NB Ce billet aurait dû paraître dans la Lettre de décembre, mais les surprises que réservent l’Internet et ses serveurs pour le moins facétieux en ont décidé autrement.
Nul besoin, à Ouagadougou, de réveil-matin pour vous sortir de la torpeur d’une nuit finissante. Les coqs environnants, nombreux même en pleine ville, se sont chargés de vous chanter en écho la bonne nouvelle : il est 5 heures et quelques et le jour va bientôt se lever.