Éric Faucherre

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Se souvenir de Max Pantera, charmant et talentueux professionnel
Par Dominique Le Rigoleur, AFC

Max Pantera

J’ai eu le privilège de bénéficier des compétences et du talent de cadreurs assez rarement : Eric Faucherre, pour deux films de Jean-Charles Tacchella, et Max Pantera pour La Lectrice, de Michel Deville, par exemple. C’était à chaque fois des cadreurs qui avaient l’habitude de travailler avec ce réalisateur-là, ce qui rendait le travail beaucoup plus facile. Ils possédaient les clés de la collaboration et travaillaient avec beaucoup d’aisance. En outre, c’étaient des personnes extrêmement chaleureuses.

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Paris Images rencontre Eric Gautier, AFC

Du côté d’Internet

Alors que Paris Images annonce sa prochaine édition, qui se déroulera entièrement en ligne du 25 au 29 janvier 2021, son site Internet offre à la lecture un entretien du directeur de la photographie Eric Gautier, AFC. A l’occasion du Micro Salon AFC 2020, il nous parle de son métier et notamment du travail avec un réalisateur face à la barrière de la langue.

Eric Gautier, AFC, un perpétuel désir
Par Ariane Damain Vergallo pour Ernst Leitz Wetzlar

Portraits de directeurs de la photographie dans l’optique de Leitz

Quand il était enfant, Eric Gautier passait de longs moments à Bondy, dans le magasin de fleurs de sa grand-mère. Il rêvassait en dévorant les albums de Tintin, ne sachant pas encore que son désir de cinéma naîtrait là, au milieu des couronnes mortuaires, et qu’il dirait bien plus tard : « Je dois tout à Hergé ».

Où Éric Dumont, AFC, parle de son travail sur "Suprêmes", d’Audrey Estrougo

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Eric Dumont, AFC, a commencé sa carrière sur des documentaires, puis il a éclairé plusieurs films de Stéphane Brizé : La Loi du marché, En guerre, Un autre monde. Il poursuit sa carrière éclectique en signant l’image du dernier film d’Audrey Estrougo, Suprêmes, présenté en Sélection officielle (Séance de Minuit) au 74e Festival de Cannes. (BB)

Eric Gautier, AFC, à l’honneur dans les pages du quotidien "Libération"

Revue de presse

Le quotidien Libération, qui consacre habituellement sa dernière page au portrait d’une personnalité digne d’intérêt, trace, dans son édition du mardi 3 novembre, celui de notre confrère le directeur de la photographie Eric Gautier, AFC.
« Eric me fait penser au premier poisson qui a mis l’œil dehors car il avait par hasard des pattes », dit de lui avec humour le réalisateur Alain Resnais, dont Eric a photographié le dernier film, Les Herbes folles. Et Alain Resnais de s’expliquer : « Curieux et ouvert à tout, dépourvu d’a priori, Eric sort perpétuellement la tête pour voir si c’est mieux de vivre dans ou hors de l’eau ».

Le directeur de la photographie Eric Gautier, AFC, parle de son travail sur "On the Road" de Walter Salles

Entretiens avec des directeurs de la photographie

C’est pour une seconde collaboration qu’Eric Gautier retrouve Walter Salles sur les routes Nord américaines. Carnets de voyage était aussi en sélection officielle à Cannes en 2004 où Eric avait été récompensé pour son travail par le prix Vulcain de l’artiste technicien. L’adaptation filmée du roman culte de Jack Kerouac On the Road, en sélection officielle de ce 65e rendez-vous cannois, a inspiré à Eric une image sans cesse réinventée.

Eric Gautier, AFC, tourne "The Mercy" en pellicule Kodak 35 mm

Kodak

Tourné en pellicule Kodak 35 mm par le directeur de la photographie français Eric Gautier, AFC, The Mercy est basé sur l’histoire vraie de l’homme d’affaires et navigateur américain Donald Crowhurst, et de sa tentative malheureuse de remporter le premier tour du monde sans escale, le Golden Globe du Sunday Times, en 1968. Le directeur de la photographie nous explique comment il a utilisé la pellicule Kodak 35 mm pour offrir au film une esthétique émouvante et sensuelle.

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Se souvenir de Max Pantera, charmant et talentueux professionnel
Par Dominique Le Rigoleur, AFC

Max Pantera

J’ai eu le privilège de bénéficier des compétences et du talent de cadreurs assez rarement : Eric Faucherre, pour deux films de Jean-Charles Tacchella, et Max Pantera pour La Lectrice, de Michel Deville, par exemple. C’était à chaque fois des cadreurs qui avaient l’habitude de travailler avec ce réalisateur-là, ce qui rendait le travail beaucoup plus facile. Ils possédaient les clés de la collaboration et travaillaient avec beaucoup d’aisance. En outre, c’étaient des personnes extrêmement chaleureuses.