Denis Dedise ou dans la lumière des " sunlights "...

A lire les quelques lignes écrites par Cendrine pour évoquer la mémoire de son cousin Denis, comment ne pas penser à cet autre moment magique, il y a maintenant près d’un lustre dans des circonstances similaires, où l’on a vu notre électricien des grandes circonstances, du haut de sa passerelle céleste, braquer les rayons de son brillant " sunlight " en direction des vitraux de Saint-Germain-des-Prés, baignant ainsi d’un faisceau lumineux, l’instant de quelques fugaces mais mémorables secondes, le cercueil de notre ami Etienne Becker.

A propos, cher Denis, question " sunlights ", tu en connaissais pour ainsi dire un rayon... Ils illuminaient tant tes yeux rieurs, quand venait le temps de nos Micros Salons. Tu ne les trouvais jamais assez puissants. N’avais-tu pas, en effet, l’intention, entre deux sourires et histoire de nous faire blanchir quelques cheveux supplémentaires, de nous proposer pour mars prochain un projecteur de 100 kW ?
Entre nous, Denis, sois sans crainte, ma paire de lunettes de soleil est déjà préparée, dans son étui, nickel chrôme...