Martin Levent

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Interview with Yves Cape, AFC, SBC
About his work on "Persecution" by Patrice Chereau and "White Material" by Claire Denis

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Eric Guichard : Yves Cape, hello. Two films that you’ve photographed were in competition at the 2009 Venice Film Festival. Let’s talk about both films, but perhaps we can begin by talking about the one by Patrice Chereau.

You spoke to me about doing tests with the Red, but you ended up shooting in 35 mm. When did you decide to do these tests in Red and why the final choice of 35 mm ?
}}Yves Cape : During one of my first encounters with Patrice Chereau, he discussed the possibility of making a film in HD without being specific. He wanted to know if I was up for it. Without hesitation, my answer was yes. Once it was established that I was doing the film, Patrice told me his idea : he had documented one of his plays with the Red and had been surprised by the quality. He wanted to explore that option to see what it could bring from an aesthetic and an economic standpoint.

Entretien avec Yves Cape, AFC, SBC
A propos de son travail sur "Persécution" de Patrice Chéreau et "White Material" de Claire Denis

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Eric Guichard : Yves Cape, bonjour. Deux films que tu as photographiés sont en compétition au festival de Venise. Alors si tu veux bien, on va parler de ces deux films et en premier peut-être de celui de Patrice Chéreau, puisque tu m’avais appelé un jour pour me demander ce que je pensais de faire des essais en RED, et finalement tu as tourné en 35 mm. On peut peut-être commencer par cette question-là : à quel moment avez-vous décidé de faire ces essais en RED et pourquoi finalement le choix du 35 mm ?

Yves Cape : Lors d’une de mes premières rencontres avec Patrice, il a évoqué la possibilité de faire le film en HD, sans précision. Il voulait savoir si même dans ces conditions, j’étais partant. Sans hésitation, ma réponse a été oui.

Alain Levent
par Marc Salomon, membre consultant de l’AFC

Alain Levent

J’ai été l’assistant d’Alain Levent dans les années 1986-89, et si nos chemins ont bifurqué par la suite, je n’ai jamais oublié notre première rencontre. Alors en pleine préparation d’un film de Jean-Claude Guiguet (Faubourg Saint-Martin), Alain fit part de sa recherche d’un assistant. L’ingénieur du son, J.-F. Chevalier, croisé sur un court métrage, lui donna mes coordonnées et quelques jours plus tard je rencontrai Alain dans un bar du quartier de la gare de l’Est. Comme je lui faisais part de mon relatif manque d’expérience au poste de premier assistant, il me répondit simplement : « Tu m’es recommandé par un ami, alors je te fais confiance. »

Alain Levent, l’acrobate
par N. T. Binh

Alain Levent

J’ai connu Alain par ma sœur Minh-Tâm, qui était assistante d’Ariane Boeglin sur des films de Tavernier. Ariane est chef monteuse, et elle formait avec Alain un vrai " couple de cinéma " : pas un couple pour les feux des projecteurs et la une des magazines, non ! Un couple d’enfants du cinéma. Un couple de parents de cinéma comme tous les gamins cinéphiles rêvent d’en avoir (ils en ont de la chance, Martin et Marie ! Les miens m’ont dirigé vers la médecine…). Le public ne connaît pas le nom d’Alain : il fait partie de ces artistes de l’ombre dont le métier est la lumière.

Films (2)