Trois nouveaux membres actifs

au sein de l’AFC

La Lettre AFC n°139

[ English ] [ français ]

Yves Lafaye présenté par Gérard de Battista

Un nouvel arrivant plein d’expérience. Beaucoup de films dans sa musette, beaucoup de bonne humeur, d’ouverture d’esprit et d’invention dans sa lumière. Les membres de l’AFC qui ont travaillé avec lui l’attendaient depuis longtemps...

Promotion 1965-67 de Louis-Lumière (en compagnie de François Catonné et d’Etienne Fauduet).

Nombreux films comme directeur de la photo, parmi lesquels (il m’a promis de bien mettre à jour sa filmo sur le site AFC) : Vipère au poing (Philippe de Broca), Sale rêveur (Jean-Marie Périer), Les Doigts dans la tête (Jacques Doillon), Le Jeu avec le feu (Alain Robbe-Grillet)...

Je fus son cadreur sur Un sac de billes de Jacques Doillon, et j’ai appris beaucoup sur la lumière des films pendant ce tournage. Une phrase d’Yves m’est restée, qui en dit long sur lui et enchantera les amateurs de contre-jour : « Tu éclaires comme tu le sens, et quand tu crois que tu es prêt, tu coupes la face et tu tournes... »

Bienvenue, Yves !

Pascal Poucet présenté par Robert Alazraki et Christophe Beaucarne

Pascal est un ami de très longue date, nous avons été photographes ensemble dans les années 1970, à Londres, Avignon, Aix-en-Provence...

Il a été gérant d’un cinéma dans cette ville, puis d’une société de production toujours à Aix, et a appris notre métier d’une manière atypique et marginale. Vive la diversité.

Il a bien sur toutes les qualités requises pour faire partie de notre bande. Christophe Beaucarne et moi sommes très heureux de vous le présenter. (Robert Alazraki)

Je suis très content d’accueillir Pascal Poucet parmi nous car il est de cette espèce de chercheurs qui a réussi à toucher à tous les modes de captations d’images : tantôt à travers la photographie à l’appareil reflex, au documentaire et enfin à la fiction.

Toutes ses expériences, il me les a montrées quand j’étais petit, ses photos, ses documentaires et c’est peut-être grâce à lui, Pascalou et grâce à Robert Alazraki, que j’ai mieux su vers quel style d’expression photographique m’orienter. Cela dit, notre première expérience commune était musicale, il jouait de la guitare, moi, j’avais 5 ans, je chantais, tous deux dans le son avant l’image. Il y a 2 mois encore, en le croisant chez GTC, j’ai repensé à notre belle association musicale qui va maintenant se prolonger en photographie à travers l’AFC.

Bienvenue Pascalou (Christophe Beaucarne)