Pierre-Marie Paubel
Direction de la photographie
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Articles (30)
Quand Pierre Lhomme évoquait "L’Armée des ombres", de Jean-Pierre Melville
Pierre Lhomme
Lors d’une projection AFC à La fémis, le 3 octobre 2005, Pierre Lhomme était intervenu pour présenter le film, et son travail de restauration effectué l’année précédente. Après la projection, il a répondu aux questions de ses collègues. La retranscription de ses propos ci-dessous a été publiée en 2006 dans le n° 1 de la revue Lumières / les cahiers AFC.
Pierre Lhomme, from Sidney Bechet to the "Light of God"
Pierre Lhomme
Pierre Lhomme’s career has traversed nearly fifty years of French cinema, displaying the same ease and rigorousness with directors such as Alain Cavalier, Chris Marker, Jean Eustache, James Ivory, Joris Ivens, René Féret, Jean-Pierre Melville, Jean-Paul Rappeneau, Margurite Duras, Patrice Chéreau, Robert Bresson, Bruno Nuytten, and others. These richly-diverse collaborations were all nourished by an attentive and uninterrupted observation of natural lighting in all of its forms : “I train my eye everywhere, in the street, in the cinema. I am very curious about gazes, ambiences, climates. Reality is a prodigious source of inspiration.” (P.L.)
Pierre Lhomme, de Sidney Bechet à "la lumière du bon Dieu"
Pierre Lhomme
La carrière de Pierre Lhomme traverse près de cinquante ans de cinéma français, passant avec la même aisance et les mêmes exigences d’Alain Cavalier à Chris Marker, de Jean Eustache à James Ivory, de Joris Ivens à René Féret, de Jean-Pierre Melville à Jean-Paul Rappeneau, de Marguerite Duras à Patrice Chéreau, de Robert Bresson à Bruno Nuytten…, collaborations riches par leur diversité qui se nourrissent d’une observation attentive et ininterrompue de la lumière naturelle sous toutes ses formes : « Je fais mon œil partout, dans la rue, au cinéma. Je suis très curieux de regards, d’ambiances, de climats. La réalité est une source d’inspiration prodigieuse ». (P. L.)
Marie Spencer, présentée par Yves Cape, AFC, SBC
Nouveaux venus à l’AFC
Je connais Marie depuis fort longtemps. Nous avons beaucoup travaillé ensemble, dans toutes les configurations possibles. Marie, c’est ma petite sœur de cinéma.
Marie-Jo et ses 2 amours de Robert Guédiguian, photographié par Renato Berta
En Sélection officielle
« Robert m’avait proposé un de ses premiers films, je n’étais pas libre. On dit que si Robert sort de Marseille, il meurt, comme un poisson hors de son bocal, même si, pour ce film, on est allé jusqu’au Frioul ! Son cinéma est apparemment simple, proche d’un certain naturalisme, « je veux que mon père comprenne le film », dit-il. En fait, il existe une lecture à plusieurs niveaux, servie par une mise en scène simple et efficace, avec un bon travail de comédiens. Marie-Jo a deux amours. Nous nous sommes beaucoup interrogés sur la façon (...)
Jean-Marie Dreujou, AFC, accueilli en tant que nouveau membre de l’ASC
Actualités AFC
Dans la rubrique "Clubhouse News" de l’American Cinematographer de mars 2023, l’article "Society Welcomes" fait part de l’accueil de Jean-Marie Dreujou, AFC, en tant que nouveau membre de l’ASC et le présente en quelques lignes – avec quatre autres nouveaux venus –, de ses études à l’ÉSEC (Ecole supérieure d’études cinématographiques) au film de Jean-Jacques Annaud Notre-Dame brûle.
Marie-Hélène Pinon, Molière 2009 du Créateur lumière
Scènes et Lumières
Lors de la 23e Nuit des Molières, présidée par Bernard Giraudeau, le Molière du créateur lumière a été attribué à Marie-Hélène Pinon pour Le Diable rouge d’Antoine Rault, mise en scène
de Christophe Lidon.
Témoignage de Marie-Claude Treilhou, réalisatrice
Jean-Yves Escoffier
Un premier film, pour lui comme pour moi, qui ne savais rien, avec la peur au ventre à en crever, la décomposition panique, et lui si frêle qui tenait hors de l’eau, avec la patience des anges, et cette foi du charbonnier qui a sauvé "Simone Barbès" du naufrage. Même si nos chemins se sont séparés par la suite, avec des options radicalement différentes en matière cinématographique, ce sont des choses qu’on n’oublie pas.
Tout récemment, il revenait en France en coup de vent, voyait "Un petit cas de conscience", disait ne pas comprendre (...)
Mikael Monod, le " gaffer " français de " Marie Antoinette " à l’honneur de l’" American Cinematographer "
Livres et revues
On lira l’American Cinematographer d’octobre 2006 un article sur le tournage en France de Marie Antoinette de Sofia Coppola photographié par Lance Acord, ASC, secondé par le " gaffer " français Mikael Monod (qui a aussi fourni une partie des photos qui illustrent le texte).
Films (1)
Des feux dans la nuit
de Dominique Lienhard
Produit par Offshore, Hélicotronc
Photographié par
Pascale Marin, AFC
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