Paradise Beach

Je profite de l’occasion qui m’est donnée pour remercier nos formidables protagonistes, Sami Bouajila et Mélanie Doutey, et principalement Xavier Durringer, qui nous aura emmenés au bout du monde pour vivre cette fable moderne et violente, qui dit encore une fois, et parce que c’est nécessaire, les dangers et l’illusion que peuvent être l’argent facile et la violence qui les accompagnent.

Techniquement, notre souhait a été immédiatement de tourner en Scope pour profiter au maximum des paysages qui nous étaient offerts, de donner une dimension poétique aux images par la profondeur magique des Master Anamorphic Arri Zeiss, et de pouvoir naturellement inclure les nombreux protagonistes dans ce champ élargi.

Malgré les contraintes de temps, 35 jours de tournage, de distance avec nos partenaires, et la complexité voulue par un film à l’étranger, je tiens encore une fois à remercier l’ensemble des équipes françaises et thaïlandaises, qui par leur joie et leur engagement, ont prouvé qu’il est possible de partager encore plus que du cinéma.
Eclairée par vous tous, j’ai confiance pour produire à nouveau et encore longtemps le miracle quotidien de la création cinématographique et de la fraternité.

Produit par Vito Films - Naïa Production et distribué par Océan Films.

Bande annonce


https://www.youtube.com/watch?v=v-swtClPqR4

Équipe

Première assistante mise en scène : Élodie Gay
Cadreur et opérateur Steadicam : Ramin Poursaïd
Premier assistant opérateur : Arnaud Gaudelle
Chef électricien : Pierre Michaud
Chef machiniste : Surat Thongwang

Technique

Matériel caméra : Transpacam (Arri Alexa SXT Plus, série Arri Zeiss Master Anamorphic)
Matériel lumière, machinerie, 2e caméra et drone : Siamlite Film Service, Bangkok, Thaïlande
Laboratoire : Digital District
Étalonneur : Richard Deusy

synopsis

Une équipe d’anciens braqueurs est arrivée au Paradis : Phuket, sud de la Thaïlande. Désormais commerçants, ils coulent des jours heureux. Jusqu’au jour où le diable débarque : Mehdi, condamné à 15 ans de prison lors du braquage, vient récupérer sa part du gâteau. Seul problème, il n’y a plus de gâteau. Et le diable est affamé.