Audrey Fouché

Réalisation

Résultats de la recherche

Articles (2)

Le directeur de la photographie Nicolas Gaurin parle de son travail sur "Hippocrate", de Thomas Lilti

Les entretiens au Festival de Cannes

Nicolas Gaurin a fait ses premiers pas comme directeur de la photographie auprès d’Anthony Cordier pour Douches froides, collaboration suivie d’un deuxième film, Happy Few. Entre ces deux longs métrages, il signe l’image de Notre étrangère, de Sarah Bouyain, et de Stella, troisième long métrage de Sylvie Verheyde qu’il retrouve quelques années plus tard pour Confessions d’un enfant du siècle (présent à Cannes en 2012). Sa carrière se poursuit avec Audrey Fouché pour Memories Corner et avec Marion Vernoux pour Les Beaux jours. Hippocrate, projeté en clôture de la Semaine de la critique, est le deuxième film de Thomas Lilti et l’occasion pour Nicolas Gaurin de travailler avec ce réalisateur pour la première fois.

Le directeur de la photographie Nicolas Gaurin parle de son travail sur "Confessions d’un enfant du Siècle" de Sylvie Verheyde
Le 19e siècle à travers la caméra Alexa

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Nicolas Gaurin est issu des rangs de La fémis (promotion 1999). Après quelques années d’assistanat et des films courts en tant que chef opérateur, il signe son premier long métrage en 2005 Douche froide, d’Anthony Cordier. En 2007, il rencontre Sylvie Verheyde à l’occasion d’un téléfilm pour Arte Sang froid, puis continue sa collaboration avec elle sur Stella l’année suivante.
Depuis il a également signé l’image de Happy Few, d’Anthony Cordier, Notre étrangère, de Sarah Bouyain et Memories Corner, d’Audrey Fouché.
Confessions d’un enfant du Siècle est adapté de l’unique roman d’Alfred de Musset ; il marque notamment les débuts à l’écran de la rock star britannique Pete Doherty dans le rôle principal.

Articles (30)

Méliès inédits, films en papier : le "Cinématographe de poche" de Léon Beaulieu
Conférence de Thierry Lecointe, Pascal Fouché, Jacques Malthête et Robert Byrne

Conservatoire des techniques cinématographiques

Pour la deuxième séance des conférences de sa nouvelle saison, le Conservatoire des techniques cinématographiques de la Cinémathèque française feuillettera quelques-uns des folioscopes que Léon Beaulieu édita entre 1896 et 1901. On pourra y découvrir quelques raretés de l’œuvre de Méliès, à qui sept de ces exemples de "Cinématographe de poche" ont été attribués.

"La Mouche", Molière 2020 de la Création visuelle

Scènes et Lumières

Lors de la 32e cérémonie des Molières, enregistrée au Théâtre du Châtelet et retransmise le 23 juin, le Molière 2020 de la Création visuelle a été décerné à La Mouche, d’après George Langelaan, mise en scène Valérie Lesort et Christian Hecq. C’est la septième année que le Molière de la Création visuelle est attribué à un spectacle auquel sont associés les créateurs de la scénographie, des costumes et de la lumière. Pour La Mouche, ce sont respectivement Audrey Vuong, Moïra Douguet et Pascal Laajili, ainsi qu’Antoine Roegiers et Eric Perroys, pour la vidéo, Carole Allemant et Valérie Lesort, pour les effets spéciaux.

Les ateliers Sony Venice à Cannes

Nos associés à Cannes

Sony France et le BTS audiovisuel du lycée Carnot à Cannes proposent, les 20 et 21 mai, plusieurs ateliers animés par Jean-Charles Fouché, chef opérateur, et Jean-Yves Martin, chef de produit chez Sony, et organisés en partenariat avec Leitz Cine Wetzlar.

The 100th Anniversary of the ASC
By François Thomas

Cinémathèque française

As part of the “Toute la mémoire du monde” Festival, held on 13-17 March 2019, the Cinémathèque française has celebrated the hundredth anniversary of the ASC. François Thomas, who has spoken as part of this event, sheds light on some of the facets of this highly-historic association for the AFC.

Le centenaire de l’ASC
Par François Thomas

Cinémathèque française

Dans le cadre du festival "Toute la mémoire du monde", du 13 au 17 mars 2019, la Cinémathèque française célèbre le centenaire de l’ASC. François Thomas, qui interviendra lors de la présentation de cet évènement, éclaire pour l’AFC certaines des facettes de cette association pour le moins historique.

Rencontre pleine d’humanité avec Lana Wachowski

Camerimage 2017

Suite à la rencontre avec John Toll autour de "Sense8" et à la soirée Panasonic, Audrey Samson, DIT française, a eu la chance d’échanger avec la réalisatrice Lana Wachowski sur les conditions de tournage à Paris et son attachement particulier à cette ville et à la culture française. Elle a été très affectée par les réactions de peur des Parisiens suite au feux d’artifice à la tour Eiffel. Pour Lana, le feu d’artifice est un symbole d’amour et de fête.

Le budget du ministère de la Culture et de la Communication consacré au cinéma en hausse de 5,2 %

Côté profession

Audrey Azoulay, ministre de la Culture et de la Communication, a présenté un budget de la Culture qui atteint 1,1 % du budget de l’Etat, marqué par un niveau de ressources jamais atteint, en hausse de 5,5 %. Il traduit l’engagement du Gouvernement qui en fait une priorité dans la période actuelle, facteur d’émancipation individuelle et de rassemblement des Français.

Articles (2)

Le directeur de la photographie Nicolas Gaurin parle de son travail sur "Hippocrate", de Thomas Lilti

Les entretiens au Festival de Cannes

Nicolas Gaurin a fait ses premiers pas comme directeur de la photographie auprès d’Anthony Cordier pour Douches froides, collaboration suivie d’un deuxième film, Happy Few. Entre ces deux longs métrages, il signe l’image de Notre étrangère, de Sarah Bouyain, et de Stella, troisième long métrage de Sylvie Verheyde qu’il retrouve quelques années plus tard pour Confessions d’un enfant du siècle (présent à Cannes en 2012). Sa carrière se poursuit avec Audrey Fouché pour Memories Corner et avec Marion Vernoux pour Les Beaux jours. Hippocrate, projeté en clôture de la Semaine de la critique, est le deuxième film de Thomas Lilti et l’occasion pour Nicolas Gaurin de travailler avec ce réalisateur pour la première fois.

Le directeur de la photographie Nicolas Gaurin parle de son travail sur "Confessions d’un enfant du Siècle" de Sylvie Verheyde
Le 19e siècle à travers la caméra Alexa

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Nicolas Gaurin est issu des rangs de La fémis (promotion 1999). Après quelques années d’assistanat et des films courts en tant que chef opérateur, il signe son premier long métrage en 2005 Douche froide, d’Anthony Cordier. En 2007, il rencontre Sylvie Verheyde à l’occasion d’un téléfilm pour Arte Sang froid, puis continue sa collaboration avec elle sur Stella l’année suivante.
Depuis il a également signé l’image de Happy Few, d’Anthony Cordier, Notre étrangère, de Sarah Bouyain et Memories Corner, d’Audrey Fouché.
Confessions d’un enfant du Siècle est adapté de l’unique roman d’Alfred de Musset ; il marque notamment les débuts à l’écran de la rock star britannique Pete Doherty dans le rôle principal.