Barrage

Un tout petit budget pour ce premier long métrage avec pourtant un très beau scénario, un sujet fort, et l’univers profond, dense (et sombre) de l’auteur déjà lisible dans ses premières réalisations. Nous nous " accrochons " au 35 mm et pour ce faire, je propose de tourner avec une toute petite équipe image composée de deux assistants opérateur. Pas d’éléctros ni de machinos. Produit par Tessalit.

Une liste de matériel extrêmement réduite...
Le travail avec Raphaël est passionnant, le film existe déjà si précisément en lui qu’il suffirait presque de le regarder pour comprendre ce qu’il veut faire. L’atmosphère du film est inscrite dans sa peau, dans sa silhouette, dans ses yeux.
En préparation, nous parlons beaucoup, mais sur le tournage, un geste, un regard, tout semble limpide. Il se rapproche alors des comédiens pour obtenir l’interprétation la plus juste, tout en nuances et en finesse. On assiste à la transformation physique de la comédienne Nade Dieu incarnant Sabine, au cours du tournage. Elle est bouleversante. Hadrien Bouvier, jeune comédien de 15 ans se métamorphose, lui aussi. Avec Anaïs Demoustier, 15 ans elle aussi, ils m’impressionnent par leur talent.... »

Voir également le site officiel de Barrage

Technique

Pellicules : Kodak 5245, 5246, 5279
Filmé en 35 mm, format 1,66
Caméra : Arri BL IV S de chez Iris
Objecfifs : Zeiss
Matériel électrique : Locaflash
Matériel machinerie : Telegrip
Laboratoire : GTC
Etalonnage : Christophe Bousquet