Hélène de Fougerolles

Interprétation

Résultats de la recherche

Articles (2)

Stephan Massis, AFC, parle de deux tournages en Zeiss Supreme Radiance

Optiques

Série noire filmée à deux caméras mobiles en Forêt-Noire d’un côté, drame caniculaire provençal cadré au cordeau sur tête à manivelles de l’autre, la série en 4x52 mn "Les Disparus de la Forêt-Noire" (lauréate du Grand prix du Festival Polar de Cognac), d’Ivan Fegyvères, et le téléfilm Une confession, réalisé par Hélène Fillières, pourraient difficilement être plus éloignés l’un de l’autre en termes visuels – sans parler de la température ambiante. Ces différences n’ont pas empêché leur directeur de la photographie commun, Stephan Massis, AFC, de choisir les mêmes Zeiss Supreme Radiance conjugués à une Sony Venice pour les filmer. Devant les images projetées sur le grand écran d’Amazing Digital en compagnie de Fred Savoir, étalonneur sur les deux projets, il nous a expliqué comment cette expérimentation a porté ses fruits.

Articles (30)

Benedict Spence, BSC, et le superviseur VFX français Jean-Louis Autret nous parlent de la production de la série Netflix "Eric", réalisée par Lucy Forbes et tournée en Zeiss Supreme Prime
Par Hélène de Roux pour Zeiss

Optiques

La série "Eric" (Netflix) est une recréation du New-York de 1980 vue à travers les Zeiss Supreme. Située dans le Manhattan de 1980, la série "Eric" (6x1h), réalisée par Lucy Forbes et tournée à Budapest et à New York, commence avec la disparition d’un petit garçon qui détruit le couple formé par ses parents (Benedict Cumberbatch et Gaby Hoffmann). Les enquêtes parallèles de la police et du père nous font plonger dans des bas-fonds métaphoriques (la police et les édiles corrompus) et réels (les égouts) mais la poésie (noire) n’est pas absente, avec les visions qu’a le père d’une marionnette géante et velue baptisée Eric, qui incarne à la fois ses vices et son salut.

Claire Mathon, AFC, looks back at her choices in shooting Alain Guiraudie’s "Miséricorde”
By Céline Bozon, AFC, and Hélène de Roux

Les entretiens au Festival de Cannes 2024

“You’re not taking the road tonight ?”, and now that Jérémie’s stay in his childhood village, where he’s come to attend the funeral of his former boss, lasts longer than expected. As he wanders the autumn forest in search of porcini mushrooms and pays incongruous visits to his childhood friends, he weaves a web of desires and frustrations whose threads seem to escape him. For their third film together, after L’Inconnu du lac and Rester vertical, Alain Guiraudie and Claire Mathon plunge us back into a film noir whose exploration is infinite, and whose astonished faces will mark us for a long time to come.

Hélène Louvart, AFC, reflects on the shooting of “Motel Destino”, by Karim Aïnouz
By Brigitte Barbier, for the AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2024

After a diversion through England to shoot Firebrand, which was selected for the official competition last year on the Croisette, Karim Aïnouz returns to his homeland to direct Motel Destino, a colourful erotic thriller shot very close to his hometown of Fortaleza, Brazil. It marks the third collaboration between the director and cinematographer Hélène Louvart, AFC, aiming to (re)create the visual universe of an unusual place and to convey the human relationships that take place there, filled with humour and tension. For the second year running, Karim Aïnouz’s work has been selected for the Official Competition, at the 77th edition of the Cannes Film Festival. (BB)

Hélène Louvart, AFC, revient sur le tournage de "Motel Destino", de Karim Aïnouz
Par Brigitte Barbier, pour l’AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2024

Après un détour par l’Angleterre pour tourner Firebrand / Le Jeu de la Reine, en sélection officielle l’an dernier sur la Croisette, Karim Aïnouz revient dans son pays pour y réaliser Motel Destino, un thriller érotique haut en couleur tourné tout près de sa ville natale, Fortaleza, au Brésil. C’est pour une troisième collaboration que la cheffe opératrice Hélène Louvart, AFC, s’engage au côté du réalisateur brésilien pour (re)créer l’univers visuel d’un lieu insolite et rendre sensible les relations humaines qui s’y passent, faite d’humour et de tensions. Pour la deuxième année consécutive, Karim Aïnouz est sélectionné en Compétition officielle pour cette 77e édition du Festival de Cannes. (BB)

Claire Mathon, AFC, revient sur ses choix pour mettre en images "Miséricorde", d’Alain Guiraudie
Par Céline Bozon, AFC et Hélène de Roux

Les entretiens au Festival de Cannes 2024

« Tu ne vas pas prendre la route ce soir ? », et voici que le séjour de Jérémie dans son village d’enfance, où il est venu assister aux obsèques de son ancien patron, dure plus que prévu. A force d’arpenter la forêt automnale à la recherche de cèpes et de rendre des visites incongrues à ses copains d’enfance, il tisse une toile de désirs et de frustrations dont les fils semblent lui échapper.
 Pour leur troisième film ensemble après L’Inconnu du lac et Rester vertical, Alain Guiraudie et Claire Mathon nous replongent dans un (film) noir dont l’exploration est infinie, et dont les visages étonnés qui s’en détachent nous marqueront longtemps.

Marine Atlan reflects on her pictorial direction of Alexis Langlois’s "Queens of Drama"
By Hélène de Roux for the AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2024

2055 : Youtuber Steevy Shady recounts for his followers the tormented passion between Mimi Madamour, a starlet born of a Star Academy-type TV talent show, and Billie, a punk rocker who performs in lesbian clubs, from the early 2000s to 2015, then 2055. From the meteoric rise to the disgrace of each of them successively, this glittering musical comedy draws on flashy pop references and playfully mixes eras and image regimes to paint, under its parodic guise, a most political love story. (HdR)

Marine Atlan revient sur sa mise en images du film d’Alexis Langlois, "Les Reines du drame"
Par Hélène de Roux

Les entretiens au Festival de Cannes 2024

2055 : le youtubeur Steevy Shady retrace pour ses followers la passion tourmentée entre Mimi Madamour, starlette née d’un télé-crochet type Nouvelle Star, et Billie, rockeuse punk qui se produit en club lesbien, du début des années 2000 à 2015, puis 2055. De l’ascension fulgurante à la disgrâce de l’une puis de l’autre, cette comédie musicale étincelante convoque les références pop clinquantes et mélange les époques et les régimes d’images de manière jouissive, pour peindre, sous ses dehors de parodie, une histoire d’amour des plus politiques. (HdR)

Articles (2)

Stephan Massis, AFC, parle de deux tournages en Zeiss Supreme Radiance

Optiques

Série noire filmée à deux caméras mobiles en Forêt-Noire d’un côté, drame caniculaire provençal cadré au cordeau sur tête à manivelles de l’autre, la série en 4x52 mn "Les Disparus de la Forêt-Noire" (lauréate du Grand prix du Festival Polar de Cognac), d’Ivan Fegyvères, et le téléfilm Une confession, réalisé par Hélène Fillières, pourraient difficilement être plus éloignés l’un de l’autre en termes visuels – sans parler de la température ambiante. Ces différences n’ont pas empêché leur directeur de la photographie commun, Stephan Massis, AFC, de choisir les mêmes Zeiss Supreme Radiance conjugués à une Sony Venice pour les filmer. Devant les images projetées sur le grand écran d’Amazing Digital en compagnie de Fred Savoir, étalonneur sur les deux projets, il nous a expliqué comment cette expérimentation a porté ses fruits.

Films (4)

Le Collier du Makoko

de Henri-Joseph Koumba Bididi
Produit par Les Productions de l’Equateur, Adélaïde Productions
Photographié par

Jean-Marc Selva, AFC , Stefano Paradiso