Première dans les effets spéciaux : quatre des plus grosses sociétés du secteur en France, Mikros Image, Buf Compagnie, Duboi et L’EST ont œuvré ensemble sur les effets spéciaux d’Astérix aux Jeux olympiques, en faisant travailler pendant dix-huit mois jusqu’à 200 techniciens. Pour réduire au maximum le temps de la postproduction, chacun était chargé d’une tâche précise : Duboi a développé les extensions du décor ; Buf Compagnie a assuré les travaux liés à la figuration 3D ; Mikros Image a traité les cascades, tandis que l’ a assuré une supervision générale des effets visuels. (Duboi, L’EST et Mikros Images sont membres associés de l’AFC. NDLR)
Le 14 juin, au Gran Theatro de Rome, L’EST a reçu le David di Donatello des " Effeti Speciali Visivi " pour notre travail sur le film Nuovomondo, d’Emanuele Crialesi. L’Académie des David di Donatello est l’équivalent italien des César. Les David di Donatello décernent un prix des effets visuels depuis 5 ans.
Femme Fatale pourrait se définir comme un thriller fantasmagorique, entre rêve et réalité. Pour son premier film tourné en France, Brian de Palma a choisi des décors suggestifs et esthétisants, sublimés par la lumière de Thierry Arbogast : Festival de Cannes, Hôtel Sheraton de Roissy, petite place du quartier de Ménilmontant... Cette dernière devenant presque un personnage du film. C’est dans cet univers qu’évolue Laura, grande et belle braqueuse de haut vol, personnage double. (...)
Suite à la mission que lui avait confiée Frédérique Bredin, présidente du CNC, en février dernier, Jean Gaillard a remis son rapport sur la structuration du secteur français des effets visuels numériques (VFX). Il dresse un état des lieux de l’activité et formule des propositions pour la renforcer et la développer. Il y déplore la faiblesse française de ce secteur de l’industrie, rappelant que nous formons pourtant parmi les meilleurs techniciens du domaine. Un rapport ultra documenté et sans concession. A lire absolument !
Pour faire suite à l’article de Rémi Chevrin publié dans la Lettre d’octobre, voici un mot sur les effets visuels de Cineman réalisé par Yann Moix (par Alexandre Bon et Audrey Kleinclaus). L’EST a supervisé la fabrication des effets visuels de Cineman depuis les premières étapes de préproduction jusqu’à la finalisation du film.
L’EST a pris la responsabilité opérationnelle, technique, artistique et financière de l’ensemble des effets visuels du film. En parallèle, les effets directs à la prise de vues ont été confiés à l’excellente équipe dite des " Versaillais ".
Nous avons appris avec tristesse la nouvelle du décès d’Alain Le Roy, superviseur d’effets visuels, emporté par un cancer aux suites pour le moins brutales dans la soirée du jeudi 16 avril 2020, à l’âge de 65 ans. Son rôle dans le domaine des effets spéciaux et visuels mérite que sa mémoire soit ici saluée, la société Excalibur, qu’il avait fondée, ayant eu sous son impulsion une importance évidente dans le domaine des industries techniques du cinéma. Christian Guillon et François Vagnon témoignent.
Ce film a nécessité un travail complexe de 3D sur les effets visuels. Nous pouvons notamment citer le travail réalisé afin de rendre parlant le cheval " Jolly Jumper ". Ce dernier a en effet nécessité une modélisation en 3D d’une bouche de cheval afin de pouvoir l’animer. On peut également souligner le travail important de conception 3D pour le bandit manchot (ville reconstituée en 3D) pour lequel seul le rez-de-chaussée existait en prises de vues réelles. Une présentation plus en détails de ce travail sur les effets visuels aura lieu à Parisfx.
Compositing final de tous les éléments (d’octobre 2001 à février2002) Tous les éléments fabriqués séparément au cours des mois qui précédent devaient être réunis pour produire une image finale. (...)
Lors des conférences données pendant le Micro Salon, Mikros Image a ainsi présenté deux de ses créations parmi lesquelles certains effets visuels clés sur Le Renard et l’enfant, réalisé par Luc Jacquet et Astérix aux Jeux Olympiques de Thomas Langmann et Frédéric Forestier.
Première dans les effets spéciaux : quatre des plus grosses sociétés du secteur en France, Mikros Image, Buf Compagnie, Duboi et L’EST ont œuvré ensemble sur les effets spéciaux d’Astérix aux Jeux olympiques, en faisant travailler pendant dix-huit mois jusqu’à 200 techniciens. Pour réduire au maximum le temps de la postproduction, chacun était chargé d’une tâche précise : Duboi a développé les extensions du décor ; Buf Compagnie a assuré les travaux liés à la figuration 3D ; Mikros Image a traité les cascades, tandis que l’ a assuré une supervision générale des effets visuels. (Duboi, L’EST et Mikros Images sont membres associés de l’AFC. NDLR)