Festival "Chefs Op’ en lumière", édition 2024
Au palmarès de Chefs Op’ en Lumière 2024
Présidé par Jean-Marie Dreujou, AFC, ASC, le jury était composé de Pascale Marin, AFC, Susana Poveda, Stéphan Castang et Jean-Marc Moutout.
Pour cette première Meilleure image de film en compétition, le jury s’est exprimé ainsi.
Avant l’annonce du palmarès :
« Tout d’abord nous tenions à remercier le festival Chefs Op’ en Lumière pour sa confiance.
Nous avons été très heureux d’inaugurer cette première compétition qui est amenée à s’amplifier lors des prochaines éditions.
Nous souhaitons un grand succès à ce festival mettant en lumière le travail des chefs op’. »
Au moment d’annoncer la Mention spéciale du Jury :
« Nous avons été touchés par un film qui, dans une économie de moyens extrême a su nous rendre sensibles à la misère sombre qui peut exister même sous une lumière solaire. Le jury a décidé d’attribuer une mention à Il pleut dans la maison, de Paloma Sermon-Daï mis en images par Frédéric Noirhomme [SBC]. »
Le film s’est également vu décerner le Prix des Lycéens et Étudiants.
Au moment d’annoncer le Prix du Jury :
« Comédie romantique sensible et film de genre décalé, film nocturne et coloré, drôle et touchant à la fois.
Nous avons été séduits par l’accomplissement artistique de ce film savoureux.
Le Grand Prix du Jury de la première compétition du festival Chefs Op’ en Lumière est attribué à Vampire humaniste cherche suicidaire consentant, d’Ariane Louise-Seize mis en images par Shawn Pavlin. »
Ariane Louise-Seize, citée dans le dossier de presse du distributeur québécois H264
« Shawn et moi avons développé nos styles simultanément. C’est quelqu’un qui est à l’écoute de ma vision et comprend que j’aime créer des mondes envoûtants, qui attirent et enveloppent le spectateur, plutôt que de proposer quelque chose d’hermétique. Nous avons fait beaucoup de recherche visuelle, et écouté beaucoup de films de vampires, non pas pour calquer, mais pour faire de petits clins d’œil.
Cette noirceur typique du genre, nous l’avons embrassée, mais en n’oubliant jamais la lumière et les couleurs, qui ont leur rôle narratif. Nous nous sommes beaucoup amusés en travaillant les contrastes. »