Forum Laboratoire - Télécinéma - Postproduction

Forum traîtant des questions liés aux techniques de transfert sur support vidéo du film

Messages

  • Bonjour,

    Je vais partir à l’aventure avec une vieille caméra Kokak de 90 ans et du 16 noir et blanc. Ma réflexion de chef-opérateur sur l’évolution des techniques numériques, des pratiques et même du comportement du spectateur, m’ont porté vers une expérience qui démontrerait à la fois la force de l’image et la place qu’elle a prise dans notre environnement.
    Il serait sans doute un peu long d’expliquer mon concept. En résumé, je pars avec une caméra de 90 ans et de la pellicule noir et blanc et je n’ai plus tourné avec ce type de film depuis très longtemps. Je ne connais pas la qualité des films qui existent sur le marché et même pas s’il en existe encore.
    Quelqu’un parmi mes confrères aurait-il des pistes à me proposer. Je cherche un rendu doux.

    A bientôt

    • Vieille caméra, vous avez certainement exagéré l’âge de votre appareil... Il y a 90 ans... pas encore de 16 mm
      Votre appareil est noir avec viseur clair, long et avec des bobines de 30 m daylight (spools)... J’en ai eu un vers 1955 !
      Contrôlez si le méchanisme est à 1 ou 2 perforations.

      Dirigez-vous sur Internet vers Fuji (pas en France), Ilford et Orwo Allemagne
      Précisez 1 ou 2 rangées de perfos.

      Inversible ou négative... ? Cherchez un labo..., avant de commander votre noir et blanc
      Peut-être : De Jonghe en Belgique ou Soho à Londres ?

      Bonne chance

  • Bonjour,

    Est ce que quelqu’un connaitrait le nom du repreneur des laboratoires Vitfer ? Ceux ci était premièrement situés à ISSY les Moulineaux puis à Nanterre à partir de 1995.

  • L’ETALONNAGE DE FILMS

    Découverte des stations Scratch et Color

    Présentation de la formation :

    Ce stage est destiné à toute personne souhaitant se former au métier de l’étalonnage.
    Les monteurs sont de plus en plus sollicités pour effectuer l’étalonnage sur leur montage. La formation sur Color (suite Final Cut) ou Scratch permettra de comprendre la méthodologie d’un étalonnage ainsi que le logiciel.
    La baisse des prix des nouvelles consoles d’étalonnage favorise la création de nouvelles structures de post production. Les étalonneurs vont être de plus en plus sollicités.
    Ce stage va permettre aux personnes souhaitant devenir étalonneur, de comprendre les outils colorimétriques, la construction d’une image et les méthodes pour la travailler.
    Pour devenir coloriste, le futur étalonneur doit pouvoir comprendre et interpréter une image film et numérique, posséder les connaissances techniques des technologies vidéo, connaître la manipulation du logiciel, avoir une méthodologie de travail pour être le plus efficace, travailler son œil et développer son goût artistique.
    Outre l’ambition d’apporter aux futurs étalonneurs les connaissances et l’expérience pour appréhender seul un film, cette formation s’intéresse à la couleur d’un projet en général.
    Cette formation est conventionnée AFDAS.

    Dates de Prochaine session : Du 26 avril au 04 juin 2010

    Lieu : Clichy la Garenne –Métro Mairie de Clichy (13)

    Contact : Hardi au 01 47 82 88 88

    Fiche et programme détaillé :
    http://formations.hardi.fr/ftp/fiche_etal.pdf

  • Bonjour, consultant régulièrement le site de l’AFC, je me permets de venir poser quelques questions sur les étapes en labo pour le prochain court sur lequel je travaille tourné en S16 mm en vue d’un gonflage 35 mm pour une diffusion plus "large", merci d’avance pour vos réponses.
    Voici mes interrogations :

    - en ce qui concerne l’étape propre du gonflage le procédé s’effectue par un principe optique d internégatif mais ne peut-on pas le faire aujourd’hui de manière numérique ?

    - le format de cadrage S16 et du 1,66 donc après gonflage en 35 je serai dans le même rapport de dimensions ? J’ai lu aussi que l’on pouvait tourner en format 1,85 en S16, est-il facile de trouver un dépoli 1,85 pour une caméra S16 mm et de l’adapter sur toute caméra S16 mm ?

    - quelles précautions faut-il prendre lors du tournage pour obtenir une qualité "opitimale" de l’image après gonflage ?

    Merci pour toute vos infos et votre expérience sur le S16 mm qui pourront m éclairer ; ainsi qu’à l’AFC pour ce lieu d’échange et de transmission sur la lumière et le cinéma.

    En espérant avoir de longues discussions avec vous sur ces sujets. Merci.

    • en ce qui concerne l’étape propre du gonflage le procédé s’effectue par un principe optique d internégatif mais ne peut-on pas le faire aujourd’hui de manière numérique ?

      • Si mais le coût n’est pas du tout le même car il faut scanner votre négatif S16 et après re-shooter sur film. vous pouvez demander un devis comparatif au laboratoire. Si votre négatif est bien exposé et que le style du film ne nécessite pas un travail d’étalonnage en numérique, le gonflage traditionnel est sans problème.

        Le format de cadrage S16 et du 1,66 donc après gonflage en 35 je serai dans le même rapport de dimensions ?

        Oui, le format reste le même, mais il est de plus en plus difficile de projeter en 1:66 dans les salles de cinéma.

        est-il facile de trouver un dépoli 1,85 pour une caméra S16 mm et de l’adapter sur toute caméra S16 mm ?

        Oui, tous les loueurs ont des dépolis avec un tracé 1:85.

        quelles précautions faut-il prendre lors du tournage pour obtenir une qualité "opitimale" de l’image après gonflage ?

        Une pellicule pas trop sensible pour éviter trop de grain à l’agrandissement, de bonnes optiques pour la définition et surtout un négatif bien exposé.

      PS : si la durée de votre film est très courte (<5/6 minutes), il est préférable de tourner en 35mm, car les frais de gonflage S16/35 sont importants et indispensables pour présenter votre film.

      Bon tournage.

    • Bonjour, et merci un peu à la traine pour vos réponses rapides et vos lumières sur la post-production en laboratoire.
      Je me permet de faire appel à nouveau à vous pour m ’éclairer si possible sur différents points qui me sont apparu après le retour de demande de devis à différent laboratoire pour notre court-métrage, je me trouve un peu dans le flou avec toutes ces étapes de post-prod.

      Voilà la dernière étapes que les laboratoires me facturent et la constitution d’un master en Betanumérique (après gonflage), à partir de ce master me sera-t-il possible de faire de nouvelle copie pellicule 35mm ?
      D’ autre part ce même labo me fait une copie 0 et 1 en 35/4P pour mon court pourquoi me proposer un master en betanum, pour plus de securité pour la conservation ?

      Pour ce qui est de mon format final après gonflage suivant votre conseil le 1.85, il est plus sur pour moi de mettre un depoli avec un format 1.85 en super16mm celà évitera d ’avoir des surprises sur mon cadre après gonflage, non ?
      De plus est-il aisé de remplacer un dépoli sur une caméra 16mm, je pense que suivant les caméras cela varie, faut-il mieux pour moi de faire appel à un loueur pour placer le depoli car on me prette une caméra super16 ?

      Voilà déjà la première volée de mes interrogations, je m’excuse pour tous ces questionnements et vous remerçie encore pour votre temps et vos réponses ainsi que l’ existence du site.

      Merci et à bientôt.

    • un master en Betanumérique (après gonflage), à partir de ce master me sera-t-il possible de faire de nouvelle copie pellicule 35mm ? D’ autre (...)

      A priori non sauf en faisant un kinescopage de cette béta num mais vous perdrez en qualité et surtout le coût d’un kinescopage doit être au moins supérieur ou égal au prix d’une nouvelle copie.

      pourquoi me proposer un master en betanum, pour plus de securité pour la conservation ?

      Ce master béta numérique vous sert en fait pour toutes vos copies vidéos et les copies pour les TV.

      mettre un depoli avec un format 1.85 en super16mm celà évitera d ’avoir des surprises sur mon cadre après gonflage, non ?

      C’est indispensable.

      De plus est-il aisé de remplacer un dépoli sur une caméra 16mm, je pense que suivant les caméras cela varie, faut-il mieux pour moi de faire appel à un loueur pour placer le depoli car on me prette une caméra super16 ?

      Suivant les caméras vous pouvez soit changer le dépoli en mettant un dépoli au format 1:85, soit vous effectuez un tracé au crayon sur le dépoli de la caméra si celui ci n’est pas interchangeable. C’est certain qu’un loueur a l’habitude de faire ce genre de manipulation.

      • Enfin, n’oubliez pas après de faire une conformité de cadrage qui doit vous suivre jusqu’au bout de la post-production afin de respecter votre cadre (rushs, agrandissement 35mm, cadre pour la vidéo...)

      Cordialement.

  • Bonjour,
    je reparle de la conformation négatif qui m’attend très prochainement. Eclair doit se charger du gonflage en 35mm à partir du montage négatif 16mm. Ils m’ont dit que le mieux était une copie assemblée avec de la colle, pas du scotch. Le truc est que ce montage négatif ne servira qu’une fois dans sa vie (un court a en général peu d’avenir à long terme). Le plus pratique et le plus rapide n’est-il pas d’assembler avec du scotch ? Ca m’arrangerait car je ne dispose actuellement que d’une colleuse à scotch CIR M2, pas de colleuse à colle pro (genre Hammann, Maier-Hancock etc., et vu leur prix !...). Je sais que le scotch est moins bien a long terme, mais logiquement, il devrait tenir sans problème au moins le temps du gonflage, non ?
    Qu’en pensez-vous ?
    • Je me permets de te déconseiller le collage au scotch pour le gonflage de ton montage. Demande au labo, mais il est vraisemblable qu’il refuse tout simplement de tirer un négatif collé au scotch. Il y a un risque que le scotch casse dans la tireuse. Le collage au scotch ne marche que pour la copie de travail sur la table de montage. Il faut coller le négatif à la colle car le scotch déborde sur l’image et se verra en projection.

      Honnêtement, je pense que le poste "collage négatif" doit correspondre à une toute petite partie du budget du gonflage. C’est une économie de bout de chandelle à mon sens. Bon courage à la carrière de ton film !

    • Bon OK, je vais essayer de trouver une bonne colleuse à colle alors. Parce qu’Eclair me demande 4300 € HT pour la conformation. 165 plans x 2 plans /heure = 85h. Mon court m’a coûté 10 000. Si ça c’est un bout, ça fait une sacrée chandelle ! ;o)
      D’ailleurs pourquoi uniquement 2 plans par heures ? Ils comptent sans doute le temps d’organiser les rushes... non ?
    • En fait le prix de la conformation intégre le dédoublage, la coupe ,la collure, la vérification du négatif et la mise en boites répertoriées des chutes et doubles.
      Le scotch occasionne une surépaisseur lors d’un tirage par agrandissement et accentue l’instabilité des photogrammes autour de la collure.
      La colle fixée sur le scotch se dissouds dans le perchlore , se dépose dans les tireuses/essuyeuses, et sur le négatif lui-même .
      En outre, un amateur a du mal a éviter la formation de bulles qui forment à la vision des grosses taches.
      Si vous montez vous-même votre négatif, sachez qu’il fait l’objet d’une vérification compléte (facturée), et que nous nous réservons le droit de refuser ce travail, suivant son état.
      De plus, les travaux seront sous votre responsabilité en cas de soucis.
    • “nous nous réservons le droit de refuser ce travail, suivant son état” —> Normal
      “De plus, les travaux seront sous votre responsabilité en cas de soucis.” —> logique
      “Si vous montez vous-même votre négatif” —> Hélas, je n’est financièrement pas le choix.
      Mais c’est bon, j’ai trouvé une bonne colleuse à colle.
      Quelques questions quand même : je compte faire un montage A-B (jusque là, pas de commentaire ?, vous me dites si je me trompe), avec de l’amorce noire entre deux plans.
      Que donne-t-on au labo ? Les deux bobines ?
      Comment se passe ensuite le gonflage ? Quel est le principe. On colle deux les bobines de négatif dans la machine, l’une après l’autre, et on passe une seconde fois le 35, c’est ça ?
      Dites moi tout, j’aime comprendre :o)
      Merci
    • A ce stade de questions et au vu du nombre de réponses nécessaires, il me semble judicieux de prendre rendez vous avec votre laboratoire car je pense que vous aurez des réponses immédiates et sans doute fort précises.

      Cordialement.

    • La chose n’est pas trop compliquée : On monte les plans 1, 3, 5, 7, etc. dans une bobine A et les plans 2, 4, 6, 8, etc. dans une bobine B, les longueurs correspondantes avec de l’amorce noire (densité log 3.0 minimum). Les collures doivent tomber sur l’amorce noire, donc faire partie des plans. Pour ça on a besoin du matériel asymmétrique, voir rabot et colleuse-presse.
    • Oui, tout cela je le savais, merci. C’est l’après que je ne connaissais pas. Au labo.
      Mais j’ai eu mes réponses auprès d’Eclair.
  • Bonjour à tous,

    je m’apprête à faire une conformation sur négatifs et ma question est la suivante : j’ai quelques plans noirs dans mon film, plan que je comptais remplacer par de l’amorce transparente lors de la conformation. Mon problème est que ma pellicule négative est en triacetate et que je ne trouve d’amorce transparente qu’en polyester. Ca ne va, je crois pas coller, non ?
    Si je prends de l’amorce blanche (on en trouve en triacetate), mon image gonflée en 35mm sera-t-elle bien noire, et pas grisatre ?

    Merci pour toute information.

  • Bonjour, Je suis commercial dans une entreprise française qui fabrique et commercialise en France et à l’étranger des supports et des amorces de films en 16 et 35 mm pour :
    - Laboratoire de développement
    - Doublage et Post-synchronisation
    - Restauration de films d’archives
    - Animation Post-production

    Si quelqu’un connaitrait des sociétés ormis Eclair, LTC,GTC et cinédia qu’on a déjà pour me guider dans ma recherche afin de les prospecter et leurs faire connaitre nos tarifs très attractif et la qualité de notre amorce.
    Merci par avance a tout ceux qui pourront m’aider.

    Voir en ligne : http://www.ghfilms.fr

  • Pourquoi aucun message sur se site depuis des années ?
    Je voulais juste dire que Ramses 2 à Paris dans le 5e à un Quadra avec une tête super 8 + un Pogle. Transfert possible sur tous support à partir d’une bétanum.
  • Bonjour,
    je voudrais faire dévellopper du super 8 B/W et en faire un télécinema
    HD. Pouvez vous m’aider à trouver un laboratoire ?
    merci
    j
  • Bonjour.
    Je suis à la recherche des éléments de laboratoire d’un film produit par une société toulousaine (ACS) dans les années 80.
    Je cherche à savoir ce qu’est devenu le laboratoire TELCIPRO. J’ai vu qu’il avait été racheté par Ecoutez-Voir et que Ecoutez-Voir avait été regroupé (avec d’autres entrpeirses) dans une strucutre appelée Ex Machina.
    Mais il semblerait qu’Ex Machina ait été liquidé aux alentours de 2002.
    Est ce que quelqu’un aurait une idée de ce qu’aurait pu devenir les éléments de labo conservés alors par cette institution ?
    D’avance merci
    • Bon désolé de vous répondre si tard mais avec les vacances, difficile de joindre les labos.

      D’après quelques renseignements, c’est le groupe Quinta qui avait repris la structure Ex Machina. Tout a été vendu mais c’est LTC qui serait dépositaire des négatifs de Telcipro. Il faut donc que vous rentriez en contact avec eux. Je ne sais pas qui s’en occupe au sein de LTC.

      Tenez nous au courant, cela peut intéresser d’autres personnes dans l’avenir

      Cordialement.

    • Merci beaucoup pour l’information.
      Je vais donc contacter LTC et vous tiendrai au courant de la suite de mes recherches.
      Merci encore.
  • Je rentre de tournage, on a tournée en 16mm toute la nuit et j’ai fait une connerie, enfin je crois, mais peut-être pas : J’ai chargé de la vision2 500 asa dans ma scoopic, et j’avais qu’une petite lampe pour éclairer mes personnage, à la cellule sur leur visage, j’étais à 1.4 voire 1, dès fois moins quand ils bougeaient dans des zones plus sombre, mais en fond j’avais des lumières, style lampadaires, lumière de ville... J’ai donc ouvert à fond, à 2.5... Me suis dit tant pis c’est la nuit, on les verra pas très bien...

    Et en rentrant je m’aperçois que j’avais exposé à 100 au lieu de 500 !

    Qu’est ce que vous me conseillez ? Je dis au lab. que j’ai exposé à 500, et du coup ça va surexposer voire compenser ? Si en gros j’étais a 1 au diaph sur les visages alors que j’ai ouvert à 2.5, je suis 1 diaph et demi sous ex, mais si c’est exposé à 100, je gagne presque 3 diaph, et je suis un peu surex et je peux corrigé au TC... Ca devrait avoir la patate non ???
    Ou je dis que j’ai exposé à 250, et je retombe sur mes pieds au niveau du diaphragme, si y a du bruit et du grain dans les noirs, je m’en fous, c’est censé être des flash-back donc si c’est crade, pas grave, mais je veux pas que ce soit sous ex, ou qu’on les voit pas bien.... Ou alors je leur dit la vérité que j’ai exposé à 100 et je pousse d’un diaph, voire 1 et demi, si c’est possible, mais il parait qu’on gagne que dans les hautes lumières en poussant d’un diaph au dev neg, et question hautes lumières, vu que c’était la nuit, éclairé juste avec un néon assez doux, et quelques lampadaires au loin qui n’éclairaient que la perspective de la rue, on risque de voir que les lampadaires ? Non ?

    Moi je serais pour dire que c’est de la 500 exposé à 250, non ? ou à 500 et corrigé au TC ? Je sais pas trop, il me faut l’avis d’un expert... Je suis encore très novice en dir photo !
    Merci de vos lumières !

  • Je cherche un laboratoire cinématographique sur Paris ou environs qui me permettrai d’obtenir des rushs positifs (copie de travail étalonné ou non étalonné) d’après un négatif 16 mm standard (Tirage contact) ?!!?
  • Une question idiote !
    J’ai chargé du vieux 16 dans ma scoopic à l’envers (J’avais un peu trop bu...)... Normalelement je me repère à la seule rangé de perf qui va en bas, mais comme il y en avait deux, ca ma perdu.... Donc le coté agentique est passé à l’envers, et pas en face de la de fenetre... Ca signifie, qu’il n’y aura rien sur mon film, et que je peux le réutiliser, ou c’est possible qu’une image soit passé au travers, puis qu’au dev le neg est transparent...?
  • Bonjour,
    connaissez vous un télécinéma sur Paris pour faire des transfert de 16NEG SUR BETA NUM DE DV
    avec une machine efficasse mais moins cher que chez Ramses 2 dont le tarif est de 160 euro HT la demi heure de temps passé... Ce qui revient a 189 euros environ pour 5 minutes de film trandféré avec quatre cinq réglages et paufinements, ce que je trouve très cher surtout quant on essait d’autoproduire ses films.
    Merci de vos conseils
  • Bonjour,
    Quelqu’un aurait-il récemment fait des essais dans différents laboratoires pour faire un shoot en partant de HD ? Quelles en sont les impressions et conclusions, les pièges à éviter ?
    Merci.
  • Bonjour, On m’a donné des vieilles boites de film Kodak 16MM,7291 et 7294... Elles ont probablement 20 ans et n’ont pas été conservées au frai. Qu’est que je risque si je les utilise ? L’image ne sera pas voilée ? Mais les couleurs seront surement "fanées" ? Merci de vos lumières. Cordialement.
  • Bonjour :

    J’ai entendu quelque chose qui m’inquiète par rapport aux collures S16. Un labo parisien préconiserait l’abandon du format 1:1.66 en S16 au profit du 1:1.85 pour éviter des problèmes de collures visibles à l’image.

    Est-ce que cela vous semble cohérent et opportun ?
    N’est-ce pas anéantir le gain de superficie propre au S16, grâce à la place prise à la piste son ? Est-ce qu’on ne sait plus faire des collures propres ? Ou faut-il gonfler le S16 qu’en montage A-B ?

    J’ai eu en effet des gros soucis de collures lors de mon dernier court métrage et nous avons du passer par un interpo et un interneg pour "sauver les plat(n)s".

    Merci de vos éclaircissements avertis !

    Pierre

  • Monsieur Guichard, je tenais à vous remercier de m’avoir répondu si vite. J’ai encore une petite question ( ou quelques !) à vous poser :
    le réalisateur avec lequel je travaille a une aversion bien prononcée contre le grain du S16. De fait, en imaginant que l’on passe par un gonflage en 35, j’ai peur que le rendu ne lui convienne pas. Quelles solutions s’offrent à nous pour réduire au maximum le grain du S16 ?
    Par ailleurs, la solution de tourner directement en 35 implique-t-elle, selon vous, des dépenses nettement supérieures à celle d’un tournage en S16 (tout en sachant que notre consommation en pellicule sera sans aucun doute importante au vue de la difficulté inhérente à ce projet) ?
    De plus, mon intérêt pour la chaîne de postproduction va croissant à mesure que le projet se développe et je me demandais si vous aviez un ouvrage à me recommander, ouvrage qui me permettrait d’appréhender toute ces étapes sur un mode quelque peu vulgarisé et accessible ?
    Encore merci pour vos réponses et conseils. Cordialement. Suzy
    • il faut effectivement éviter les films sensibles ( 500 ASA ) et préférer au maximum les 200 ASA. Pour le grain c’est inévitable, mais il faut fonctionner par comparaison pour le voir ( comparer des essais S16 et 35 par exemple).
      Pour le choix S16/35, votre directeur de production doit faire ses calculs en intégrant aussi le fait que chaque copie supplémentaire en 35MM coûtera très cher surtout si le film est long. les responsables commerciaux des labos peuvent facilement vous faire les devis comparatifs.

      Pour les livres, rien ne vaut un stage labo...

      Cordialement.

  • bonjour,
    je prépare un court métrage que l’on va tourné en S16 et je manque d’infos concernant la partie postprod, notamment le tranfert du film en 35mm. Mes questions sont les suivantes (sans doute font-elles part de certaines lacunes et méconnaissances en la matière...Veuillez m’en excuser !!!) :

    • Est-il plus judicieux de passer par une chaîne de postprod classique, à savoir faire un gonflage pour obtenir une copie 35 ?
    • Ou mieux vaut-il, une fois le montage terminé (montage virtuel) faire un kineskopage sur 35 ?
    • Qu’est-ce que ces 2 procédés impliquent au niveau du résultat esthétique et aussi du prix ?
    • Lequel est le moins onéreux ?
      Merci de me répondre au plus vite.
      Cordialement. Suzy
    • Le gonflage en 35 mm est la solution la plus courante et la chaîne de fabrication bien calibrée, (donc pas de surprise dans le dépassement des coûts). Bien sur vos choix artistiques doivent être conçus en amont du tournage car le résultat est définitif avec un étalonnage classique.

      Le kinescopage à partir de votre "montage virtuel" n’est pas envisageable vue la piètre qualité de définition que vous obtiendrez. D’autre part votre montage virtuel n’est pas étalonné, ou alors il faut faire un télécinéma HD de vos rushs, faire le montage, revenir à vos rushs HD pour faire un master définitif... autant dire cher, très cher.

      L’autre solution consiste à faire un scan de vos plans choisi au montage, puis étalonnage numérique , puis shoot en 35MM, la voie royale mais qui à un aussi coût. Evidemment au niveau artistique vous bénéficiez de toute la palette de l’étalonnage numérique.