Charles Fréville

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Articles (30)

Entretien avec Seppe Van Grieken, SBC, à propos de la série "The Serpent", de Tom Shankland
Une vidéo de François Reumont pour l’AFC

Les entretiens de Camerimage

Programme produit par Netflix, "The Serpent" fait partie de ces projets tirés de faits divers célèbres. Pour recomposer le trajet du tueur en série français Charles Sobhraj, Seppe Van Grieken, SBC, et Tom Shankland à la réalisation font replonger littéralement le spectateur en 1975 dans la fin de l’aventure hippie, entre la Thaïlande et l’Inde. Retour sur cette série en 8 épisodes où le prédateur est interprété par Tahar Rahim. (FR)

Paolo Sabouraud évoque son travail sur "Le Mime", court métrage de Charles Chabert

Les entretiens de Camerimage

Diplômé de l’ENS Louis-Lumière en 2019, Paolo Sabouraud signe une image expressive et onirique pour Le Mime (The Mime’s Hat) dans sa version anglophone, réalisé par Charles Chabert, promotion 2020 de l’École. Court métrage de fiction presque expérimental, jouant sur la frontière entre imaginaire et réel, le film met en scène un mime à la recherche de son chapeau, dans un voyage à mi-chemin entre le rêve et le cauchemar. Le film sera présenté deux fois pendant le festival, dans la sélection "Film and Art School Etudes Panorama", et est à découvrir pendant toute la durée du festival dans son édition online. (MC)

"Enfin le cinéma ! Arts, images et spectacles en France (1833-1907)"
Exposition au musée d’Orsay

Expositions et Musées

Organisée par le musée d’Orsay et le musée de l’Orangerie, au côté du Los Angeles County Museum of Art, l’exposition "Enfin le cinéma ! Arts, images et spectacles en France 1833-1907", présentée du 28 septembre 2021 au 16 janvier 2022, est l’occasion de rappeler, grâce à la réunion de quelque 400 œuvres, que le cinéma est la suite naturelle du cinématographe des frères Lumière, dont les "photographies animées" sont le fruit d’une succession de dispositifs visuels et d’attractions, et que les premiers films sont les héritiers de multiples pratiques, artistiques ou scientifiques, érudites ou populaires.

Parution de "Georges Pierre - Profession : photographe de plateau - 100 ans 100 films"
Un ouvrage de Laurence de Geyer, Laurent Benyayer, Philippe Sichler

Livres et revues

Roger Corbeau, Raymond Cauchetier, Jean-Marie Leroy, Emmanuel Lowenthal, Vincent Rossell, Raymond Voinquel, Bob Willoughby ou encore Pierre Zucca sont des photographes de plateau reconnus, même si l’on connaît moins les publications dont ils ont fait l’objet. On saluera ainsi la récente parution de Georges Pierre – Profession : photographe de plateau – 100 ans 100 films, reflet de trois décennies (1960-1990) d’un regard posé avec humour et tendresse sur les plateaux de cinéma.

Tribute to Jean Penzer
By Marc Salomon, consulting member of the AFC

Jean Penzer

Born on 1st October 1927 at Livry-Gargan to parents of Russian birth. His father was born at Krisilo (today in Ukraine) and his mother at Vitebsk (today in Belarus). They met in Odessa before moving to France in 1911, where they were naturalized in 1928. Jean-Bernard Penzer studied cinema at the Vaugirard cinema school from 1945-1947 (same class as Jean Boffety, Pierre Tchernia, Georges Leclerc, René Mathelin and Georges Dufaux) before working as an assistant cameraman from 1947-1955.

Hommage à Jean Penzer
Par Marc Salomon, membre consultant de l’AFC

Jean Penzer

Né le 1er octobre 1927 à Livry-Gargan, de parents d’origine russe. Son père était né à Krisilo (aujourd’hui en Ukraine) et sa mère à Vitebsk (aujourd’hui en Biélorussie). Ils s’étaient connus à Odessa avant de venir s’installer en France, en 1911, où ils obtiendront la naturalisation en 1928. Jean-Bernard Penzer avait étudié le cinéma à l’école de Vaugirard entre 1945 et 1947 (dans la même promotion que Jean Boffety, Pierre Tchernia, Georges Leclerc, René Mathelin et Georges Dufaux) avant de travailler comme assistant opérateur entre 1947 et 1955.

Exposition "Nuits électriques", au MuMa du Havre

Expositions et Musées

Avec l’apparition de l’éclairage artificiel, le 19e siècle voit le paysage nocturne évoluer de manière radicale, la nuit s’illuminant progressivement en se parant d’ambiances variées : jeux d’ombres et de lumières, clair-obscur, contre-jour, premières publicités éclairées au néon… Les arts - peinture, gravure, photographie - ayant été fortement marqués par ces métamorphoses nocturnes, le MuMa du Havre, avec l’exposition Nuits électriques, propose d’explorer, du 3 juillet au 1er novembre 2020, cette question de la perception de l’éclairage artificiel urbain par les artistes de la seconde moitié du 19e siècle jusqu’à la veille de la Première Guerre mondiale.

Films (13)