Plaidoyer pour un apaisement
par Jean-Jacques Bouhon, président de l’AFCOr, ce qui se passe actuellement et qui a été qualifié de « Guerre des laboratoires » par certains journaux professionnels ne laisse pas de nous inquiéter.
L’AFC espère donc prochainement la fin d’une situation qui lui semble préjudiciable à l’avenir de l’industrie cinématographique française et attend impatiemment les nouvelles dispositions que doivent mettre en place le CNC et le gouvernement en faveur des industries techniques, lourdement handicapées par les décisions prises à Bruxelles qui les écartent de l’exception culturelle. Les œuvres ne surgissent pas du néant par génération spontanée. La culture a besoin d’outils pour créer ces œuvres, le cinéma ne serait rien sans ses partenaires techniques.
L’AFC espère donc prochainement la fin d’une situation qui lui semble préjudiciable à l’avenir de l’industrie cinématographique française et attend impatiemment les nouvelles dispositions que doivent mettre en place le CNC et le gouvernement en faveur des industries techniques, lourdement handicapées par les décisions prises à Bruxelles qui les écartent de l’exception culturelle. Les œuvres ne surgissent pas du néant par génération spontanée. La culture a besoin d’outils pour créer ces œuvres, le cinéma ne serait rien sans ses partenaires techniques.