Nos confrères argentins de l’ADF (Association argentine des Auteurs de la Photographie Cinématographique) nous ont fait parvenir un extrait d’un entretien accordé par Christopher Doyle à Vicente Rodriguez-Ortega pour la revue Reverse Shot. Il y parle de son travail sur Hero de Zhang Yimou.
Aymerick Pilarski has had an unusual career. Because he was passionate about the cinema and he wanted to discover other cultures, he decided to study in Beijing rather than in France. This young cinematographer decided to leave for Asia nearly 15 years ago, where he learned Chinese and has been following in the footsteps of Christopher Doyle, a legend in cinematography. (FR)
Un parcours peu commun que celui d’Aymerick Pilarski. Passionné de cinéma et ayant envie de découvrir d’autres cultures, il s’est mis en tête d’aller faire ses études à Pékin plutôt qu’en France. Voilà maintenant près de 15 ans que ce jeune chef opérateur a décidé de partir en Asie, d’apprendre la langue chinoise et de se lancer sur les traces d’une légende de l’image de film comme Christopher Doyle. (FR)
Le 26 mai 2017, au cœur même de cette 70e édition du Festival de Cannes, Christopher Doyle, HKSC, entourée de Juliette Binoche et des réalisateurs Jenny Suen, Olivier Assayas et Frédéric Auburtin, a reçu l’hommage "Pierre Angénieux ExcelLens in Cinematography".
Le Festival Paris Cinéma a rendu hommage, samedi 7 juillet dernier au MK2 Bibliothèque, au directeur de la photographie Christopher Doyle, personnalité excentrique et artiste de génie, en présentant de nombreux films inédits et, en avant-première, le portrait que lui a consacré Yves Montmayeur.
Ce soir, Angénieux, en partenariat avec Weiying Technology et le magazine Movie View, honorera le travail de Christopher Doyle HKSC, l’un des directeurs de la photographie les plus reconnus et appréciés dans le monde du cinéma. Aussi appelé Du Ke feng ("Comme le vent"), Christopher Doyle, bien que né en Australie, se voit plus citoyen asiatique, qu’occidental. Sa contribution artistique aux films de Wong Kar-wai, Zhang Yimou et Fruit Chan, entre autres, est indiscutable.
Invité des déjeuners du Film français à la Plage des Palmes, le directeur de la photographie hongkongais Christopher Doyle, HKSC, a répondu avec l’humour de circonstance aux questions de Patrice Carré sur l’hommage qu’Angénieux lui rend cette année, sur sa carrière et son travail.
Le directeur de la photographie australien de naissance et chinois d’adoption Christopher Doyle, 杜可風, HKSC, et le coloriste japonais Soichi Satake, donnent de la couleur à They Say Nothing Stays the Same, de Joe Odagiri. Avec son esthétique époustouflante et ses stars japonaises, le film a déjà récolté plusieurs prix dans des festivals du film.
Willy Kurant, AFC, ASC nous signale un entretien en deux volets avec Christopher Doyle, directeur de la photographie australien de Hong Kong, toujours incisif et usant, selon son habitude, des termes particulièrement "choisis".
En complément d’un article de sa correspondante hongkongaise intitulé "Hong Kong, et la lumière fuit" – relatant la dépose par centaines d’enseignes au néon qui ont été longtemps l’âme emblématique de la ville et l’un des éclats lumineux du cinéma hongkongais –, le quotidien Libération des 25 et 26 novembre publie un entretien dans lequel le directeur de la photographie Chistopher Doyle regrette la gentrification de Hong Kong, la disparition des néons et la fadeur des LEDs qui les remplacent désormais.
Chez Fujifilm, sur la terrasse du Carlton, le photo call spécial directeurs photo pour Paris Je t’aime. ×Rencontre Fuji sur la terrasse du Carlton pour "Paris je t'aime" - Annick Mullatier et Sandrine Teysson entourées de quelques membres de l'équipe de "Paris je t'aime"."> Rencontre Fuji sur la terrasse du Carlton pour "Paris je t’aime" Annick Mullatier et Sandrine Teysson entourées de quelques membres de l’équipe de "Paris je t’aime". <a href="IMG/jpg/DSCF2601-1.jpg" class=" mediabox" title='De gauche à (...)