Léonce-Henri Burel

Direction de la photographie

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Articles (1)

A la mémoire de Jean Charvein
Par Jean-César Chiabaut

Jean Charvein

Jean a été mon premier " ami de cinéma " et l’est resté. Grâce à lui je suis " entré dans la carrière ", il m’a recruté en 1956 comme deuxième assistant dans l’équipe de Léonce-Henri Burel, parce que j’étais un Niçois, comme lui et le cadreur, Henri Raichi – pour un film de Robert Bresson, Le Condamné à mort s’est échappé.

Articles (30)

Projections de "Jerry Schatzberg, Portrait paysage", documentaire de Pierre Filmon mis en images par Olivier Chambon, AFC
Pierre Filmon et Olivier Chambon reviennent sur leur travail

Rencontres, Projections, Diffusions

Après sa première mondiale à la Mostra de Venise l’an dernier et sa première américaine au 20e Morelia FF au Mexique, le film de Pierre Filmon Jerry Schatzberg, Portrait paysage, photographié par Olivier Chambon, AFC, aura sa première française le 3 septembre au Festival de Deauville, suivie d’une projection unique à la Cinémathèque française, le 5 septembre.

Renaud Chassaing, AFC, et le réalisateur Frédéric Tellier reviennent sur leurs choix pour le tournage de "L’Abbé Pierre, une vie de combats”,
Prêtre, soldat, député & chiffonnier, par François Reumont

Les entretiens au Festival de Cannes 2023

Après Sauver ou périr et Goliath, deux films inspirés d’histoires vraies, le réalisateur Frédéric Tellier et le directeur de la photographie Renaud Chassaing, AFC, se sont attaqués à un biopic sur un homme au destin exceptionnel, longtemps resté la personnalité préférée des Français. L’Abbé Pierre, une vie de combats raconte donc sur un peu plus de deux heures la vie de Henri Groues, depuis sa formation chez les moines Capucins dans la Drôme (1937) jusqu’à sa disparition en 2007 à l’âge de 94 ans. 70 ans d’une vie hors du commun, incarné à l’écran par un Benjamin Lavernhe dont la voix et l’interprétation sont stupéfiantes. Retour sur le tournage de ce portrait risqué avec Renaud Chassaing. (FR)

Décès de Michel Bubola, chef électricien, un rayon de soleil nous manque
Par Marie Spencer, AFC

In memoriam

C’est avec beaucoup de tristesse que j’ai appris que Michel Bubola était décédé le 15 février dernier. Il avait 59 ans. Il est parti beaucoup trop tôt. Il a été mon chef électro pendant plus de 14 ans. C’était un homme très attachant, ô combien talentueux !, passionné de cinéma et de lumière, bon vivant, excellent cuisinier, hôte exceptionnel.

Death of Jimmy Glasberg, AFC, (1940-2023), a Man with a Movie Camera

Jimmy Glasberg

Cinematographer Jimmy Glasberg, AFC, passed on 13 January 2023, aged 83. He was the direct descendant of the pioneering "camera men" who weren’t yet called "directors of photography". Jimmy Glasberg, in both his thinking and his work, constantly questioned what it means to film and what he called "the filial passage from a still image to a moving image." He left behind a filmography that is rich in both its diversity and its ideological commitments.

Disparition de Jimmy Glasberg, AFC, (1940-2023), un homme à la caméra

Jimmy Glasberg

Le directeur de la photographie Jimmy Glasberg, AFC, nous a quittés le 13 janvier 2023, dans sa quatre-vingt-troisième année. Héritier de ces pionniers, ces "hommes à la caméra" que l’on n’appelait pas encore "directeurs de la photographie", Jimmy Glasberg interrogea toute sa vie, par ses réflexions comme dans son travail, l’acte de filmer et ce qu’il appelait « le passage filial de l’image fixe à l’image animée. » Il nous laisse une filmographie riche par sa diversité et ses engagements.

Edouard Weil et Alice Girard, Prix Daniel Toscan du Plantier 2022

Prix, Trophées, Académies, Meilleure photo

L’Académie des César a annoncé les lauréats 2022 du Prix Daniel Toscan du Plantier, qui distingue chaque année la productrice ou le producteur ayant, par son travail et sa détermination, le plus marqué l’année cinématographique écoulée. Mardi 15 février, Alain Attal et Henri de Roquemaurel ont remis le prix à Edouard Weil et Alice Girard (Rectangle Productions).

Parution des "As de la manivelle", de Priska Morrissey
Le métier d’opérateur de prises de vues cinématographiques en France (1895-1930)

Livres et revues

« Tourneurs de manivelle », « as de la manivelle », « tourneurs de moulins à café » : autant d’expressions qui renvoient au métier d’opérateur de prise de vues cinématographiques dont Les As de la manivelle, livre de Priska Morrissey paru en janvier, vise à retracer l’histoire inédite.

Séance de Q&R avec Matias Boucard, AFC, à propos du film "Eiffel", de Martin Bourboulon

Les entretiens de Camerimage

Dans le biopic historique Eiffel, Martin Bourboulon fait se heurter la grande et la petite histoire. Car si la trame de fond du scénario reste la construction de la célèbre tour, le film met plutôt l’accent sur l’histoire d’amour vécue parallèlement par Gustave Eiffel. À l’image, Matias Boucard, AFC, navigue avec une grande maîtrise entre la délicate intimité de cette romance interdite et la grandiloquence métallisée du projet visionnaire qui a changé l’image de Paris à tout jamais. Présenté à Camerimage en compétition principale, Matias Boucard est revenu sur les principaux défis que lui ont posé ce film et les solutions qu’il y a trouvées, lors d’une séance de Q&R. (MC)

"Enfin le cinéma ! Arts, images et spectacles en France (1833-1907)"
Exposition au musée d’Orsay

Expositions et Musées

Organisée par le musée d’Orsay et le musée de l’Orangerie, au côté du Los Angeles County Museum of Art, l’exposition "Enfin le cinéma ! Arts, images et spectacles en France 1833-1907", présentée du 28 septembre 2021 au 16 janvier 2022, est l’occasion de rappeler, grâce à la réunion de quelque 400 œuvres, que le cinéma est la suite naturelle du cinématographe des frères Lumière, dont les "photographies animées" sont le fruit d’une succession de dispositifs visuels et d’attractions, et que les premiers films sont les héritiers de multiples pratiques, artistiques ou scientifiques, érudites ou populaires.

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A la mémoire de Jean Charvein
Par Jean-César Chiabaut

Jean Charvein

Jean a été mon premier " ami de cinéma " et l’est resté. Grâce à lui je suis " entré dans la carrière ", il m’a recruté en 1956 comme deuxième assistant dans l’équipe de Léonce-Henri Burel, parce que j’étais un Niçois, comme lui et le cadreur, Henri Raichi – pour un film de Robert Bresson, Le Condamné à mort s’est échappé.