Émilie Noblet

Réalisation
Direction de la photographie

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Et la lumière fut !
Six chef(fe)s opérateurs et opératrices "nouvelle génération" ont la parole

Livres et revues

Sous le titre quasi biblique "Que la lumière soit !", la revue Bref, éditée par L’Agence du court métrage, publie, dans son numéro 127 – sous-titré "De l’art d’éclairer le réel" –, un dossier donnant la parole à six directrices et directeurs de la photographie de la génération montante, dont le court métrage est le vivier. Des propos de Marine Atlan, Noé Bach, Fiona Braillon, SBC, Paul Guilhaume, AFC, Émilie Noblet et Martin Rit, voici quelques extraits...

La directrice de la photographie Emilie Noblet parle de son travail sur "Jeune femme", de Léonor Serraille
Par François Reumont pour l’AFC

Les entretiens au Festival de Cannes

Camarades de promotion 2013 à La fémis, Léonor Seraille et Emilie Noblet ont eu le temps de se côtoyer et travailler ensemble sur des projets d’études. À sa sortie, la réalisatrice a l’opportunité de présenter son scénario de fin d’études à la Cinémathèque pour lequel Emilie Noblet s’est immédiatement sentie attachée. Proposant de l’accompagner sur ce premier long métrage, les deux jeunes femmes se sont lancées dans l’aventure. Jeune femme en est le résultat, projeté en Sélection officielle, section Un certain regard, et concourant pour la caméra d’or... (FR)

Articles (17)

Le palmarès de la sélection Un certain regard

festival de Cannes 2012

Présidé cette année par Tim Roth, le jury de la sélection Un Certain Regard a décerné le Grand Prix à Después de Lucia de Michel Franco, photographié par Chuy Chávez.
Le Prix Spécial du jury a été attribué au Grand soir, réalisé par Benoît Delépine et Gustave Kervern et photographié par Hugues Poulain.
Une Mention spéciale a été décernée au film Djeca (Enfants de Sarajevo), d’Aida Bejic, photographié par Erol Zubcevic.
Les actrices ont eu le beau rôle dans le cru 2012 d’Un Certain Regard. Le jury a préféré ne pas remettre de prix d’interprétation masculin et distinguer ex-aequo Emilie Dequenne pour son rôle dans A perdre la raison de Joachim Lafosse, photographié par Jean-François Hensgens, AFC, SBC, et Suzanne Clément pour son interprétation dans Laurence Anyways de Xavier Dolan, photographié par Yves Bélanger.

Cinematographer JF Hensgens AFC, SBC talks about his collaboration on Joachim Lafosse’s last movie “A perdre la raison”

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Jean François Hensgens SBC, who joined the AFC in 2010, began his career as First AC on the Dardenne’s brothers movies La Promesse, Rosetta and Le Fils. He was then assisting Alain Marcoen SBC, long time cinematographer of the famous directors.
He photographed his first movie in 2004 : Fratricide a film by Yelmas Arslan and then started his collaboration with Olivier Van Hoofstad on the 2 movies : Dikkenek and Go Fast.
Later he shot Banlieue 13-Ultimatum by Patrick Alessandrin, Tête de Turc by Pascal Elbé, Cat Run and Darktide by John Stockwell.
Joachim Lafosse’s last script is based on a real tragic story : a mother of five, killed her children by cutting their throat. This horrible story shocked whole Belgium five years ago.
For this drama, Emilie Dequenne ( Rosetta in the Dardenne’s film) and the partners from Le Prophète , Jacques Audiard’s actors , Niels Arestrup and Tahar Rahim joined the casting.

Le directeur de la photographie Jean-François Hensgens, AFC, SBC, parle de son travail sur "A perdre la raison", de Joachim Lafosse

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Jean-François Hensgens, SBC, qui a rejoint l’AFC en 2010, a été assistant caméra sur les films des frères Dardenne – La Promesse, Rosetta, et Le Fils – au côté du directeur de la photographie Alain Marcoen, SBC. Il devient directeur de la photo en 2004 pour Fratricide de Yelmas Arslan puis travaille avec Olivier Vanhoofstad pour Dikkenek et Go Fast. Il consolide son expérience avec des films comme Banlieue 13 - Ultimatum de Patrick Alessandrin, Tête de turc de Pascal Elbé, Cat Run et Darktide de John Stockwell.
Le film du réalisateur belge Joachim Lafosse, A perdre la raison, est inspiré d’un fait divers tragique, une mère de famille qui égorge ses cinq enfants et qui avait bouleversé la Belgique, il y a cinq ans. Nous retrouvons pour ce drame Emilie Dequenne (la Rosetta des frères Dardenne) ainsi que le couple du Prophète de Jacques Audiard, Niels Arestrup et Tahar Rahim.

Entretien avec le directeur de la photographie Laurent Brunet, AFC, à propos du film "Pourquoi tu pleures ?" de Katia Lewkowicz

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Laurent Brunet, AFC a souvent tourné en Israël (Avanim de Raphael Najari, Mon trésor de Keren Yedaya ou Free Zone d’Amos Gitaï). En France, il a récemment signé l’image de films de Christophe Honoré, Lodge Kerrigan ou Martin Provost (Séraphine, César de la meilleure image en 2009). L’année passée à Cannes, c’est aussi lui qui avait signé l’image du Prix du jury (Un homme qui crie de Mahamat Saleh Haroun).

Interview with director of photography Laurent Brunet, AFC, about the film "A Screaming Man" by Mahamat-Saleh Haroun
Official Selection, 2010 Cannes Film Festival

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Laurent Brunet, who has photographed all of Raphael Nadjari’s films (including Tehilim, selected at Cannes in 2007), has a lot of experience filming abroad. But he didn’t know Africa, which he discovered while collaborating for the first time with Mahamat-Saleh Haroun, the only African to compete at Cannes 2010, with his fourth feature film, A Screaming Man. The original title was A Screaming Man is not a Dancing Bear a quote from The Notebook, Returning Home by the poet Aimé Césaire.

Entretien avec la directrice de la photographie Hélène Louvart, AFC, à propos du film "Copacabana" de Marc Fitoussi
En sélection de la Semaine de la Critique 2010

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Hélène Louvart a photographié les films de Sandrine Veysset, Marc Recha, Dominique Cabrera, Christian Vincent (entre autres !) et tout récemment le dernier film de Wim Wenders.
Marc Fitoussi signe avec Copacabana son deuxième long métrage. Après avoir été scénariste pour la télévision, il réalise des courts métrages puis un premier long métrage en 2006 La Vie d’artiste avec Sandrine Kiberlain, Denis Podalydès et Emilie Dequenne.
Copacabana réunit, pour la première fois à l’écran, Isabelle Huppert et sa fille Lolita Chammah et, pour une première collaboration, Marc Fitoussi et Hélène Louvart.

Entretien avec le directeur de la photographie Laurent Brunet, AFC, à propos du film "Un homme qui crie" de Mahamat-Saleh Haroun
Sélection officielle du Festival de Cannes 2010, en compétition

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Laurent Brunet, qui a photographié tous les films de Raphaël Nadjari (Téhilim, sélectionné à Cannes en 2007), a une grande habitude des tournages à l’étranger. Mais il ne connaissait pas l’Afrique et a découvert ce pays pour une première collaboration avec Mahamat-Saleh Haroun, le seul Africain de la compétition à Cannes avec Un homme qui crie, son quatrième long métrage. A l’origine, le titre complet était Un homme qui crie n’est pas un ours qui danse, une citation du Cahier d’un retour au pays natal du poète Aimé Césaire.

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Et la lumière fut !
Six chef(fe)s opérateurs et opératrices "nouvelle génération" ont la parole

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Sous le titre quasi biblique "Que la lumière soit !", la revue Bref, éditée par L’Agence du court métrage, publie, dans son numéro 127 – sous-titré "De l’art d’éclairer le réel" –, un dossier donnant la parole à six directrices et directeurs de la photographie de la génération montante, dont le court métrage est le vivier. Des propos de Marine Atlan, Noé Bach, Fiona Braillon, SBC, Paul Guilhaume, AFC, Émilie Noblet et Martin Rit, voici quelques extraits...

La directrice de la photographie Emilie Noblet parle de son travail sur "Jeune femme", de Léonor Serraille
Par François Reumont pour l’AFC

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Camarades de promotion 2013 à La fémis, Léonor Seraille et Emilie Noblet ont eu le temps de se côtoyer et travailler ensemble sur des projets d’études. À sa sortie, la réalisatrice a l’opportunité de présenter son scénario de fin d’études à la Cinémathèque pour lequel Emilie Noblet s’est immédiatement sentie attachée. Proposant de l’accompagner sur ce premier long métrage, les deux jeunes femmes se sont lancées dans l’aventure. Jeune femme en est le résultat, projeté en Sélection officielle, section Un certain regard, et concourant pour la caméra d’or... (FR)

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