La Poussière du temps

The Dust of Time
La Poussière du temps, second volet d’une trilogie, débutée en 2003 avec Eleni est le dernier film de Theo Angelopoulos. Malheureusement il n’a pas pu terminer son tout dernier, L’Autre mer. C’était un film très difficile à tourner d’autant que Theo a sacrément respecté les dates et le temps du tournage. Dix semaines y compris les voyages.
Une scène de "La Poussiére du temps"
Une scène de "La Poussiére du temps"


Malgré le poids qui emporte ce film, c’était presque un " road movie ", avec des tournages en Russie, en Sibérie, au Kazakhstan, en Allemagne (Berlin et Cologne), à Rome et à Athènes, là où on a terminé le film.
Tout ça parfois m’a créé des problèmes, parce que j’ai dû m’adapter aux équipes de chaque pays et au matériel électrique et à la machinerie.

A cette occasion, je les remercie tous, particulièrement mon assistant grec Thodoros Michopoylos, le chef machiniste Yorgos Angelloy et les chefs électriciens Skis Kioyssis et Babis Kaldirimitzis qui m’ont assisté pendant tout le tournage.

J’ai utilisé une caméra Arri 535, un zoom Angénieux 24-290 mm et la pellicule Kodak Vision2 500 ISO, pour tout le film. Le tournage comportait beaucoup de séquences nuit, intérieurs jour et nuit et, en extérieur jour, je ne savais jamais si j’aurais assez de lumière.
Les laboratoires étaient Cinecitta pour le négatif et les copies, Cinecitta Prossima pour les effets spéciaux.

Équipe

1er assistant caméra : Thodoros Michopoylos
Chef machiniste : Yorgos Angelloy
Chefs électriciens : Skis Kioyssis et Babis Kaldirimitzis

Technique

Pellicule : Kodak Vision2 500 ISO
Caméra : Arri 535, zoom Angénieux 24-290 mm
Laboratoires (négatif et copies) : Cinecitta
Effets spéciaux : Cinecitta Prossima