Lou Doillon
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Articles (16)
Thomas Brémond, au plus près Par Ariane Damain Vergallo pour Ernst Leitz Wetzlar
Portraits de directeurs de la photographie dans l’optique de Leitz
Au début des années 1990, Thomas Brémond, qui a alors 12 ans, apprend que Jacques Doillon recherche des comédiens pour son prochain film Le Jeune Werther. Il décide de se présenter et rencontre, impressionné, le réalisateur aux cheveux longs qui le reçoit, bottes de cow-boy sur le bureau. Surpris qu’un si jeune garçon lui parle du jazzman Miles Davis, Jacques Doillon l’engage dans la foulée.
LHOMME... à la caméra Par Éric Dumage, AFC
Pierre Lhomme
Quelle belle rencontre, j’eus… de partager dix années d’assistanat caméra avec Pierre… À la fin, en 1984…, Pierre me proposa de voler de mes propres ailes, tout en précisant que si je ne trouvais pas de films, je pourrai l’appeler ! Ce n’était pas qu’il souhaitait se séparer de moi, bien au contraire, mais juste sa générosité. Notre amitié resta intacte jusqu’au bout.
Pierre Lhomme, from Sidney Bechet to the "Light of God"
Pierre Lhomme
Pierre Lhomme’s career has traversed nearly fifty years of French cinema, displaying the same ease and rigorousness with directors such as Alain Cavalier, Chris Marker, Jean Eustache, James Ivory, Joris Ivens, René Féret, Jean-Pierre Melville, Jean-Paul Rappeneau, Margurite Duras, Patrice Chéreau, Robert Bresson, Bruno Nuytten, and others. These richly-diverse collaborations were all nourished by an attentive and uninterrupted observation of natural lighting in all of its forms : “I train my eye everywhere, in the street, in the cinema. I am very curious about gazes, ambiences, climates. Reality is a prodigious source of inspiration.” (P.L.)
Pierre Lhomme, de Sidney Bechet à "la lumière du bon Dieu"
Pierre Lhomme
La carrière de Pierre Lhomme traverse près de cinquante ans de cinéma français, passant avec la même aisance et les mêmes exigences d’Alain Cavalier à Chris Marker, de Jean Eustache à James Ivory, de Joris Ivens à René Féret, de Jean-Pierre Melville à Jean-Paul Rappeneau, de Marguerite Duras à Patrice Chéreau, de Robert Bresson à Bruno Nuytten…, collaborations riches par leur diversité qui se nourrissent d’une observation attentive et ininterrompue de la lumière naturelle sous toutes ses formes : « Je fais mon œil partout, dans la rue, au cinéma. Je suis très curieux de regards, d’ambiances, de climats. La réalité est une source d’inspiration prodigieuse ». (P. L.)
Le directeur de la photographie Christophe Beaucarne, AFC, SBC, parle de son travail sur "Rodin", de Jacques Doillon
Les entretiens au Festival de Cannes
Pour cette première collaboration avec Jacques Doillon, Christophe Beaucarne, AFC, SBC, plonge dans l’univers de la création du grand plasticien Rodin. Il propose pour ce film d’époque une image organique, en lumière naturelle, et crée une véritable alliance entre la terre et le blanc des hautes lumières.
Pour un homme, avec respect ! Par Christine Keller-Monge, chef monteuse
Jacques Monge
Christine Keller-Monge rend hommage à Jacques Monge, "son compagnon, son camarade, le père de ses enfants."
Où le directeur de la photographie Laurent Fénart parle de son travail sur "Fatima", de Philippe Faucon
Les entretiens au Festival de Cannes
Laurent Fénart travaille avec Philippe Faucon depuis 2001 – c’était à l’occasion d’un téléfilm pour Arte, Grégoire peut mieux faire. Formé au cinéma à l’ENS Louis-Lumière et sorti en 1996, ayant signé les images d’une vingtaine de documentaires, il a cophotographié, avec Laurent Chalet, AFC, en 2013, Mes séances de lutte, de Jacques Doillon. Fatima, qui est sélectionné cette année à la Quinzaine des réalisateurs, est le sixième film qu’il tourne avec Philippe Faucon. (JNF)
Aux aguets Présentation de la rétrospective Caroline Champetier à la Cinémathèque française, par Bernard Payen
Cinémathèque française
Comment approcher et saisir l’intimité extrême de personnages cinématographiques ? La directrice de la photographie Caroline Champetier, en 33 ans et environ 70 films, a su répondre à cette question en nouant des liens fidèles avec les cinéastes Xavier Beauvois, Jacques Doillon, Claude Lanzmann, Benoit Jacquot, établissant également des ponts entre Jean-Luc Godard, Arnaud Desplechin, Philippe Garrel et Leos Carax, sans oublier Nobuhiro Suwa ou Amos Gitai. Elle continue d’accompagner de jeunes cinéastes, comme le palestinien Tawfik Abu Wael ou récemment Hélène Zimmer.
Cinematographer Caroline Champetier, AFC, discusses her work on "Holy Motors" by Léos Carax
Les entretiens au festival de Cannes
Caroline Champetier, AFC, has worked alongside Jean-Luc Godard, Claude Lanzmann, Benoît Jacquot, Jacques Doillon, Amos Gitai, Arnaud Desplechin and Xavier Beauvois, to name a few. It was thanks to the success of Of Gods and Men (Des hommes et des dieux) that she won the César award for Best Cinematography in 2001. Her work has been frequently selected for competition in the Cannes Film Festival (The Sentinel, Don’t Forget You’re Going to Die, The School of Flesh, H Story, Tokyo, Of Gods and Men), she is back this year with Holy Motors, the first new feature-length film by Léos Carax in eleven years. This film reprises ten characters, including the character invented during their 2008 collaboration on the Merde segment from the skit-based film Tokyo, also directed by Michel Gondry and Bong Joon Ho).
Films (3)
Haut les filles
de François Armanet
Produit par Incognita Films, Arte France Cinéma
Photographié par
Guillaume Schiffman, AFC , Nicolas Bordier, Romain Carcanade
Un enfant de toi
de Jacques Doillon
Photographié par
Renato Berta, AFC , Laurent Chalet, AFC
Lire la fiche technique
Gigola
de Laure Charpentier
Photographié par
Yorgos Arvanitis, AFC , GSC