Farouk Laâridh

Direction de la photographie

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"Les Filles d’Olfa", de Kaouther Ben Hania, Prix Alice Guy 2024

Autres festivals

Le Prix Alice Guy, qui se donne pour but de mettre en lumière et en valeur le travail des réalisatrices, a été décerné, mardi 20 février 2024, au film Les Filles d’Olfa, réalisé par Kaouther Ben Hania et photographié par Farouk Laaridh. Il sera remis à sa réalisatrice, fin mars, début avril, lors d’une cérémonie au Max Linder Panorama.

Zeiss s’entretient avec le directeur de la photo Farouk Laaridh pour son travail sur "Les Filles d’Olfa", de Kaouther Ben Ania

Optiques

Entre ombres et lumière, Olfa sourit et parle. Il y a dix ans, deux de ses quatre filles, si belles et vivantes, ont été « prises par les loups ». Aujourd’hui elle parle à son reflet dans le miroir, aux filles qu’il lui reste, à la grande Hind Sabri, venue pour la jouer quand parler devient trop dur, et aux actrices qui vont incarner les filles qu’elle a perdues. Le public assiste à cette expérimentation peu commune depuis l’autre côté du miroir et revit le passé des six femmes alors qu’elles comparent et rejouent leurs souvenirs de joies, de chagrins, de reproches et de sororité.

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"Les Filles d’Olfa", de Kaouther Ben Hania, Prix Alice Guy 2024

Autres festivals

Le Prix Alice Guy, qui se donne pour but de mettre en lumière et en valeur le travail des réalisatrices, a été décerné, mardi 20 février 2024, au film Les Filles d’Olfa, réalisé par Kaouther Ben Hania et photographié par Farouk Laaridh. Il sera remis à sa réalisatrice, fin mars, début avril, lors d’une cérémonie au Max Linder Panorama.

Zeiss s’entretient avec le directeur de la photo Farouk Laaridh pour son travail sur "Les Filles d’Olfa", de Kaouther Ben Ania

Optiques

Entre ombres et lumière, Olfa sourit et parle. Il y a dix ans, deux de ses quatre filles, si belles et vivantes, ont été « prises par les loups ». Aujourd’hui elle parle à son reflet dans le miroir, aux filles qu’il lui reste, à la grande Hind Sabri, venue pour la jouer quand parler devient trop dur, et aux actrices qui vont incarner les filles qu’elle a perdues. Le public assiste à cette expérimentation peu commune depuis l’autre côté du miroir et revit le passé des six femmes alors qu’elles comparent et rejouent leurs souvenirs de joies, de chagrins, de reproches et de sororité.