François Ede

Direction de la photographie

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Articles (30)

AFC Interviews at Lille’s "Series Mania" Festival Alistair Little reviews the shooting of the first three episodes of "True Love", by Chloe Wicks
By François Reumont for the AFC

Entretiens avec des directeurs de la photographie

"True Love" is one of the series screened in Lille as part of the International Panorama. Co-created by actress and writer Charlie Covell (known for "The End of the Fuck*ing World" on Netflix, 2017-2019) and Iain Weatherby, it deals with euthanasia with both suspense and a sharp British humor. Leading this project is actress Lindsay Duncan, who delivers a lively and deeply moving performance next to her four other septuagenarian co-stars. Cinematographer Alistair Little captures the visuals of the first three out of six episodes, directed by Chloe Wicks whose credits include the recent "The Flatshare" for Paramount Plus."True Love" was aired on Channel 4 in the UK from January 2024 and can be streamed on their VOD platform. (FR)

Les entretiens AFC au festival "Séries Mania", de Lille Alistair Little revient sur le tournage des trois premiers épisodes de "True Love", de Chloe Wicks
"Le pacte des (vieux) loups", par François Reumont

Entretiens avec des directeurs de la photographie

"True Love" est une des séries présentées en avant première à Lille dans le cadre du Panorama international. Co-créé par la comédienne et scénariste Charlie Covell ("The End of the Fucking World", sur Netflix) et Iain Weatherby, elle traite de l’euthanasie avec à la fois un suspens et un humour tranchant so British. A la tête de ce projet, la comédienne Lindsay Duncan donne une interprétation pleine de vie et très touchante aux côtés de ses quatre autres partenaires, tous septuagénaires. C’est le directeur de la photographie Alistair Little qui signe les images des trois premiers épisodes sur six, réalisés par Chloë Wicks, venue du court métrage, dont c’est la deuxième participation à une série après "Flatshare" pour la plateforme Paramount Plus. "True Love" a été produit pour la chaîne britannique Channel 4. (FR)

Les entretiens AFC au festival "Séries Mania", de Lille Virginie Saint-Martin, SBC, revient sur ses choix pour la mise en images de "Une amitié dangereuse", d’Alain Tasma
"Toutes pour une et une pour toutes", par François Reumont

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Alain Tasma (plus de trente ans de productions TV à son actif) s’est lancé dans l’adaptation de deux romans historiques de Juliette Benzoni (Marie des intrigues et Marie des passions). Une transposition moderne et féminine du début de règne de Louis XIII, soit quelques années avant la célèbre saga d’Alexandre Dumas... On y retrouve notamment la reine Anne d’Autriche et on y découvre surtout sa meilleure amie Marie de Rohan-Montbazon. Porté par la fraîcheur et l’audace d’un jeune casting international avec à sa tête la pétillante Kelly Depeault, cette série France Télévision est en compétition française à Séries Mania 2024. La directrice de la photographie belge Virginie Saint-Martin, SBC, en signe les images.

Les entretiens AFC au festival "Séries Mania", de Lille Jacques Girault évoque la mise en images de la série "Dans l’ombre", réalisée par Pierre Schoeller
"Les hommes du président", par François Reumont

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Avec "Dans l’ombre", le réalisateur Pierre Schoeller (Exercice de l’Etat, Un peuple et son roi...) adapte le livre éponyme de l’ex-premier ministre Edouard Philippe et de son conseiller d’alors, Gilles Boyer. Cette série de six épisodes produite pour France Télévision plonge dès les premières images le spectateur au cœur d’une primaire de la droite française. C’est le directeur de la photographie Jacques Girault qui en a signé les images. Il vient nous parler des enjeux d’un tel projet, et de cette première collaboration avec ce réalisateur expérimenté dans le domaine du film politique... (FR)

Les entretiens AFC au festival "Séries Mania", de Lille Martin Roux, AFC, revient sur ses choix pour mettre en image la série "Machine", de Fred Grivois
"Le kung-fu peut-il sauver le prolétariat ?", par François Reumont

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Concept un peu baroque que cette "Machine", de Fred Grivois, coécrite avec Thomas Bidegain et Valentine Monteil. Mélangeant intimement les codes et les combats des films de kung-fu et ceux du drame social le plus pur, cette série s’attache à nous faire découvrir une ex militaire en fuite qui retourne dans la petite ville de ses ancêtres pour échapper aux troupes du GIGN qui la traquent... C’est en y dénichant un poste d’intérimaire en usine qu’elle y fait la connaissance d’un charismatique contremaître marxiste - ex-héroïnomane - confronté à la menace de reprise d’un grand groupe coréen. Incarné à l’écran par Margot Brancilhon et Joey Starr, le projet emprunte un chemin narratif et visuel assez inattendu sous la houlette de Martin Roux, AFC. Ce dernier nous fait part de son expérience sur cette série de 6 x 48 mn (diffusion prochaine sur Arte) dont les deux premiers épisodes ont été présentés en compétition officielle française à Séries Mania *. (FR)

Les entretiens AFC au festival "Séries Mania", de Lille Philippe Piffeteau, AFC, revient sur le tournage de la série "Homejacking", réalisée par Hervé Hadmar
"Home, Sweet Home", par François Reumont

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Présent en compétition française à Lille, la série "Homejacking", produite pour Orange Cinéma Séries, est une variation qui s’inspire de l’éternel Rashomon et de sa narration du même fait divers par plusieurs personnages différents. C’est le réalisateur Hervé Hadmar (Pigalle la nuit, Au-delà des murs) qui est aux manettes, sans avoir cette fois-ci écrit le scénario. La série installant son récit autour d’une luxueuse maison d’architecte dont les occupants recèlent un passé bien sombre. Philippe Piffeteau, AFC, signe les images de ce thriller composé de nombreuses strates narratives. La série de six épisodes de 35 minutes est diffusée à partir du 7 avril sur la plateforme française. (FR)

Les entretiens AFC au festival de Berlin Entretien avec Aymerick Pilarski, AFC, à propos de "Black Tea", d’Abderrahmane Sissako
"Teatime à Abidjan", par François Reumont pour l’AFC

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Avec Black Tea, le cinéaste franco-mauritanien Abderrahmane Sissako ("césarisé" en 2015 pour son film Timbuktu) propose un récit à la fois romantique et onirique qui fait se rencontrer la culture africaine et celle de l’Extrême-Orient. Avec, comme personnage principal, une jeune femme ayant refusé à la dernière minute de dire oui à son futur mari, pour partir soudain en Chine, vivre une vie très différente de celle qui lui était promise à Abidjan. C’est Aymerick Pilarski, AFC, qui signe les images de ce conte filmé entre l’Afrique et Taïwan, faisant profiter le réalisateur de sa connaissance du mandarin, un atout de taille quand la quasi intégralité du film est interprétée dans cette langue. Le film est en lice pour remporter l’Ours d’or. (FR)

Les entretiens AFC au festival de Berlin Entretien avec Julien Poupard, AFC, à propos de "Langue étrangère", de Claire Burger
"L’amie européenne", par François Reumont

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Film sélectionné à la Berlinale 2024, Langue étrangère, de Claire Burger, croise les regards entre la France et l’Allemagne à travers une première histoire d’amour adolescente. Julien Poupard, AFC, retrouve la réalisatrice (avec laquelle il a déjà tourné plusieurs films) pour mettre en image entre Leipzig et Strasbourg cette histoire d’éveil sensuel, amoureux et politique. Le film est en compétition officielle pour le 74e Ours d’or. (FR)

Articles (11)

La couleur en question, quatre vidéos de la journée "Histoires de la couleur à l’écran" en ligne

Cinémathèque française

Début mars 2021, la Cinémathèque française mettait en ligne sur son site Internet les vidéos de quatre conférences programmées lors de la journée de rencontres internationales "Histoires de la couleur à l’écran", qui s’est tenue dans le cadre du festival Toute la mémoire du monde, en mars 2020. Pour résumer brièvement leur titre, il était question de "Vers la couleur", "La couleur en noir et blanc", "Les aventures de la pellicule Ferraniacolor" et "Des images tournées avec le procédé Keller-Dorian".

"Le Toit de la baleine", de Raoul Ruiz, photographié par Henri Alekan
François Ede se souvient...

Histoire de la cinématographie

Dans le cadre de sa plateforme Internet "Henri", la Cinémathèque française propose de redécouvrir ce film de Raoul Ruiz, tourné en Hollande, en 1982. Le Toit de la baleine est une fable ethnographique censée se situer dans d’improbables paysages de Patagonie. Nous avons demandé à François Ede, qui participa au tournage ainsi qu’à la restauration du film en 2016, de se replonger dans ses souvenirs afin de revenir, en particulier, sur le travail d’Henri Alekan, toujours audacieux et inventif.

Jean-Pierre Beauviala (1937-2019)
La ville criminogène, le son concomitant et... un chat sur l’épaule

Jean-Pierre Beauviala

L’histoire d’Aaton fut d’abord et toujours celle d’un homme, Jean-Pierre Beauviala, au parcours singulier et unique dans l’histoire du cinéma et de ses techniques. Certes son nom vient s’ajouter à une liste de pionniers et industriels français, d’Etienne-Jules Marey et Louis Lumière à André Coutant et Pierre Angénieux, mais il incarne plus que les autres un certain génie français, cartésien et intuitif, considérant que trouver les bonnes réponses exige de se poser d’abord les bonnes questions afin de fournir les outils adaptés aux besoins de chacun.

Journée "Pour une histoire des laboratoires cinématographiques"

Conférences, tables rondes, colloques, séminaires, Leçons de cinéma

L’équipe de l’unité de recherche Arts : Pratiques et Poétiques de l’UFR ALC* - université Rennes 2 - organise, vendredi 5 octobre 2018, une journée d’études intitulée "Nuits rouges : pour une histoire des laboratoires cinématographiques". En présence de François Ede, Jean-Pierre Neyrac et Vanessa Nicolazic, il y sera question de fusions et acquisitions, de Super 16, de tireuses, des débuts de l’étalonnage, de métol-hydroquinone, de pyrogallol et autres mystérieuses formules...

"Derrière le miroir, trucages, jeux d’optique et effets d’étrangeté dans les films de Raoul Ruiz", conférence en ligne sur le site de la Cinémathèque française

Vidéos des conférences du Conservatoire des techniques

"Derrière le miroir, trucages, jeux d’optique et effets d’étrangeté dans les films de Raoul Ruiz", l’avant-dernière conférence de la saison 2015-2016 du Conservatoire des techniques cinématographiques, est désormais en ligne – en vidéo – sur le site Internet de la Cinémathèque française.

Derrière le miroir, trucages, jeux d’optiques et effets d’étrangeté dans les films de Raoul Ruiz
Conférence de François Ede et Elodie Boin-Zanchi, dans le cadre de la rétrospective Raoul Ruiz

Conservatoire des techniques cinématographiques

Les expérimentations techniques sont au cœur de nombreux films de Raoul Ruiz car il aimait faire des jeux d’images comme on fait des jeux de mots. Nombre de ses films ont été tournés avec des budgets souvent dérisoires, parfois avec des chutes de pellicule, une caméra prêtée et le concours bénévole d’amis acteurs et techniciens.

Films génétiquement modifiés
Lettre ouverte de François Ede, réalisateur et chef opérateur

Billets d’humeur

Les films tournés en Scope et en 1,85 seront désormais recadrés en 14/9 (1:1,55) sur les chaînes du service public.
Jusqu’à présent les chaînes publiques diffusaient les films au format Scope avec des caches noirs en bas et en haut de l’image pour conserver la largeur du cadre (" letterbox "), ce n’était évidemment pas la panacée, mais au moins le format d’origine des films était respecté.
Le 21 août, France 3 diffusait Paris brûle-t-il ? de René Clément. Ce film tourné en CinémaScope a été mutilé par recadrage dans un format qui n’a jamais existé au cinéma : le 14/9 ou 1:1,55 !