Jérôme Prébois

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Articles (8)

Renaud Chassaing, AFC, et le réalisateur Frédéric Tellier reviennent sur leurs choix pour le tournage de "L’Abbé Pierre, une vie de combats”,
Prêtre, soldat, député & chiffonnier, par François Reumont

Les entretiens au Festival de Cannes 2023

Après Sauver ou périr et Goliath, deux films inspirés d’histoires vraies, le réalisateur Frédéric Tellier et le directeur de la photographie Renaud Chassaing, AFC, se sont attaqués à un biopic sur un homme au destin exceptionnel, longtemps resté la personnalité préférée des Français. L’Abbé Pierre, une vie de combats raconte donc sur un peu plus de deux heures la vie de Henri Groues, depuis sa formation chez les moines Capucins dans la Drôme (1937) jusqu’à sa disparition en 2007 à l’âge de 94 ans. 70 ans d’une vie hors du commun, incarné à l’écran par un Benjamin Lavernhe dont la voix et l’interprétation sont stupéfiantes. Retour sur le tournage de ce portrait risqué avec Renaud Chassaing. (FR)

Jonathan Ricquebourg, AFC, discusses his work on the Larrieu brothers’ film "Tralala"
A Parisian in Lourdes

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Like their other films, Tralala, by Arnaud and Jean-Marie Larrieu, is an eccentric poem in which Mathieu Amalric, their favorite actor, plays a homeless musician who is visited by religious passion. Filmed between Paris and Lourdes (their hometown), this film is also a musical comedy where the different songs are sung by the actors themselves. Jonathan Ricquebourg, AFC, was behind the camera, and traveled alongside the filmmaker brothers on their strange journey to a city deserted by its pilgrims because of Covid. (FR)

Jonathan Ricquebourg, AFC, parle de son travail sur "Tralala", des frères Larrieu
Un Parisien à Lourdes

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Dans la lignée de leurs autres films, Tralala, d’Arnaud et Jean-Marie Larrieu, est un poème un peu foutraque où Mathieu Amalric, leur comédien de prédilection, incarne cette fois-ci un musicien clochard visité par la passion. Filmé entre Paris et Lourdes (leur ville natale), ce film est également une comédie musicale où les différents morceaux sont interprétés par les comédiens eux-mêmes. Jonathan Ricquebourg, AFC, est cette fois-ci derrière la caméra pour accompagner les deux frères cinéastes dans leur étrange périple par temps de Covid dans une ville désertée par les pèlerins. (FR)

Entretien avec Guillaume Schiffman, AFC, à propos du film de Sandrine Kiberlain, "Une jeune fille qui va bien"
Photographiquement parlant

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Situé sous l’occupation, le premier film en tant que réalisatrice de Sandrine Kiberlain brouille pourtant les pistes pour jouer ouvertement la carte de la contemporanéité dans sa mise en scène.
Guillaume Schiffman, qui avait déjà mis en image son premier court métrage, signe également ce premier long portée par Rebecca Marder, une jeune comédienne très émouvante...

Cinematographer Alexis Kavyrchine evokes his collaboration with Albert Dupontel on "Bye Bye Morons"
Albert’s Little World

Entretiens avec des directeurs de la photographie

For his seventh film as director, actor and director Albert Dupontel chose a rather pessimistic dark comedy in which, as is usual in his films, contemporary social reality sometimes slips into an expressionist world that is akin to that of comic books. Alexis Kavyrchine (Perdrix, La Douleur, Ce qui nous lie) was in control of the cinematography. He discusses the way the filmmaker works in order to construct his unique and personal universe. (FR)

Alexis Kavyrchine évoque sa collaboration avec Albert Dupontel sur "Adieu les cons"
Le petit monde d’Albert

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Pour son septième film en tant que metteur en scène, le comédien et réalisateur Albert Dupontel a choisi une comédie noire assez pessimiste où, comme à son habitude, la réalité sociale contemporaine vient parfois déraper au gré d’un univers expressionniste souvent proche de la bande dessinée. C’est Alexis Kavyrchine (Perdrix, La Douleur, Ce qui nous lie...) qui est cette fois-ci aux commandes de l’image. Il nous parle de la méthode de travail de ce cinéaste qui a su se construire un univers bien à lui. (FR)