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Thomas Brémond, au plus près
Par Ariane Damain Vergallo pour Ernst Leitz Wetzlar

Portraits de directeurs de la photographie dans l’optique de Leitz

Au début des années 1990, Thomas Brémond, qui a alors 12 ans, apprend que Jacques Doillon recherche des comédiens pour son prochain film Le Jeune Werther. Il décide de se présenter et rencontre, impressionné, le réalisateur aux cheveux longs qui le reçoit, bottes de cow-boy sur le bureau. Surpris qu’un si jeune garçon lui parle du jazzman Miles Davis, Jacques Doillon l’engage dans la foulée.

Paul Guilhaume, back to the future
By Ariane Damain Vergallo, for Ernst Leitz Wetzlar

Portraits de directeurs de la photographie dans l’optique de Leitz

Although Paul Guilhaume has not been a film student for a while, he still dissects the storyboards of such masterpieces as Michael Cimino’s The Deer Hunter, David Cronenberg’s History of Violence or the Coen brothers’ No Country for Old Men - films that triggered his desire to be a cinematographer. Again and again, he watches the splendid lighting mismatches concocted by cinematographer-cum-magician Vilmos Zsigmond for Steven Spielberg’s Close Encounters of the Third Kind, in the opening scene of which, on every single hot, everything and everyone is backlit against the sun !

Exposition "Paul Wolff et Alfred Tritschler", aventuriers du Leica

Expositions et Musées

Pour la toute première exposition marquant son ouverture, le musée Ernst Leitz, à Wetzlar (Allemagne), présente "Dr. Paul Wolff & Tritschler - Lumière et ombre - Photographies de 1920 à 1950", première grande rétrospective consacrée à Paul Wolff (1887–1951) et Alfred Tritschler (1905–1970). Ces deux photographes allemands, connus autour des années 1930, sont considérés aujourd’hui par le milieu de la photographie comme les pionniers de l’usage de l’appareil photo Leica.

Pierre Lhomme, from Sidney Bechet to the "Light of God"

Pierre Lhomme

Pierre Lhomme’s career has traversed nearly fifty years of French cinema, displaying the same ease and rigorousness with directors such as Alain Cavalier, Chris Marker, Jean Eustache, James Ivory, Joris Ivens, René Féret, Jean-Pierre Melville, Jean-Paul Rappeneau, Margurite Duras, Patrice Chéreau, Robert Bresson, Bruno Nuytten, and others. These richly-diverse collaborations were all nourished by an attentive and uninterrupted observation of natural lighting in all of its forms : “I train my eye everywhere, in the street, in the cinema. I am very curious about gazes, ambiences, climates. Reality is a prodigious source of inspiration.” (P.L.)

Pierre Lhomme, de Sidney Bechet à "la lumière du bon Dieu"

Pierre Lhomme

La carrière de Pierre Lhomme traverse près de cinquante ans de cinéma français, passant avec la même aisance et les mêmes exigences d’Alain Cavalier à Chris Marker, de Jean Eustache à James Ivory, de Joris Ivens à René Féret, de Jean-Pierre Melville à Jean-Paul Rappeneau, de Marguerite Duras à Patrice Chéreau, de Robert Bresson à Bruno Nuytten…, collaborations riches par leur diversité qui se nourrissent d’une observation attentive et ininterrompue de la lumière naturelle sous toutes ses formes : « Je fais mon œil partout, dans la rue, au cinéma. Je suis très curieux de regards, d’ambiances, de climats. La réalité est une source d’inspiration prodigieuse ». (P. L.)

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