Antoine-Basile Mercier

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Le directeur de la photographie Antoine Héberlé, AFC, parle de son travail sur "Grisgris", de Mahamat-Saleh Haroun

Les entretiens au Festival de Cannes

Antoine Héberlé entame sa carrière en 1993 avec Laurence Ferreira Barbosa en éclairant son premier long métrage Les gens normaux n’ont rien d’exceptionnel, puis il travaille à plusieurs reprises sur les films de Laetitia Masson (A vendre, Love me, La Repentie, Coupable, Petite fille). Il a également collaboré avec Alain Guiraudie (Pas de repos pour les braves, Voici venu le temps), Stéphane Brizé (Mademoiselle Chambon, Quelques heures de printemps). Il tourne en Palestine pour Paradise Now, un film de Hany Abu Assad sélectionné aux Oscars (Meilleur film étranger) en 2006 et qui remporte le Golden Globe pour la même nomination. Il a également éclairé un film israélien, Les Méduses, d’Edgar Keret et Shira Geffen, Caméra d’or à Cannes en 2007. Nous le retrouvons sur la Croisette pour le seul film représentant l’Afrique à Cannes, Grisgris. (BB)

L’AFC accueille un nouveau membre actif, Antoine Héberlé, à qui elle souhaite la bienvenue !
Le parrain s’explique ou la présentation d’Antoine Heberlé par Jacques Loiseleux

Carnet d’adresses

J’ai rencontré Antoine au Festival de Grenoble en 1997 je crois. Nous étions invités pour animer un " atelier image ". Nous nous sommes tout de suite entendus sur ce sujet, et les propos qu’il tenait sur l’image et le cinéma, ceux de sa génération, étaient très intéressants et démontraient déjà une grande maturité, beaucoup d’honnêteté et de clairvoyance.

Bienvenue à Antoine Monod
par Laurent Dailland

Nouveaux venus à l’AFC

Le directeur de la photographie Antoine Monod, nouveau membre actif de l’AFC, nous est présenté par Laurent Dailland, l’un de ses parrains.

Antoine tourne actuellement son 6e long métrage. Il est devenu membre actif juste au début du tournage, nouvelle qui, m’a–t-il dit, lui a donné confiance, tout simplement…
Voilà quelqu’un qui croit à l’AFC et qui défendra bec et ongles la " cinématographie ".

Entretien CNC avec Antoine Héberlé, AFC, à propos de "Fièvre méditerranéenne", de Maha Haj
« Je n’ai aucune règle préétablie pour filmer la comédie » (Antoine Héberlé, AFC)

Propos et entretiens

Le directeur de la photographie (Les gens normaux n’ont rien d’exceptionnel, Mademoiselle Chambon…) raconte sa collaboration avec Maha Haj sur Fièvre méditerranéenne. Primé pour son scénario à Un Certain Regard 2022, ce buddy-movie réunit, à Haïfa, un écrivain raté dépressif et un joyeux escroc à la petite semaine. Une comédie qui raconte un mal-être palestinien et la difficulté de trouver sa place en Israël.

Antoine Bonfanti
par Jean-François Robin

Antoine Bonfanti

(Difficile de ne pas écrire " je me souviens " comme le faisait Pérec)

Je me souviens d’Antoine Bonfanti, le premier ingénieur du son que j’aie rencontré dans le cinéma, auréolé d’une gloire toute neuve venue de la Nouvelle Vague. Homme silencieux, aux gestes suggestifs qui réduisaient la parole (la sienne) au minimum, il écoutait. Pour lui la vie n’était que son et bruits qu’il fallait enregistrer.

Je me souviens qu’il aimait bien manger et bien boire. En province, il savait tout des bonnes tables et du bon vin.

Antoine Monod, changer de vie
Par Ariane Damain-Vergallo pour Ernst Leitz Wetzlar

Portraits de directeurs de la photographie dans l’optique de Leitz

Le 22 mars 1968, Daniel Cohn-Bendit, âgé de vingt-trois ans, prononce un discours à la faculté de Nanterre dont on s’accorde à penser qu’il est l’élément déclencheur de ce mouvement mondialement connu comme celui de Mai 68, et qui va changer en profondeur la société française. Ce même jour, dans la mairie du quatorzième arrondissement de Paris, les parents d’Antoine Monod – Claude et Isabelle – se marient en secret. En apparence, les deux évènements sont sans rapport, et pourtant...

Antoine Bonfanti
par Chris Marker

Antoine Bonfanti

On ne résume pas en quelques phrases la complicité de toute une vie. Du moins, le fait d’adresser ces phrases à la Cinémathèque de Corse me permet-il en quelque sorte de boucler une boucle : le tout premier projet dont nous avons parlé, nous deux, quand Antoine était encore assistant aux studios de Boulogne et qu’il était évident, sans que nous ayons eu besoin de l’énoncer, que nous étions faits pour travailler ensemble, était un film sur la Corse. Projet jamais accompli, qui peut modestement figurer à côté d’autres fantômes de films, le (...)