Echos d’un jeune chef op’ dans "Les Echos"

La Lettre AFC n°298

Dans son numéro des 10 et 11 mai 2019 consacré au Festival de Cannes, le magazine Les Echos Week-End publiait une enquête sur six jeunes techniciens prometteurs du cinéma français. « Ils ont 30 ans à peine et des compétences que le cinéma français s’arrache déjà. » Parmi eux, un chef opérateur à ses débuts, Noé Bach, formé au département Image de La Fémis et sorti en 2014.

Au sommaire
- "Julia Lemaire : créatrice d’univers"
- "Yann Maritaud : au service des acteurs"
- "Léa Mysius : fan de Desplechin"
- "Julie Lena : le goût de l’orfèvrerie"
-" Julie Roué : au début était la cornemuse"
- "Noé Bach : du court au long".

« Il a grandi à Brignogan, sur la côte nord du Finistère. Adolescent, il emprunte l’appareil photo de sa mère et mitraille ses proches, les paysages et les ciels bretons. En option cinéma au lycée, il apprend à cadrer et devient très cinéphile. À La Fémis, il se forme à la pratique, aux tournages, mais dit avoir finalement peu profité du réseau qu’offre l’école. Et pourtant, il tourne, à un poste crucial puisqu’il est responsable, sur le plateau, de la prise de vues. Une quarantaine de courts-métrages en quatre ans, et quelques longs. Une vraie boulimie... "Mes premières collaborations, je suis allé les chercher !", affirme-t-il. » [...]

D’après Veronique Le Bris, Les Echos Week-End, 10 et 11 mai 2019.