L’Enfant d’en haut

Nous avons choisi la HD, misant sur le petit éloignement du naturalisme qu’en proposerait le rendu et a fortiori l’adaptation des partis pris.
L’intervention de la lumière additionnelle a été la plus conséquente de nuit, moment le plus propice à l’interprétation.
Les extérieurs assez sportifs parfois ont imposé leur contrainte..
Cette manière de travailler s’est de plus en plus radicalisée pendant le tournage.
Aucun problème technique avec ce matériel, même à 3 000 mètres.
Un piège : la présence des infra-rouge sur les images tournées en montagne. Il a fallu filtrer (tellement compliqué de corriger à l’étalonnage) avec des effets secondaires parfois bien envahissants sur les peaux.
L’emploi de ces filtres a été décidé au cas par cas d’une manière totalement empirique…la visibilité des distorsions chromatiques restant difficile sur l’écran de contrôle utilisé.
Beaucoup de plaisir à cette deuxième collaboration avec de nouvelles découvertes.

Merci à Marie Decourt, assistante caméra , Jean-Pierre Baronsky, chef électricien, François Tille, chef machiniste, formidable équipe.
Merci à Danys Bruyère pour ses précieux conseils, à Marine Lepoutre pour sa précision à l’étalonnage et à Catherine Athon pour son attention en préparation.

Les images composant le portfolio sont des captures d’écran de rushes non étalonnées avec LUT Arri standard.