Poster un message

En réponse à :

Editorial de la Lettre de novembre 2018
Par Gilles Porte, président de l’AFC

Au milieu des années cinquante, en Amérique latine, le cinéma se retrouve dans une situation très délicate, tandis qu’en Italie et en France, des cinéastes composent avec ce qu’ils ont – ou plutôt ce qu’ils n’ont pas – et mettent une caméra sur l’épaule tout en filmant à la lumière du jour.
Forum sur abonnement

Pour participer à ce forum, vous devez vous enregistrer au préalable. Merci d’indiquer ci-dessous l’identifiant personnel qui vous a été fourni. Si vous n’êtes pas enregistré, vous devez vous inscrire.

ConnexionS’inscriremot de passe oublié ?