Témoignage de Jean-Jacques Bouhon, AFC
Il y a presqu’exactement 18 ans, nous dînions ensemble dans un restaurant chinois du 14e arrondissement. Nous préparions "Trois hommes et un couffin", tu devais en être le directeur de la photo et moi le cadreur. Tu avais voulu parler avec moi en tête à tête de notre collaboration ; tu savais que je travaillais déjà comme directeur de la photo et tu t’inquiétais que je me sente frustré au poste de cadreur. J’ai voulu tout de suite te rassurer. Et je pense qu’il y eut une vraie complicité entre toi, Coline et moi pendant tout le tournage, même si ce ne fut pas facile tous les jours...
Ce que j’admirais le plus chez toi, en dehors de ta capacité d’invention, c’était ta ténacité : jamais tu n’as « lâché le morceau », particulièrement face à la production, quand tu pensais avoir raison pour le bien du film.
Depuis, quand j’ai un conflit avec une production, je pense à toi... Et je continuerai...
Au revoir, Jean-Yves.
Ce que j’admirais le plus chez toi, en dehors de ta capacité d’invention, c’était ta ténacité : jamais tu n’as « lâché le morceau », particulièrement face à la production, quand tu pensais avoir raison pour le bien du film.
Depuis, quand j’ai un conflit avec une production, je pense à toi... Et je continuerai...
Au revoir, Jean-Yves.