Souleymane Cissé

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Le chemin de Jean-Jacques Bouhon vers la lumière
Par Marc Salomon, membre consultant de l’AFC

Jean-Jacques Bouhon

J’ai connu Jean-Jacques Bouhon en 1981, dans une école privée où il venait nous encadrer (en alternance avec Jean-Noël Ferragut) sur des exercices de tournage en Super 16, sous forme de petits courts métrages. C’était pour nous le premier et unique contact avec la réalité du travail de prise de vues où notre "soif de pellicule" se confrontait enfin aux contraintes de la mise en scène et des décors.

Décès du directeur de la photographie Jean-Jacques Bouhon, AFC

Jean-Jacques Bouhon

Les directeurs de la photographie de l’AFC ont la profonde tristesse de faire part du décès de leur confrère et ami Jean-Jacques Bouhon, AFC, survenu mercredi 27 septembre 2017 des suites d’une grave maladie, à l’âge de soixante-dix ans. A côté de son travail photographique – du cadre de 3 hommes et un couffin, de Coline Serreau, aux images de La Vérité si je mens, de Thomas Gilou, en passant par celles de Lune froide, de Patrick Bouchitey, ou de La Soule, de Michel Sibra –, et de ses grandes qualités humaines, Jean-Jacques aura beaucoup œuvré au sein de notre association, du département Image de La fémis et de la CST.

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Le chemin de Jean-Jacques Bouhon vers la lumière
Par Marc Salomon, membre consultant de l’AFC

Jean-Jacques Bouhon

J’ai connu Jean-Jacques Bouhon en 1981, dans une école privée où il venait nous encadrer (en alternance avec Jean-Noël Ferragut) sur des exercices de tournage en Super 16, sous forme de petits courts métrages. C’était pour nous le premier et unique contact avec la réalité du travail de prise de vues où notre "soif de pellicule" se confrontait enfin aux contraintes de la mise en scène et des décors.

Décès du directeur de la photographie Jean-Jacques Bouhon, AFC

Jean-Jacques Bouhon

Les directeurs de la photographie de l’AFC ont la profonde tristesse de faire part du décès de leur confrère et ami Jean-Jacques Bouhon, AFC, survenu mercredi 27 septembre 2017 des suites d’une grave maladie, à l’âge de soixante-dix ans. A côté de son travail photographique – du cadre de 3 hommes et un couffin, de Coline Serreau, aux images de La Vérité si je mens, de Thomas Gilou, en passant par celles de Lune froide, de Patrick Bouchitey, ou de La Soule, de Michel Sibra –, et de ses grandes qualités humaines, Jean-Jacques aura beaucoup œuvré au sein de notre association, du département Image de La fémis et de la CST.

Le directeur de la photographie Antoine Héberlé, AFC, parle de son travail sur "Grisgris", de Mahamat-Saleh Haroun

Interviews at Cannes

Antoine Héberlé entame sa carrière en 1993 avec Laurence Ferreira Barbosa en éclairant son premier long métrage Les gens normaux n’ont rien d’exceptionnel, puis il travaille à plusieurs reprises sur les films de Laetitia Masson (A vendre, Love me, La Repentie, Coupable, Petite fille). Il a également collaboré avec Alain Guiraudie (Pas de repos pour les braves, Voici venu le temps), Stéphane Brizé (Mademoiselle Chambon, Quelques heures de printemps). Il tourne en Palestine pour Paradise Now, un film de Hany Abu Assad sélectionné aux Oscars (Meilleur film étranger) en 2006 et qui remporte le Golden Globe pour la même nomination. Il a également éclairé un film israélien, Les Méduses, d’Edgar Keret et Shira Geffen, Caméra d’or à Cannes en 2007. Nous le retrouvons sur la Croisette pour le seul film représentant l’Afrique à Cannes, Grisgris. (BB)

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