Elwood Bredell

Direction de la photographie

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Articles (30)

The Origins of a Trophy
By Stéphan Massis, AFC

Les Prix AFC

Room 1163, Bry-Sur-Marne Hospital : Pierre-William Glenn is holding a small bronze Caméflex in his hands. The image is both sad and beautiful… this moment was recounted to us by Gilles Porte the day after the first-ever AFC Awards ceremony. He went to visit Pierre-William on his sickbed to show him the trophy that would be awarded to the winner of the new AFC Awards, as he was a founding member of the association. This small object in Pierre-William’s tired hands is the embodiment of the association’s founders passing the reins over to us, who are committed to making the AFC both active and lively.

Genèse d’un trophée
Par Stéphan Massis, AFC

Les Prix AFC

Chambre 1163, hôpital de Bry-sur-Marne : Pierre-William Glenn tient entre ses mains un petit Caméflex de bronze. L’image est triste et belle aussi… C’est Gilles Porte qui nous la raconte le lendemain de la première édition des Prix AFC. Il s’est rendu au chevet de Pierre-William pour lui montrer le trophée de ce nouveau Prix AFC, association dont il était un des membres fondateurs, en 1990. Ce petit objet entre les mains fatiguées de Pierre-William illustre une émouvante passation de témoin entre les créateurs de notre association et nous-mêmes, qui avons à cœur de rendre l’AFC bien active et vivante.

Dimatec donne des nouvelles des Muses of Light, de Vittorio Storaro

Lumière, Energie et Accessoires

Vittorio Storaro, AIC, ASC, est l’un des seuls directeurs de la photographie à avoir obtenu trois Oscars au cours de sa carrière ; pour Apocalypse Now, de Francis Ford Coppola, en 1980, pour Reds, de Warren Beatty, en 1982, et pour Le Dernier Empereur, de Bernardo Bertolucci, en 1988. Il a collaboré à plus de cinquante longs métrages, dont Coup de chance, le dernier film de Woody Allen, tourné à Paris et qui sortira prochainement.

Interview with Vittorio Storaro, AIC, ASC, about his view of the profession, his career and his “Muses of Light” spots
Zeus and his Nine Daughters

Entretiens avec les partenaires "industries techniques" de l’AFC

Three-time Oscar winner Vittorio Storaro, who has been working with Woody Allen since 2015, is currently shooting in Paris. Billed as a return to the thriller genre (in the same vein as Crimes and Misdemeanors and Match Point, the two black pearls in his long filmography), this film is expected to be the New York filmmaker’s final film. In this interview, Vittorio Storaro, AIC, ASC, reflects on his mythical career, his definition of the role of a "Author of cinematography" (and not Director of photography) as well as on The Muses of Light, his exclusive series of LED spotlights and softlights developed with De Sisti and which were given the names of Zeus’ nine daughters. The full range is distributed in France by Dimatec, and Stéphane Samama, with whom we met him. (FR)

Entretien avec Vittorio Storaro, AIC, ASC, à propos de sa conception de son métier, sa carrière et ses projecteurs "Muses of Light"
"Zeus et ses neuf filles", par François Reumont pour l’AFC

Entretiens avec les partenaires "industries techniques" de l’AFC

Faisant équipe depuis 2015 avec Woody Allen, Vittorio Storaro est actuellement en tournage à Paris. Annoncé comme un retour au thriller (dans la veine de Crimes et délits ou Match Point, les deux perles noires de sa longue filmographie, ce film est annoncé comme l’ultime réalisation du cinéaste New Yorkais. Vittorio Storaro, AIC, ASC, revient avec nous sur sa carrière mythique, sur sa définition du rôle d’"Auteur de la cinématographie" (et non pas de directeur de la photographie) ainsi que sur les "Muses of Light", sa série exclusive de projecteurs LED développés avec De Sisti et baptisés des noms des neuf filles de Zeus. Une gamme distribuée en France par Dimatec et Stéphane Samama, avec qui nous l’avons rencontré. (FR)

Fredrik Wenzel, FSF, discusses the making of “Triangle of Sadness”, by Ruben Östlund
Carl and Yaya are in a boat...

Les entretiens au Festival de Cannes

After The Square (Palme d’or 2017) and Snow Therapy (Un Certain Regard 2014), Swedish director Ruben Östlund makes his return to the Croisette with a hilarious bombshell where certain scenes rise to the height of Monty Python’s Himalayas. Triangle of Sadness thrilled audiences during the first weekend of the festival, sparking hilarious laughter in the theater as buckets of vomit spilled onto the screen. Cinematographer Fredrik Wenzel, FSF, teamed up with the Gothenburg director again on this marathon shoot of nearly eighty-five days (interrupted at the very start of the pandemic in March 2020, then resumed in the fall). He tells us of his joy at having been able to film this new film, which is a serious contender for this year’s top prize. (FR)

Fredrik Wenzel, FSF, raconte le tournage de "Triangle of Sadness", de Ruben Östlund
Carl et Yaya sont dans un bateau...

Les entretiens au Festival de Cannes

Après The Square (Palme d’or 2017) et Snow Therapy (Un Certain Regard 2014), le Suédois Ruben Östlund revient en force sur la Croisette avec une bombe hilarante où certaines scènes se hissent à la hauteur de l’Himalaya des Monty Python. Triangle of Sadness a enthousiasmé le public lors du premier week-end du Festival, déclenchant des fous rires dans la salle tandis que des seaux de vomi se déversent à l’écran. Le directeur de la photo Fredrik Wenzel, FSF, refait équipe avec le réalisateur de Göteborg sur ce tournage marathon de près de quatre-vingt cinq jours (interrompu au tout début de la pandémie en mars 2020, puis repris à l’automne). Il nous fait part de sa joie d’avoir pu filmer ce nouveau sérieux candidat au palmarès. (FR)

"Les rythmes de la lumière"
"Lauréat de l’ASC International Award 2020, Bruno Delbonnel, AFC, ASC, construit la lumière telle une ’pièce de musique’", par Benjamin B

Livres et revues

Dans un article publié par l’American Cinematographer de février 2020, Benjamin B, membre consultant de l’AFC, s’entretient avec le directeur de la photographie Bruno Delbonnel, AFC, ASC, qui vient d’être honoré, samedi 25 janvier, de l’ASC International Award 2020. Après avoir survolé son parcours jusqu’à son admission à l’ASC, en 2009, ses parrains étant Michael Chapman, Guillermo Navarro et Woody Omens, il revient avec lui sur la pratique de son travail - choix de focales, lumière, rendu de l’image, étalonnage - d’Amélie Poulain à Un long dimanche de fiançailles, d’Inside Llewyn Davis à La Ballade de Buster Scruggs, en passant par Dark Shadows ou Faust.

Monia prend tous les risques
Entretien avec la directrice de la photographie Josée Deshaies à propos de "La Femme de mon frère", de Monia Chokri

Les entretiens au Festival de Cannes

Hommage dans sa forme aux films de Claude Jutra ou Michel Brault, pionniers du cinéma direct des années 1960, La Femme de mon frère est un premier film réalisé par la comédienne québécoise Monia Chokri. Centré sur le mal de vivre de Sophia, une sorte d’anti-héroïne déprimée à la Woody Allen (interprétée par Anne Elisabeth Bossé), le film porte un regard ironique sur la société canadienne actuelle. Les thèmes de la réussite sociale et de l’immigration se mêlent au trajet parfois loufoque de cette jeune femme qui cherche le bonheur au milieu d’une famille encombrante. Josée Deshaies nous fait partager ses souvenirs du plateau. (FR)