du Soleil-levant. C’est Isabelle Huppert qui endosse le rôle de ce film signé Élise Girard (Drôles d’oiseaux, Belleville Tokyo). Entre lieux iconiques, paysages de cartes postales et hôtels de luxe, le voyage de Sidonie se transforme peu à peu dans une ambiance fantastique où le fantôme de son mari défunt vient lui tenir compagnie. Céline Bozon, AFC, est aux manettes de l’image et vient nous partager son expérience d’un tournage au pays de Mizoguchi. Un film en sélection à la 80e Mostra de Venise où il est projeté le mercredi 30 août dans la section parallèle "Journées des Auteurs". (FR)

Exposition du dernier travail photographique de Céline Bozon, AFC, et Nicolas Gaurin, AFC, à la Galerie L77

Expositions et Musées

La Galerie L77, conçue et fondée par Franck David et David Nissen, AFC, est un nouveau lieu exclusivement dédié à la photographie contemporaine. Du 16 février au 20 mai 2023, les directrice et directeur de la photographie Céline Bozon, AFC, et Nicolas Gaurin, AFC, exposent les dernières de leurs œuvres sous les titres "Les funambules", pour la première, et "Depuis si longtemps, le soleil glisse au loin", pour le deuxième.

Entretien avec la directrice de la photographie Céline Bozon, AFC, à propos du film "L’Autre monde" de Gilles Marchand
En Sélection officielle du Festival de Cannes 2010, Séance de minuit

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Céline Bozon a travaillé à plusieurs reprises avec Jean-Paul Civeyrac et aussi avec Cédric Khan, Tony Gatlif et son frère, Serge Bozon. Très liée au jeune cinéma français, elle assoit désormais son expérience de directrice de la photographie en signant l’image d’une vingtaine de longs métrages.
Scénariste de Dominik Moll pour Harry, un ami qui vous veut du bien et pour Lemming, Gilles Marchand a réalisé en 1993 un premier long métrage Qui a tué Bambi. C’est une première collaboration pour Céline Bozon sur ce thriller L’Autre monde, hors compétition à Cannes en Séance de minuit.
Nous avions déjà rencontré Céline l’an dernier pour le film d’Axelle Ropert La Famille Wolberg, sélectionné à la Quinzaine des Réalisateurs.

Robert Alazraki présente Céline Bozon

Nouveaux venus à l’AFC

J’ai rencontré Céline Bozon au cours d’un voyage à Beaune, nous étions deux des invités de Fuji pour participer aux Rencontres de l’ARP. J’ai suivi son parcours depuis, et quand j’ai eu besoin de renseignements sur une pellicule particulière (Kodak 5299), elle m’a aidé avec ses essais (et un œil très fin).
C’est exactement ce que j’espère d’un collègue, j’ai donc pensé qu’elle pourrait en aider d’autres et je suis content de l’accueillir parmi nous.

Céline Bozon, passer la frontière
Par Ariane Damain Vergallo pour Ernst Leitz Wetzlar

Portraits de directeurs de la photographie dans l’optique de Leitz

Quand la conseillère d’orientation de son lycée de Lyon lui avait dit d’une manière un peu péremptoire qu’il ne fallait pas choisir un métier dans la photographie car c’était se choisir une vie sans travail, sans argent, sans horizon, bref une vie de bohémienne, cela avait interloqué Céline Bozon du haut de ses 14 ans. Ses parents, tous deux professeurs, lui disaient alors – dans une veine post-soixante-huitarde – exactement l’inverse : « Fais ce qui te plaît, ce qui te passionne ».

Articles (30)

La directrice de la photographie Céline Bozon, AFC, parle de son travail sur la série Netflix "Grégory"
Loin des images d’Epinal

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Pour écrire la trame narrative et superviser la mise en scène de la série documentaire "Gregory" (adaptée de l’affaire Villemin), Netflix a fait appel au réalisateur de fiction Gilles Marchand (Qui a tué Bambi ?, L’Autre monde, Dans la forêt). Une volonté éditoriale fictionnelle, que ce soit pour la mise en scène ou pour l’image. C’est Céline Bozon, AFC, qui signe la photographie, comme colonne vertébrale du projet, d’une série d’entretiens très audacieux en lumière. Egalement à retenir, le remarquable travail de montage et d’exploitation des archives (parfois inédites) comme des photos d’époque, dont la texture va encore dans le sens du long métrage de fiction plutôt que vers les canons du documentaire TV hexagonal (FR).

Céline Bozon parle de son travail sur "La France" et "Un homme perdu"

Entretiens avec des directeurs de la photographie

En sortant de La fémis en 1999, Celine Bozon débute avec Jean-Paul Civeyrac sur un film fait de manière très libre, avec très peu d’argent, une équipe toute petite et en vidéo. Cela a donné Fantômes, un long métrage qui est sorti en salle. Ensuite il y a eu Le Doux amour des hommes et Toutes ces belles promesses. Parallèlement, elle tourne un moyen métrage Mods avec son frère Serge Bozon, puis deux films de Tony Gatlif (Exils et Transylvania). En 2007, la Quinzaine des réalisateurs a sélectionné deux films dont elle a fait l’image : La France, le second long métrage de son frère, et Un homme perdu de la cinéaste libanaise Danielle Arbid.

Eric Gautier présente Céline Bozon

Nouveaux venus à l’AFC

Je connais le travail de Céline depuis un film de Jean-Paul Civeyrac, Le Doux amour des hommes (2002). Je me souviens d’une image très structurée et classique, mais aussi élégante et sensuelle (comme chez Bresson). Le film a été tourné en vidéo, en format Beta numérique à l’époque ; tant de " Cinéma " dans l’image électronique me semblait une prouesse…

Cinematographer Céline Bozon talks about his work on "La France" and "Un homme perdu" ("A Lost Man")
interview by François Reumont

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Upon graduating from the Femis in 1999, Celine Bozon made her debut with Jean-Paul Civeyrac on Fantômes, a low-budget film freely shot on video with a tiny crew. The result, feature film Fantômes, was given a theatrical release. Then came Le Doux amour des hommes (Man’s Gentle Love) and Toutes ces belles promesses (All the Fine Promises). At the same time, she shot medium-length Mods with her brother Serge Bozon, then two films by Tony Gatlif (Exils (Exiles) and Transylvania). In 2007, two of the films she photographed were selected in the Quinzaine des réalisateurs : her brother’s second feature La France and Lebanese Danielle Arbid’s Un homme perdu (A Lost Man).

Céline Bozon parle de son travail sur "La France" et "Un homme perdu"

Entretiens avec des directeurs de la photographie

En sortant de La fémis en 1999, Celine Bozon débute avec Jean-Paul Civeyrac sur un film fait de manière très libre, avec très peu d’argent, une équipe toute petite et en vidéo. Cela a donné Fantômes, un long métrage qui est sorti en salle. Ensuite il y a eu Le Doux amour des hommes et Toutes ces belles promesses.
Parallèlement, elle tourne un moyen métrage Mods avec son frère Serge Bozon, puis deux films de Tony Gatlif (Exils et Transylvania). En 2007, la Quinzaine des réalisateurs a sélectionné deux films dont elle a fait l’image : La France, le second long métrage de son frère, et Un homme perdu de la cinéaste libanaise Danielle Arbid.

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