Jérôme Carles

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Articles (30)

"Les Manufactures de nos rêves - Les studios de cinéma français des années 1930"
Un livre de Morgan Lefeuvre

Livres et revues

Il est question, dans cet ouvrage, d’une histoire sociale et culturelle des studios de cinéma français depuis les débuts du parlant jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, qui accorde une large place à l’organisation des tournages, à la question des conditions de travail des techniciens de la production ainsi qu’aux luttes sociales qui animent les professionnels du cinéma de la décennie. Ce livre est l’aboutissement d’un long travail de recherche dans les archives et de collecte d’informations souvent inédites, il représente par ailleurs le premier ouvrage sur l’histoire des studios français. (Morgan Lefeuvre)

Jonathan Ricquebourg, AFC, discusses his work on the Larrieu brothers’ film "Tralala"
A Parisian in Lourdes

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Like their other films, Tralala, by Arnaud and Jean-Marie Larrieu, is an eccentric poem in which Mathieu Amalric, their favorite actor, plays a homeless musician who is visited by religious passion. Filmed between Paris and Lourdes (their hometown), this film is also a musical comedy where the different songs are sung by the actors themselves. Jonathan Ricquebourg, AFC, was behind the camera, and traveled alongside the filmmaker brothers on their strange journey to a city deserted by its pilgrims because of Covid. (FR)

Jonathan Ricquebourg, AFC, parle de son travail sur "Tralala", des frères Larrieu
Un Parisien à Lourdes

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Dans la lignée de leurs autres films, Tralala, d’Arnaud et Jean-Marie Larrieu, est un poème un peu foutraque où Mathieu Amalric, leur comédien de prédilection, incarne cette fois-ci un musicien clochard visité par la passion. Filmé entre Paris et Lourdes (leur ville natale), ce film est également une comédie musicale où les différents morceaux sont interprétés par les comédiens eux-mêmes. Jonathan Ricquebourg, AFC, est cette fois-ci derrière la caméra pour accompagner les deux frères cinéastes dans leur étrange périple par temps de Covid dans une ville désertée par les pèlerins. (FR)

Entretien avec Guillaume Schiffman, AFC, à propos du film de Sandrine Kiberlain, "Une jeune fille qui va bien"
Photographiquement parlant

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Situé sous l’occupation, le premier film en tant que réalisatrice de Sandrine Kiberlain brouille pourtant les pistes pour jouer ouvertement la carte de la contemporanéité dans sa mise en scène.
Guillaume Schiffman, qui avait déjà mis en image son premier court métrage, signe également ce premier long portée par Rebecca Marder, une jeune comédienne très émouvante...

Retour sur la visualisation ACES sur le tournage de "Petite maman", de Céline Sciamma, photographié par Claire Mathon, AFC
Par Aurélien Branthomme, superviseur technique image, Workflow & Color Management / TSF Caméra, et Jérôme Bigueur, étalonneur / Hiventy

Chaîne numérique

En automne 2020, Hiventy et TSF Caméra ont réfléchi ensemble à la mise en place de la continuité technique et visuelle totalement ACES entre tournage et postproduction de Petite maman, le nouveau film de Céline Sciamma (en salles depuis le 2 juin 2021), produit par Lilies Films. Aux essais filmés, Claire Mathon, AFC, émet le souhait de visualiser en ACES dès le tournage du film.

Un "Focus" du CNC sur le 70 mm

Lire, voir, entendre

Dans un article paru sur son site Internet, le CNC (Centre national du cinéma et de l’image animée) revient sur l’histoire et les spécificités de ce format qu’il qualifie de « monumental ». De sa naissance en Italie, en 1911, à un premier revers à la fin des années 1930, de sa renaissance dans les années 1950 jusqu’aux années 1980-90, le 70 mm aura, durant cette période, connu son heure de gloire, pour être, ces dernières années, l’apanage de quelques cinéastes passionnés par les possibilités offertes par ce format.

Cinematographer Alexis Kavyrchine evokes his collaboration with Albert Dupontel on "Bye Bye Morons"
Albert’s Little World

Entretiens avec des directeurs de la photographie

For his seventh film as director, actor and director Albert Dupontel chose a rather pessimistic dark comedy in which, as is usual in his films, contemporary social reality sometimes slips into an expressionist world that is akin to that of comic books. Alexis Kavyrchine (Perdrix, La Douleur, Ce qui nous lie) was in control of the cinematography. He discusses the way the filmmaker works in order to construct his unique and personal universe. (FR)

Alexis Kavyrchine évoque sa collaboration avec Albert Dupontel sur "Adieu les cons"
Le petit monde d’Albert

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Pour son septième film en tant que metteur en scène, le comédien et réalisateur Albert Dupontel a choisi une comédie noire assez pessimiste où, comme à son habitude, la réalité sociale contemporaine vient parfois déraper au gré d’un univers expressionniste souvent proche de la bande dessinée. C’est Alexis Kavyrchine (Perdrix, La Douleur, Ce qui nous lie...) qui est cette fois-ci aux commandes de l’image. Il nous parle de la méthode de travail de ce cinéaste qui a su se construire un univers bien à lui. (FR)

Films (2)