Maurice Pialat
par Emmanuel MachuelJ’ai pensé, comme d’autres avant moi, que le tournage s’annonçait relativement...
De toute façon, mon admiration pour Loulou et A nos amours me donnait le courage voulu.
Le tournage s’est révélé difficile, mais j’ai toujours apprécié et admiré son inlassable énergie à reprendre, alors que nous pensions la séquence en boîte, la même scène encore sous un autre angle : sa façon de tirer le meilleur de nous tous, acteurs et techniciens, avec parfois une certaine " violence ".
Mais il reste cette phrase dont je me souviens souvent, combien appréciable pour un chef opérateur : « Les belles lumières ne durent jamais. »
De toute façon, mon admiration pour Loulou et A nos amours me donnait le courage voulu.
Le tournage s’est révélé difficile, mais j’ai toujours apprécié et admiré son inlassable énergie à reprendre, alors que nous pensions la séquence en boîte, la même scène encore sous un autre angle : sa façon de tirer le meilleur de nous tous, acteurs et techniciens, avec parfois une certaine " violence ".
Mais il reste cette phrase dont je me souviens souvent, combien appréciable pour un chef opérateur : « Les belles lumières ne durent jamais. »