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Messages

  • Bonsoir à toutes et à tous !

    Je débute comme chef opérateur et j’ai un défi énorme. Je dois éclairer une table et des invités pendant un diner. L’endroit est étroit (2,68m de largeur pour 2,90m de longueur), plafond très haut. Au centre de cette espace il y aura une table de 1,90m de longueur pour 0,90m de largeur plus les chaises. Et bien, il faut que je fasse une lumière de façon à susciter le mystère car l’ambiance doit ressembler à un mausolée. Le problème est que je n’ai sais pas comment placer mes lumières car je n’ai pas d’espace. Voilà, si vous pouvez me donner des idées ce serait cool ! Je vous remercie d’avance !

    • Bonjour,

      La lumière au cinéma n’étant jamais une chose en soi, une fois que l’on a une idée vague ou précise de l’ambiance lumineuse que demande une scène, vient se poser la question du rôle de chacun de ses participants. A savoir combien y a-t-il de protagonistes, où sont-ils et que font-ils, d’une part, où est la caméra et quel rôle joue-t-elle (que fait-elle, quels plans filme-t-elle, quelle grosseur, fixe, mobile, etc.), d’autre part. Un fois répondu à ces interrogations, les choses se simplifient et l’on peut aller à l’essentiel, en tentant de trouver, dans la mesure du possible, des compromis avec la mise en scène.

      Au sujet du problème que vous posez, déjà, le terme mausolée prête à confusion : d’après Le Robert, c’est un "somptueux monument funéraire de très grandes dimensions"... Ce qui ne semble pas être le cas du décor que vous décrivez et que l’on aperçoit sur l’image jointe. Vous ferez difficilement, dans un si petit endroit où les murs blancs seront juste derrière les acteurs, une lumière dite de mausolée.

      Ceci dit, il n’y a pas 36 solutions. Soit il y a sur la table des lumières praticables qui éclairent les invités, soit vous faites installer une ou deux barres au ras du plafond sur lesquelles vous accrochez autant de petites sources ponctuelles qu’il y a d’invités (que vous tâcherez d’isoler), soit vous y accrochez plusieurs sources moyennes que vous dirigerez verticalement sur la partie centrale de la nappe blanche et dont la lumière se reflètera par en dessous sur le visage des invités, soit enfin vous combinez deux ou trois de ces éventualités. Et libre enfin à votre imagination de trouver d’autres solutions.

      Cordialement.

    • Merci Jean-Noël pour votre réponse.
      La scène se compose avec des bougies des deux côtés de l’arche et sur la table, aussi des verres, des bouteille de vin et des assiettes, des fleurs sur la table et au sol ( la vue frontale comme dans la photo). Les personnages sont cinq. La propriétaire de la maison est au bout de la table, proche des rideaux.
      Peut être mausolée c’était un peu présomptueux, on peut parler alors d’un caveau. Cette salle à manger doit ressembler à un caveau, dont la tombe c’est la table.
      Ce qui m’embête c’est le mur très proche des invités, j’ai trouvé une idée pour le décorer un peu mais je reste très limitée pour l’éclairage (tout est blanc et je risque une lumière trop diffuse).
      L’atmosphère doit être mystérieuse avec des contrastes tout en évitant les ombres dures.
      J’ai aussi le défi de mouvement de camera derrière les invités ! Enfin, du lourd ! Je vais quand même réfléchir aux solutions que vous m’avez proposé. Cordialement
    • Si vous pouvez mettre des barres bouladou, on peut imaginer une lucarne "off" comme certains caveaux du père lachaise par exemple, qui permettrait de créer un effet directionnel avec une mini-découpe source four, voir un gogo" lucarne".
      je crois qu’il ne faut pas trop tenter d’éteindre les murs blancs, au risque de murs grisés pas très élégants.
      amicalement
    • Merci Eric pour votre réponse !

      l’idée des lucarnes c’est pas mal, sauf qu’il me faut un minimum d’espace utile pour bouger derrière les invités. Hier j’ai fait des essais en mettant une mandarine placée au sol avec diffuseur et cinefoil sur le lustre. Cela m’a permis de l’avoir bien clair e presque sans ombres portées. C’est vrai que les murs blancs pas éclairés comme il faut ça fait sale et même lugubre. Et bien, je crois que je vais assumer ce message. On a pas bcp de moyen et je dois me débrouiller avec très peu de sources. Mon défi maintenant est de jeter les ombres des invités au plus bas possible et me concentrer sur l’ambiance lumineuse de la table. Derrières les invités je mettrai des petits cadres avec des noms, juste en haut il y aura une photo de la propriétaire de la maison, comme dans un arbre généalogique. Enfin, je m’y mets ! Bon dimanche !

  • Bonjour.

    Je me permets de vous écrire, car je suis en rédaction de mon mémoire, pour le département SATIS. Le thème de ce mémoire est "la lumière dynamique" : la chorégraphie lumineuse, le déplacement des sources durant la prise, la variation de leur intensité, de leur couleurs, les changements de diaphragmes liés, et l’impact sur la mise en scène, la congruence qui en résulte. Les références sont variées, passant de One From The Heart de Coppola, Rouge de Kieslowski, Birdman d’Innaritu, Danse avec les Loups et ses effets "feu" et bien d’autres.. J’aimerai contacter des chefs opérateurs, qui pratiquent et utilisent ces techniques, et/ou en ont la culture, des informations sur le sujet, ainsi que des 1ers assistants qui ont l’habitude des ces changements de diaphragmes durant la prise, et de l’impact sur leur travail. Je restreins ici mon message.
    J’ai déjà quelques interviews, mais j’aimerai étoffer mon travail. Je vous remercie du temps que vous avez accordé à me lire.
    Je serai évidemment ravi de recevoir un mail si vous êtes intéressés par mon sujet, à cette adresse : abily.matthieu chez gmail.com.
    Bien à vous,

    Matthieu Abily

  • Mon message est très général :
    Pourquoi n’y aurait-il pas une "approche généraliste" des métiers techniques et artistiques du spectacle et du cinéma abordée en matière "auxiliaire" dans les lycées ? (Lycées généralistes, techniques et professionnels).
    Il s’agit, après tout, de culture générale. Une lumière..., un éclairage particulier sur un phénomène de société.
    On parle bien souvent d’un film sur la "toile", surtout à sa sortie, mais on ignore tout de ce qui se passe... en "avant-première" dans les coulisses !
    Des métiers nobles qui pourraient intéresser des artistes, des techniciens en quête de "futur professionnel" !
    Bon, il est vrai qu’il n’y a pas de débouchés importants sur un plan quantitatif, mais dans le secteur "culturel", un secteur passionnant, il semble qu’il serait bon de promouvoir officiellement certaines disciplines... artistiques méconnues !

    Patrick Redslob, retraité de la prise de vues professionnelle et ponctuellement directeur de la photo... devenu sur le tard... journaliste !

  • Bonjour,

    Début septembre, à Brest, je fais la lumière d’un court-métrage.
    Inspiré de l’assassinat de Pasolini, l’histoire d’une rencontre entre un auteur et un gigolo, qui se passe de nuit, une embuscade, un meurtre...

    D’abord sur un port avec des éclairages publics. Puis sur une plage dépourvue de tout éclairage, avec la ville au loin et un pont (la plage est dans une anse) mais qui est très peu éclairé.
    La rencontre, leur ballade sur la plage (acrobatie au sol, une partie de foot avec une canette de soda, un corps à corps..., des rapports de désir et émotions qui varient) font presque la moitié du film. J’oubliais l’assassinat, qui se fait sur la jetée avec une voiture, feux allumés, d’où sortent les meurtriers.

    Je n’ai jamais éclairé de nuit !!! C’est super !!
    La caméra est une F3, nous serons à 800 ISO, sur des ouvertures entre 1,8 et 4.
    A disposition je risque d’avoir 2 Cinépar HMI de 2,5 kW, 1 Joker 400 tout équipé, un Joker 200, des fluos 4 tubes 120. Et je cherche des panneaux LED sur batterie. Possibilité d’avoir des HMI 575... Et j’ai des cadres, de la diff et une bijoute d’électro.
    40 ampères sur une école de voile qui jouxte la plage. Et sinon, tout doit marcher sur batteries...
    Mais mes questions sont plus des questions de fond...

    Est-ce que l’arrière plan (arbres, murs en pierre, etc.) et l’eau ne sont pas les éléments fondamentaux à éclairer. Et laisser les comédiens plus se découper sur ces lumières de derrière, plutôt que de vouloir éclairer les comédiens d’abord ?
    Puis venir récupérer en latéral ou en face avec un Joker en réflexion ou des fluos...

    Embarquer une source sur un bateau à 20 ou 30 mètres du rivage pour bénéficier d’un contre intéressant venant de la lune sur l’eau... Est-ce que ça ressemble à une bonne idée ou pas ? Possibilité d’éclairer l’eau en contre et travailler cette matière sur les arrières plans des comédiens lorsqu’ils sont dos à la mer. Ou alors en latéral, comme si la lumière venait de l’eau ou des ses reflets.

    Mélanger du HMI avec, pour les comédiens et visages, des LED ou des fluos ? Ou alors privilégier tous l’éclairage en HMI ?
    J’aurais tendance à mélanger, pour modeler.

    Quelles gélatines sur les Cinépar ? Je compte les utiliser en contre ou en latéral...
    J’ai dans l’idée que les contres qui vont amener le relief du décor et l’ambiance ne doivent pas être à la même température que les visages. Si oui, faut-il remettre un peu de bleu ?
    D’ailleurs, certains disent qu’il faut tourner à 3 200 avec du HMI et ne rajouter qu’un demi CTB... Qu’en dîtes-vous ?

    Oh là là. Ce mail pourrait faire trois pages...
    Dans mon idée, il y a trois plans. l’horizon (que je ne maîtrise pas, ou alors grâce au cadrage), la plage (décor et ambiance), que je voudrais éclairer en contre, et les comédiens.
    Auriez-vous des remarques, des conseils, retours d’expérience.
    Que pensez-vous de cette source à l’eau à 20/30 mètres du rivage ?

    Merci infiniment pour l’éclairage que vous saurez m’apporter !
    Bien à vous,
    Guillaume Kozakiewiez

    Ah oui ! On tourne quatre nuits, juste avant la super lune du 9 septembre (où les marées deviennent folles à priori)... Mais il y aura donc une belle lune...

    Et je suis quand même chef-opérateur avec un grand amour de la lumière !

  • Bonjour,
    Je suis un jeune réalisateur indépendant, amoureux de belles images. J’utilise souvent un reflex Canon 7D pour faire des minis vidéos urbaines. Mon problème aujourd’hui, c’est de savoir si c’est mon matériel ou si c’est simplement une ignorance technique qui m’empêche de capturer le soleil comme Emmanuel Lubezki dans le film "A la merveille" de Terrence Malick. Merci pour votre aide.

    Cf : voir extrait suivant "A la merveille" à 0:17 secondes
    https://www.youtube.com/watch?v=NTAzcTZTY1g&feature=youtu.be

    Emmanuel J.

    Voir en ligne : http://www.behance.net/EmJeeJoseph

  • Bonjour, bonjour,

    j’ai quelques questions concernant l’éclairage d’un court-métrage de fiction. Un long plan en travelling reliant différents espaces me pose quelques soucis : il s’agit d’un long travelling qui suit face caméra le trajet d’un personnage depuis son entrée dans la maison jusqu’à son arrivée dans ce qui sera le décor principal : la cuisine. L’ambiance à reconstituer est celle d’une chaude journée d’été avec une lumière plutôt orangée de fin d’après-midi. Je souhaite une ambiance contrasté pour recréer un climat dramatique.

    Je souhaitais utiliser comme projecteur principal un HMI directionnel avec gélatine pour le réchauffer pour le décor cuisine et après j’envisageais des sources thungstène pour le reste du trajet notamment pour une question de budget.

    Mais c’est l’entrée du personnage dans la maison qui me pose problème : si j’utilise la lumière du jour , je ne pourrais contrôler la température de couleur de cette lumière qui sera bleutée par rapport au reste. Il faudrait à ce moment là placer un projo derrière le personnage et couper le flux lumineux émanant du soleil ? Qu’en pensez vous ? Quelle gélatine me conseillez vous pour obtenir une dominante orangée sur les HMI et l’équilibrage avec les thungstène halogène ?

    Autre question : dans un décor naturel ( maison ), j’aimerai connaitre quel ampérage est nécessaire pour l’amorçage du ballast des HMI ? en 575, 1200 et 2500 W ?

    Merci ( inifiniment )d’avance

    • Bonjour,

      Si vous voulez obtenir quelque chose de " chaud ", un conseil, n’hésitez pas à partir du " chaud ", c’est-à-dire une source tungstène plutôt qu’un HMI, que vous aurez effectivement à filtrer pour le réchauffer. Suivant l’ampérage dont vous disposez et la quantité de lumière souhaitée, une Fresnel 2 kW (16 A) ou un 5 kW (32 A) fera l’affaire.
      Vous pourrez alors refroidir légèrement les autres tungstènes à l’intérieur avec du 1/4 ou du 1/2 CTB, selon votre goût. De même pour l’effet soleil si à l’œil vous le trouvez trop chaud par rapport à la lumière du jour.

      Pour les trois HMI dont vous parlez, 16 A suffisent pour les amorcer (mais n’amorcer le 1 200 W, et surtout le 2 500, que si tous les autres projecteurs sont éteints, sinon le disjoncteur aura des chances de sauter ! Les rallumer une fois le HMI " monté " en température.

      Cordialement,
      Jean-Noël Ferragut

    • L’utilisation du HMI correspondait aussi à son rendement supérieur par rapport à une lumière incandescente qui nécessite un plus gros ampérage et ce même si je filtre le HMI. Par ailleurs je m’étais aussi posé la question de bornioler, couper la lumière autour de mon projecteur situé à l’extérieur pour éviter la pénétration du rayon solaire et la variation d’intensité lumineuse. En somme recréer une condition de studio. Je me disais qu’un projecteur HMI dégagerait alors moins de chaleur et surchaufferait moins dans cette sorte d’enveloppe de borniol...
  • Bonjour,
    Je vais réaliser cet été un film d’animation avec des personnages en LEGO. Pour cela, je souhaite utiliser un éclairage artificiel de manière à éviter les variations de la lumière du jour.
    Ma question est : Que dois-je utiliser comme éclairage ? Projecteurs, lampes..., quelle puissance et combien de Kelvin pour pouvoir reproduire la lumière du jour et si possible des liens vers les modèles disponibles.
    Merci de vos réponses rapides. :)
    • Bonjour,

      Nous vous conseillons vivement des LEDs ou des fluos, non parce que c’est beau mais parce que ça ne chauffe pas, ce qui est très agréable lorsqu’on travaille longuement dans un espace réduit.
      Les bonshommes Lego sont en plastique donc un éclairage diffus nous semble adapté mais si c’est par exemple pour simuler un film d’horreur, il serait bon de ressortir les petits Dedolight, de préférence avec un nez optique pour travailler en finesse...
      Si (bien sûr ?) vous tourner avec un appareil photo, vous pouvez prendre n’importe quelle source de votre choix à condition de faire la balance des blancs. Etc., etc., etc.
      Enfin, si jamais vous utilisez de la lumière directionnelle, le polarisant est vivement conseillé pour minimiser les brillances.

      Cordialement,
      Jean-Noël Ferragut

  • Bonjour !
    J’ai un projet d’éclairage ! Et j’espère que vous pouviez m’aider !
    Je dois éclairer un bureau avec une ambiance chaude et la lumière provenant du soleil entre par la fenêtre (coucher du soleil) ! Et de l’autre cote du bureau la lumière d’une lampe(ampoule)
    Donc quels projecteurs, filtres je dois utiliser ?
    Et comment faire pour créer du contraste ?
    • Bonsoir Maya,

      Si de coucher de soleil il s’agit, M. de La Palisse dirait qu’on est en fin d’après-midi, donc un forte lumière chaude venant de l’extérieur, de la lumière tungstène (5 kW Fresnel élargi, pour avoir une belle lumière directionnelle – avec ombres marquées – venant d’assez loin, juste ce qu’il faut au-dessus du "keylight"), par exemple, réchauffée pour la circonstance avec un 1/2 ou 3/4 CTO, ou, au pire, un HMI 2,5 ou 4 kW, Cinépar ou Fresnel, avec du Full + 1/2 CTO (mais alors chasse aux éventuelles dominantes colorées). Voila pour ce qui viendrait de l’extérieur.

      A l’intérieur, une pénombre diffuse et légèrement plus froide à 1 et demi à 2 diaph. de sous-ex. (réflexion, au plafond ou sur du polystyrène tout près de la fenêtre, de lumière tungstène + 1/2 ou 3/4 de CTB ou HMI ou fluos lumière du jour + 1/2 ou 3/4 CTO) et du tungstène à 3 200 K nature pour la lampe (ou l’ampoule).

      Le contraste, d’au moins 5 diaph. (fin de jour mais jour ensoleillé quand même) peut être augmenté à volonté suivant le niveau de "dramaturgie" que nécessite la scène envisagée.

      En espérant vous avoir fourni quelques pistes, cordialement,

      Jean-Noël Ferragut

  • Bonjour,

    Je suis étudiante en Master 2 Prise de Vue à l’Université de Provence. Je suis en train de rédiger un mémoire sur les basses lumières. Je souhaite intégrer dans ce mémoire des entretiens avec des Chef- opérateurs qui ont déjà travaillé avec des basses lumières (film ou HD).
    Si vous êtes intéressés pour répondre à mes questions, vous pouvez me contacter à l’adresse mail suivante : legodecflorie chez hotmail.fr

    Merci beaucoup

    Cordialement

    Florie Le Godec

  • Bonjour je vais éclairer prochainement un moyen métrage et dans le scénario il est prévu un effet et pour le réaliser j’aurai besoin des conseils de personnes expérimentées.

    Je dois simuler le faisceau d’un hélicopter à travers la fenêtre d’un entrepôt.
    Ma question est quel type de projecteur dois je utiliser et quelle puissance ?

    Merci de me répondre sur cette messagerie

    juliendesti chez yahoo.fr

    Merci pour vos réponse

  • Bonjour, je suis actuellement en dernière année image à l’EICTV et la période de la thèse arrive à grands pas. Dans un de mes scénarios il y a un effet de lumière avec la pluie. L’idée c’est que que le personnage est à l’intérieur d’un appartement avec référence extérieure. Il pleut et la pluie se dessine sur le visage du personnage (cadré en plan moyen) qui regarde dehors. Ça, c’est la première situation.
    La seconde est un extérieur jour et il pleut. Enfin, le 3e effet lumière se passe après la pluie à l’intérieur du même appart. Un rayon de soleil traverse la fenêtre et vient se poser sur le sol. Des nuages font de l’ombre et passent faisant alterner les moments de forte lumière et vice versa.
    On tourne en 35mm avec de la Fuji (250 D).
    Ma question est comment éclairer la pluie exactement pour qu’on la note sur le visage (sans compter de camion à pluie) ? On m’a dit qu’il fallait l’éclairer à contre-jour pour la note.
    J’aimerais avoir l’avis d’autres personnes qui ont eu des situations similaires.
    Merci
    • Bonjour,
      On vous a bien renseigné : la pluie "s’éclaire" la plus part du temps à contre-jour, à un détail supplémentaire près.
      A savoir qu’il est toujours préférable, afin que l’on sente bien la pluie à l’image, qu’elle se détache sur un fond sombre (par exemple, filmer la pluie, artificielle ou non, rééclairée ou non, sur fond de ciel ou sur fond d’immeuble clair a peu de chance de donner un résultat satisfaisant). Plus votre fond sera clair, plus il vous faudra rééclairer en conséquence la pluie en contre-jour (sous un angle de 45°, c’est l’idéal).
      Pour simuler la pluie vue de l’intérieur, vous pouvez faire dégouliner, par un système installé hors champ, de l’eau sur l’extérieur des vitres de la fenêtre à travers laquelle votre personnage regarde dehors (le soir ou la nuit, ça marche bien car vous pouvez faire un effet clair de lune ou lampadaire qui viendra toucher le visage de votre personnage et vous verrez se projeter les sinuosités des filets d’eau).
      Il y a sans doute d’autres solutions, mais ayez toujours à l’esprit que votre film a de grande chances d’être sonore..., et que, parfois, le son aide à faire passer des effets pas forcément complètement réussis.
      Dans tous les cas, bon tournage.
      Cordialement, JN Ferragut
  • bonjour !
    je suis en derniere annee d ’étude à l UQAM montréal en cinéma.
    je vais etre directrice photo sur un film en 35mm, tourné pratiquement de nuit à l’épaule avec la BL IV....tout un programme. j ai quelques difficultés à imaginer comment éclairer les effets suivants :

    • la lumiere réfléchie de la télévision sur le visage du personnage la nuit, il faut que celui ci soit assez voyant.
    • l éclairage d une boite de nuit (je viens d appeller le departement lumiere de panavision voir s il ont pas du materiel special a me procurer), cest un plan tres serré (pas de décor, que le personnage et des figuants dans le plan) recréé en studio, mais si vous avez des suggestions...
    • l’éclairage dans une voiture de nuit
    • l’éclairage d un arriere de restaurant gauque (poubelles, detrituts) qui est sensé se passer au crepuscule...j ai donc pensé a tourner a l ombre avec des filtres bleus et une peloche peu sensible tungstene, des lumieres allumées dans le decor.

    jattend vos conseils avis, tout est bon a prendre...la date des essais camera approche...

    • La lumiere réfléchie de la télévision

      • Attention une TV emet de la lumiere du jour donc si vous ne voulez pas que les images TV soient bleues et désaturées, il faut travailler en lumière du jour. Essayez les softlights T5 classic ou 200, montés en dmx pour pouvoir faire varier la lumière(www.softlights.com).

        l’éclairage d une boite de nuit

      • Par 36 ou 54 avec gélatines de couleur, le tout monté sur variateurs de lumière.Et un peu de diffusion avec fumée légère.

        l’ éclairage dans une voiture de nuit

      • Essayez les Litepanels sur batteries et allume cigare.

        éclairage d un arriere de restaurant glauque (poubelles, détrituts) qui est sensé se passer au crepuscule...j ai donc pensé à tourner à l ombre avec des filtres bleus et une peloche peu sensible tungstene, des lumieres allumées dans le decor.

      • Bonne idée mais pas les filtres bleus (c’est moche). Pensez à tourner sans 85 en donnant une tendance 1 diaph sous ex, c’est suffisant.

      Bon tournage

  • Bonjour

    Comment créer une ambiance lumineuse "couché de soleil" (le personnage est placé dans une pièce avec fenêtre) ? Au niveau des ombres, des placements de projecteurs, de la diffusion ou non de la lumière...et ce sans avoir un éclairage trop orangé ? (la lumière de fin d’après midi étant rose orangée, quels filtres peut on utiliser sans pour autant avoir une image vraiment trop colorée, qui reste "naturelle" ? (le tournage s’effectue en DV CAM)

  • Bonjour à tous.

    Je suis actuellement étudiant en master 1 d’audiovisuel à l’IUP Satis d’Aubagne. Durant mes deux dernières années d’étude, je dois écrire un mémoire. J’ai voulu parler dans ce dernier, des hautes lumières. Je souhaite dans une première partie faire une sorte d’historique de l’utilisation d’images traitées essentiellement dans les hautes lumières en peinture, en photographie puis en noire et blanc... Je souhaite ensuite effectuer une comparaison entre la HD et la pellicule. Je ferais après une partie pratique en complément de mon mémoire.

    Si vous avez donc des œuvres, des ouvrages... à me conseiller, ou des techniques à utiliser pour effectuer de telles images, cela me serait très utile.

    Merci d’avance.

  • bonjour,
    je suis étudiante en dernière année d’école d’audiovisuelle. je suis en pleine recherche pour mon mémoire dont le sujet est " être chef opérateur en HD ". je récapitule dans ce mémoire l’amélioration des pellicules et projecteurs depuis les débuts du cinéma (caractéristique technique et esthétique : sensitométrie grain couleur...pour la pellicule, et puissance, taille, température de couleur pour les projecteurs).
    Pour le moment mes recherches ne sont pas assez précises, donc si vous connaissiez des livres qui pourraient m’aider, ce serait formidable !

    de plus je recherche différents avis de chef opérateur/directeur de la photo sur la HD au point de vue technique, mais surtout esthétique.

    merci beaucoup.
    marjolaine

  • Bonjour à tous,
    Je suis régisseuse et technicienne lumière en théâtre et en événementiel. Je vais sans doute faire une formation d’éclairage scénique qui comprend de la conception lumière mais aussi de la photométrie, de la colorimétrie. Avec une telle formation, puis je évoluer et me mettre à faire aussi de la lumière en cinéma (bien sur en tant qu’assistante) ou suis je encore en défaut de connaissances et alors devrais je me tourner vers une formation plus axée QUE lumière cinéma. En fait je chercher à pouvoir faire les deux ... ???

    Merci d’avance pour vos conseils.
    Kwai

    Voir en ligne : Mon site web

    • Bonjour,
      Les bases de photométrie et de colorimétrie que vous apprendrez lors de votre formation vous serviront pour une éventuelle évolution vers la lumière "cinéma - audiovisuel".
      Le "spectacle vivant" (théâtre, opéra, évennementiel) utilisant de plus en plus la vidéo, vous serez sans doute formée à l’utilisation quantitative et qualitative de la lumière en vue de la captation des images (on peut vous le souhaiter en tout cas).
      Mais si vous voulez évoluer de manière significative vers la direction de la photographie, il vous faudra apprendre le b a ba du "langage" cinématographique. Comment est "fabriqué" un film, ce que c’est qu’un plan, comment est articulé une séquence composée des plusieurs plans, comment utiliser les outils que sont la caméra et les projecteurs en fonction des intentions dramatiques d’un réalisateur et de l’histoire qu’il veut raconter et comment vous pourrez l’aider à y arriver.
      Il vous faudra aussi étudier la nature du support (vidéo et pellicule) sur lequel vous enregistrerez vos images et comment elles sont "travaillées" une fois enregistrées.
      Pour ce faire, il y a deux solutions. Intégrer une école de cinéma digne de ce nom (les Ecoles nationales supérieures Louis-Lumière et La fémis à Paris, le nec plus ultra, ou les BTS audiovisuels, mais vous ne toucherez pas au film). Soit appendre "sur le tas", en passant par l’"école" du court métrage (ce qui n’est pas incompatible avec le "passage" par une formation intiale).
      Bien sûr, une fois ces bases emmagasinées, vous pourrez éventuellement pratiquer vos deux métiers prallèlement.
      Voilà, pour faire court et en vous souhaitant bon courage pour l’avenir.
      Cordialement, Jean-Noël Ferragut
    • Merci de votre réponse rapide. Pour plus de précision sur mon parcours, je navigue déjà dans le monde du court métrage en parallèle avec mon métiers de lumière dans les spectacles. Plan, séquences, dépouillement ou "son seul" (etc) me sont donc tout à fait familier. En partant de là et de votre réponse, j’en déduis qu’en suivant cette formation, j’aurais des notions qui me permettront ensuite d’apprendre "sur le tas" par le monde du court métrage et de l’assistanat de tournage ? A moi peut être de me former en parallèle sur l’utilisation quantitative et qualitative de la lumière en relation avec le travail de caméra ? Rien d’impossible ou d’irréalisable ?

      Merci encore
      Kwai

    • Présisions
      Je ne connais pas la "formation d’éclairage scènique" à laquelle vous faites allusion et que vous comptez suivre. Je ne sais donc pas jusqu’où vont ces "notions de photométrie et de colorimétrie".
      Pour en revenir aux ENS, ce qui est sûr c’est qu’elles dispensent ces notions en vue de la prise de vues et que de plus elles forment au travail d’assistant(e) opérateur, étape importante avant d’accéder aux responsabilités du directeur(trice) de la photo.
      Bien à vous, JNF
    • Après m’être renseigné sur d’autres formation je vais faire celle là mais aussi une autre formation de prise de vue cinéma en 35 mm et d’éclairage en vue du cinéma. Cette dernière ne vaut évidemment pas les ENS dont les cursus sont de plus beaucoup plus long mais me permettra d’avoir un bagage beaucoup plus complet... et je pourrai me frotter au court métrage cette fois en tant qu’electro pour commencer et ensuite assistante opératrice. Encore merci pour vos réponses qui m’ont bien éclairée dans mes recherches.
      Bien à vous,
      Kwai
    • INFO:il existe un BTS de l’Education Nationale où on touche au film !
      Je le sais car j’y enseigne depuis 1990 l’Image et que je produis environ 3 films en super 16 par an.
      Certains de nos élèves intègrent la FEMIS, Louis Lumière. Actuellement plusieurs travaillent dans le long métrage.

      BTS audiovisuel Jacques Prévert -163 rue de Billancourt. Boulogne 92100
      Voir site au même nom.

      Recrutement à partir du printemps,12 élèves par classe,bon niveau bac S souhaité.

      Julia DESAUTEL

    • Deuxième info : Il existe un second BTS public où on touche au film ! J’en sort. Le BTS produit deux courts métrages par an destinés aux étudiants de deuxième année, un pour le BTS blanc, un pour l’examen final. Tous les élèves font des essais, et deux élèves par court métrage font un tournage complet (un cadreur et un chef op).

      BTS Jean Rostand
      361 Grande rue 59100 ROUBAIX

      Recrutement tout pareil qu’au dessus comme dans tous les BTS publics.

      Arnaud

      Voir en ligne : site du lycée

  • Bonjour à tous,

    J’aurais trois petites questions, pour me permettre d’exposer le film correctement.

    Le temps d’exposition normal quand l’obturateur est à 180 degrés est de 25e de secondes ou à 50e ?

    Quel est le temps d’exposition quand l’obturateur est à 90 deg ou a 270 deg par exemple ?

    Et dernière question, quand je fais du slowmotion et que je prends du 75 fps le temps d’exposition de chaque image est à combiens du coup.

    Merci pour vos réponses à cette question de base.

    • Questions->Réponses
      1) A 24 images/seconde et pour un obturateur normalement réglé à 180°, le temps d’obturation d’une caméra est de 1/48e de seconde, ou encore, à 25 i/s, de 1/50e de seconde.
      2) Par conséquent, pour un obturateur fermé à 90°, le temps d’obturation sera de 1/96e de seconde et, ouvert à 270° (si vous arrivez à l’ouvrir autant, car en général, mécaniquement parlant, le maximum est d’environ 235°), il sera de 1/24e de seconde (mathématique, mon cher Watson... Multiple de 2 et règle de 3 d’usage)
      3) Pour tourner à 72 i/s, par exemple, et pour un obturateur réglé à 180°, il vous faudra ouvrir le diaphragme de 1 et 1/2 ou encore, pour un même diaph., passer l’angle d’obturation de 180° à 45° (avec un rendu d’image différent, évidemment).
      Exposez bien et cordialement,
      Jean-Noël Ferragut
  • Bonjour,
    Afin de débuter avec une cellule, je souhaite savoir s’il y a une correction a apporter à la valeur indiquée pour un sujet normal, de "peau caucasienne". Certains forum, disent qu’il n’y rien a toucher, certains livres disent qu’il faut fermer d’un diaph...

    De plus, lorsque je place ma cellule a la place d’un viasge contrasté, chose que je vois au vu de la repartition de la lumiere sur le diffuseur blanc. Ma valeur sera erronnée, et le diffuseur me renseigne jsutement la dessus afin que j’opere une mesure sur chaque côté ?

    Peu de livres traitent du sujet de maniere approfondie, avec vous des ouvrage à me conseiller ? Il y en avait un que j’avais vu sur le site de l’ASC, masi malheuresement épuisé...

    • La mesure de la lumière est une affaire délicate et subtile, quelques lignes ne suffiraient pas à en faire le tour.
      La mesure quantitative de la lumière est une chose et l’interprétation que l’on en fait pour obtenir un certain rendu d’image en est une autre.
      De plus, il y a visage et visage, même si vous ne considérez que le seul type caucasien. La lumière tombant, en plein hiver, sur un visage qui n’a pas vu le soleil depuis des mois et celle qui éclaire un visgage hâlé par les rayons estivaux ne sont évidemment pas réfléchies de la même manière avant de traverser l’objectif de votre caméra. Vous voilà donc dans de beaux draps... Et que faire ?
      Quoi qu’il en soit, vous ne fermerez d’un diaph, et encore grand maximum, que si votre visage est très blafard et si vous êtes en gros plan. Dans la plupart des autres cas, ne touchez effectivement à rien. Excepté si vous êtes en plan très large et de nuit, vous pourrez ouvrir éventuellement d’un demi ou trois quarts de diaph pour obtenir un peu plus de détails dans les ombres.
      Quand des lumières différentes éclairent les deux parties d’un visage, vous avez alors à faire un choix suivant le rendu de l’image que vous désirez obtenir, soit privilégier la haute lumière et densifier votre image, soit privilégier la basse lumière et éclaicir votre image. Le tout dépendant bien sûr de l’ambiance lumineuse générale de la scène que vous êtes en train d’éclairer.
      Une autre solution est de vous munir d’un "spotmètre" et d’un gris neutre à 18 % et de mesurer votre lumière en réflexion, dans l’axe de la caméra, en le plaçant au niveau du sujet. Mais c’est plus délicat encore, car votre mesure peut varier sensiblement suivant la position de votre gris neutre. Le spotmètre permettant de plus de vérifier en réflexion les très hautes ou très basses lumières.
      Le mieux étant de posséder cellule et spotmètre et de choisir votre outil suivant les cas de figures.
      Cordialement, JNF
  • Bonjour,

    Etant etudiante de cinema, je travaille pour un spot publicitaire ou nous devons filmer dans un supermarche.
    Le budget etant petit, je voulais savoir quel est le MINIMUM de lumieres qu’on peut utiliser ? Comment vous l’eclairez ? C’est une scene proche du rayon fruits et legumes ou l’on voit la balance a peser.
    Aussi, nous filmons une scene sur fond bleu avec une camera 16mm. J’ai entendu dire que le 16mm est tres mauvais pour la post-production. Si c’est le cas, avez vous un conseil a me donner ?
    Merci !

    • Salut,

      Eh bien ca dépend de quelques trucs comme : quel est ton émulsion (sensibilité et balance) ? quel ambiance souhaites-tu (et donc pour quel produit fais-tu un publicité) ? le rayon est-il proche de baies vitrées ? plan large ou serré ? combien de personnes et d’objets important ?

      Globalement, les supermarchés ne sont pas éclairés de façon impressionnistes, c’est plutôt plat, avec plein de beaux néons industriels au plafond. Donc si ta pellicule est suffisamment sensible, j’aurais tendance à dire que le MINIMUM de lumière à apporter c’est un ou deux réflecteurs, et tu devrais déjà pouvoir t’en tirer, sans compter que le gérant du supermarché sera certainement plus cotent de te voir avec un bout de carton plutôt que de te voir se brancher sur ces circuits.

      Après moi j’ai bien l’ambiance un peu underground verdâtre de ce genre de lieu. Cela dit, pour un pub, j’imagine qu’il te faut quelque chose de plus pur. Comme je doute que tu puisses t’amuser à changer les néons ou à les gélatiner, soit tu rattrape à l’étalonnage, soit tu filtres ta caméra en fonction de ton émulsion et du type de fluo.

      Je n’ai jamais essayer d’effet en 16mm. Cela dit, ce que je te conseiller à tout prix d’éviter, c’est le grain. Donc prend une émulsion un peu moins sensible et ne sous-expose surtout pas.

  • Bonjour,

    Dans le scénario sur lequel je travaille, il y a une séquence où nous avons besoin de l’intégralité du champ pour shooter. Aussi -pour l’éclairage- ai-je pensé aux ballons éclairants. Il s’agit d’éclairer un manège forain pour enfants et c’est un tournage de jour.

    Qu’en pensez-vous ? Est-ce une solution onéreuse à la location ? Avez-vous des adresses ou des contacts à me conseiller ?

    Merci d’avance.

    MMC chez qxre.com

    • Je ne suis pas sur de bien comprendre ton problème, surtout parce que pour moi, le "champ" c’est justement ce qu’on shoote, donc que nécessairement tu en auras besoin ^^.

      Donc soit tu as un plan très large à faire d’une grande surface, soit peut-être veux-tu pouvoir te balader librement avec ta caméra dans tout l’espace pour un plan séquence ou pour un tournage rapide, soit tu es sur le manège, tu tourne, et donc tu vois à 360°. C’est une des ses 3 possibilités ou c’est encore autre chose ?

      Personnellement, je n’ai jamais utilisé de ballon éclairant, mais je pense que ca revient assez cher, et surtout, je me demande si en plein jour c’est très utile...

      Si tu te balades partout, tu peux te promener avec un électro qui tient un rélfo ou un torche bien diffusé et qui sait à peu près quand l’utiliser.

      Si tu es sur le manège, à mon avis tu devrais essayer de faire un set sur le manège qui tourne avec toi avec des variations. Et si c’est en plein jour, tu pourrais essayer de caser un camion blanc pas loin et quoi que ca soit d’autre qui puisse te servir de réflecteur "in".

      Sinon essaie de trouver ou de t’imposer des angles morts pour caser des HMI avec une bonne puissance.

      Et avec un ciel nuageux tu pourrais peut-être avoir suffisamment peu d’écart de diaph pour pouvoir éviter toutes install.

      Mais bon, ca dépend vraiment de la situation, mais encore une fois, n’en ayant pas utilisé, je ne sais pas ce que peux rendre un ballons éclairants.