Témoignage de Thérèse Chevalier (Ciné Lumières de Paris)

La Lettre AFC n°121

Il avait choisi d’être et non de paraître. Et là aussi, il en a payé le prix dans ce milieu où l’on confond trop facilement talent et relations publiques.
Lors de notre dernière rencontre à Paris, c’est un homme apaisé, serein, heureux, que j’ai côtoyé quelques heures pendant un tournage.
Il me disait : « Toi qui me connais depuis près de vingt ans, comment me trouves-tu ? »
Lumineux ! C’est le mot qui me vient à l’esprit aujourd’hui, sans jeu de mots !
Jean-Yves, tu ne nous as pas quittés, tu fais partie de nos vies à jamais.