Virginie Efira

Interprétation

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Articles (9)

Guillaume Schiffman, AFC, parle de son travail à l’image sur "Rien à perdre !", de Delphine Deloget
Par Brigitte Barbier, pour l’AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2023

En sélection à Un Certain Regard de ce 76e Festival de Cannes, Rien à perdre ! est le premier long métrage de la documentariste Delphine Deloget. Elle avait déjà traité de la relation filiale dans son documentaire L’Homme qui cherchait son fils, où un père à la recherche de son fils, probablement kidnappé, défie les autorités chinoises. Dans Rien à perdre !, Virginie Effira interprète une mère qui se bat contre la justice française et son manque de discernement envers la protection de l’enfance. Ce drame social, entièrement tourné à Brest, est accompagné par l’image sobre, réaliste, de Guillaume Schiffman AFC. Il développe ici son désir de proposer une image, certes réaliste mais de cinéma, comme il se plaît à le souligner. (BB)

Conversation with Stéphane Fontaine, AFC, about his work on "Paris Memories" by Alice Winocour

Les entretiens de Camerimage

In Paris Memories, Virginie Efira plays Mia, a victim of the 13 November 2015 attacks, who returns to Paris three months after the attack and attempts to recover her memories of the event. With sincerity and humility, the film paints the portrait of a young woman and a city, both of whom are trying to rebuild after the trauma. After having been presented at the Directors’ Fortnight at Cannes, the film was presented at Camerimage, in the Contemporary World selection. On that occasion, Margot Cavret met with Stéphane Fontaine, AFC, cinematographer on this film, to discuss his first project with director Alice Winocour.

Conversation avec Stéphane Fontaine, AFC, à propos de son travail sur "Revoir Paris”, d’Alice Winocour

Les entretiens de Camerimage

Dans Revoir Paris, Virginie Efira incarne Mia, une victime des attentats du 13 novembre 2015, revenant à Paris trois mois après l’attaque, et cherchant à retrouver ses souvenirs de l’événement. Avec sincérité et pudeur, le film dresse le portrait d’une jeune femme et d’une ville qui cherchent toutes deux à se reconstruire après le traumatisme. Après une sélection à la Quinzaine des réalisateurs, le film est présenté à Camerimage, dans la sélection Contemporary World. A cette occasion, Margot Cavret a rencontré Stéphane Fontaine, AFC, directeur de la photographie de ce film, pour évoquer avec lui cette première collaboration avec la réalisatrice Alice Winocour.

Mise en ligne de la captation de l’Appel à des États généraux du cinéma 2022, en formats courts ou longs

Actualités AFC

Vendredi 6 octobre 2022, des professionnels du cinéma, des organisations et des associations du secteur se sont réunies pour lancer un "Appel à des États généraux du cinéma", faisant suite à une tribune publiée en mai dernier dans Le Monde et intitulée "Les choix politiques de nos institutions fragilisent gravement le cinéma". Plus de 1 500 personnes ont suivi les débats à l’Institut du monde arabe et sur la plateforme YouTube. Ces échanges sont maintenant accessibles ici sous forme de trois modules de plus ou moins 40 minutes reprenant les thématiques de la journée, précédés de 24 "capsules" de quelques minutes reprenant les points forts des interventions.

Le travail de Sébastien Buchmann, AFC, sur "Don Juan", de Serge Bozon, dans les pages du "British Cinematographer" n° 112

Livres et revues

Le n° 112 - juillet 2022 - de la revue British Cinematographer, initiée par la BSC (British Society of Cinematographers), publie dans ses pages consacrées au travail de chefs opérateurs sur un de leurs films les plus récents – Mandy Walker, ASC, ACS, Claudio Miranda, ASC, Anthony Dod Mantle, BSC, ASC, DFF, entre autres –, un article sur la façon dont Sébastien Buchmann, AFC, et le réalisateur Serge Bozon ont abordé la mise en images du film de ce dernier, Don Juan, tourné en pellicule.

Cinematographer Alexis Kavyrchine evokes his collaboration with Albert Dupontel on "Bye Bye Morons"
Albert’s Little World

Entretiens avec des directeurs de la photographie

For his seventh film as director, actor and director Albert Dupontel chose a rather pessimistic dark comedy in which, as is usual in his films, contemporary social reality sometimes slips into an expressionist world that is akin to that of comic books. Alexis Kavyrchine (Perdrix, La Douleur, Ce qui nous lie) was in control of the cinematography. He discusses the way the filmmaker works in order to construct his unique and personal universe. (FR)

Alexis Kavyrchine évoque sa collaboration avec Albert Dupontel sur "Adieu les cons"
Le petit monde d’Albert

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Pour son septième film en tant que metteur en scène, le comédien et réalisateur Albert Dupontel a choisi une comédie noire assez pessimiste où, comme à son habitude, la réalité sociale contemporaine vient parfois déraper au gré d’un univers expressionniste souvent proche de la bande dessinée. C’est Alexis Kavyrchine (Perdrix, La Douleur, Ce qui nous lie...) qui est cette fois-ci aux commandes de l’image. Il nous parle de la méthode de travail de ce cinéaste qui a su se construire un univers bien à lui. (FR)

Irruption à Stromboli
Entretien avec le directeur de la photographie Simon Beaufils à propos de son travail sur "Sibyl", de Justine Triet

Les entretiens au Festival de Cannes

Le troisième long métrage de Justine Triet est un nouveau portrait de femme incarné par Virginie Efira, comme pour Victoria. C’est la chute vertigineuse de Sibyl dans la vie de l’autre, Margot - Adèle Exarchopoulos -, et une mise en abyme dans ses propres souvenirs qui va lui permettre de renouer avec sa vie.
Simon Beaufils signe ici une image hollywoodienne et jongle entre douceur de peau et effets de sodium dans la nuit urbaine. (BB)

Articles (30)

Virginie Surdej, directrice de la photographie, parle de son travail sur "Une famille syrienne", de Philippe Van Leeuw, AFC

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Je me souviens très précisément de l’état dans lequel j’étais lorsque j’ai terminé ma première lecture du scénario d’Une Famille syrienne : j’étais bouleversée et même physiquement essoufflée. J’avais le sentiment d’avoir moi-même vécu cette journée de guerre. Pas la guerre comme on l’imagine : aventureuse, héroïque, sur le front… Masculine…

Au palmarès du 10e Festival du Film Francophone d’Angoulême

Films AFC dans les festivals

La 10e édition du Festival du Film Francophone d’Angoulême s’est déroulée du 22 au 27 août 2017. Présidé par John Malkovich, le jury a décerné le Valois de diamant à Petit paysan, d’Hubert Charuel, photographié par Sébastien Goepfert. Philippe Van Leeuw, AFC, s’est vu remettre le Valois de la mise en scène pour Une famille syrienne, photographié par Virginie Surdej, film pour lequel Hiam Abbass et Diamand Abou Abboud ont reçu ex æquo le Valois de l’actrice, et qui a obtenu le Valois du public.

Articles (3)

Laurent Tangy, AFC, évoque le tournage de "L’Amour et les forêts", de Valérie Donzelli
Par Brigitte Barbier, pour l’AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2023

Pour son sixième long métrage, la comédienne et réalisatrice Valérie Donzelli adapte le roman éponyme L’Amour et les forêts, d’Éric Reinhardt publié, en 2014. Ce thriller psychologique nous montre la mécanique de la culpabilité et de la maltraitance dans une mise en scène tenue et une direction d’acteurs impeccable. L’image qui accompagne la tension dramaturgique du film est signée par Laurent Tangy, AFC. Il revient sur ce tournage entre mer et forêt, entre argentique et numérique. L’Amour et les forêts est présenté à Cannes Première au Festival de Cannes 2023. (BB)

Guillaume Schiffman, AFC, parle de son travail à l’image sur "Rien à perdre !", de Delphine Deloget
Par Brigitte Barbier, pour l’AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2023

En sélection à Un Certain Regard de ce 76e Festival de Cannes, Rien à perdre ! est le premier long métrage de la documentariste Delphine Deloget. Elle avait déjà traité de la relation filiale dans son documentaire L’Homme qui cherchait son fils, où un père à la recherche de son fils, probablement kidnappé, défie les autorités chinoises. Dans Rien à perdre !, Virginie Effira interprète une mère qui se bat contre la justice française et son manque de discernement envers la protection de l’enfance. Ce drame social, entièrement tourné à Brest, est accompagné par l’image sobre, réaliste, de Guillaume Schiffman AFC. Il développe ici son désir de proposer une image, certes réaliste mais de cinéma, comme il se plaît à le souligner. (BB)

Irruption à Stromboli
Entretien avec le directeur de la photographie Simon Beaufils à propos de son travail sur "Sibyl", de Justine Triet

Les entretiens au Festival de Cannes

Le troisième long métrage de Justine Triet est un nouveau portrait de femme incarné par Virginie Efira, comme pour Victoria. C’est la chute vertigineuse de Sibyl dans la vie de l’autre, Margot - Adèle Exarchopoulos -, et une mise en abyme dans ses propres souvenirs qui va lui permettre de renouer avec sa vie.
Simon Beaufils signe ici une image hollywoodienne et jongle entre douceur de peau et effets de sodium dans la nuit urbaine. (BB)

Films (19)