Yann Gonzalez

Réalisation

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Articles (10)

Le directeur de la photographie Thomas Favel parle de son travail sur "Gaz de France", de Benoît Forgeard

Les entretiens au Festival de Cannes

Thomas Favel, sorti du département Image de La fémis en 2007, travaille avec Jean-Sébastien Chauvin, Yann Gonzalez, Shanti Masud, Davy Chou..., des réalisateurs à la recherche d’un cinéma fantaisiste et non naturaliste, très influencés par l’art contemporain. C’est autour de cette inspiration commune qu’il rencontre Benoît Forgeard qui lui propose son premier long métrage, Gaz de France.

Articles (9)

Étalonnage avec Baselight pour "Un couteau dans le cœur"

Laboratoires, Postproduction, VFX

Jérôme Brechet, directeur d’exploitation de la société Mopart et étalonneur, entre autres, d’Un couteau dans le cœur, et Thomas Eberschveiler, consultant workflow chez FilmLight, reviennent sur cette aventure technique. Ce film de Yann Gonzalez, sélectionné au Festival de Cannes 2018, et dont l’image est signée par Simon Beaufils, a été tourné en pellicule et étalonné à distance entre Paris et Mexico.

Surimpressions cannoises
Par Louise Vandeginste, membre du jury du Prix Vulcain

Festival de Cannes 2018

Louise Vandeginste, membre du jury du Prix Vulcain aux côtés d’Alain Besse, Patrick Bézier, Isabelle Gibbal-Hardy, Vincent Lowy et Aline Rolland, livre ses impressions cannoises en trois chapitres distincts. Il y est fortement question, c’est le moins qu’on puisse attendre d’une ex-étudiante tout juste sortie de l’ENS Louis-Lumière, d’image et surtout de cinéma.

Entretien avec le directeur de la photographie Simon Beaufils à propos d’"Un couteau dans le cœur", de Yann Gonzalez

Les entretiens au Festival de Cannes

Le réalisateur Yann Gonzalez concourrait pour la Caméra d’or à Cannes en 2013 avec Les Rencontres d’après-minuit. Son film Un couteau dans le cœur est en Compétition officielle de ce 71e Festival, événement assez rare pour un deuxième long métrage. Simon Beaufils, son fidèle directeur de la photographie, a travaillé récemment avec Julia Kowalski pour Crache cœur, Justine Triet pour Victoria et Christophe Regin pour La Surface de réparation. Il témoigne ici de l’engagement cinématographique de ce jeune réalisateur qu’il aime accompagner dans son grand plaisir de cinéma. (BB)

Le directeur de la photographie Simon Beaufils parle de son travail sur "Victoria", de Justine Triet

Les entretiens au Festival de Cannes

Simon Beaufils collabore à plusieurs reprises avec Vladimir Perisic (Ordinary People, Les Ponts de Sarjevo), Lucie Borleteau pour Fidélio, l’odyssée d’Alice, ou Yann Gonzalez pour Les Rencontres d’après-minuit. Il travaille dernièrement avec Julia Kowalski pour Crache cœur avant de rencontrer la réalisatrice Justine Triet qui avait été remarquée au Festival de Cannes 2013 dans la programmation de l’ACID avec La Bataille de Solférino.

Articles (30)

Le meilleur d’entre nous !
Par Caroline Champetier, AFC

In memoriam

Quand on rentrait dans la famille, il y avait les parents, chacun choisissait le sien, François Truffaut, Jacques Rivette, JLG… Il y avait les tantes, Suzanne Shiffman, Lydie Mayas, les oncles, les neveux et les nièces. Jean-François était le neveu adoré, non pas fils adoptif, comme Jean-Pierre Léaud, il venait d’ailleurs, de son Jura natal et tant aimé, et des films de Cassavettes et John Boorman.

Willy Kurant, vu au travers de quelques témoignages

Willy Kurant

La personnalité de Willy Kurant, parti le 1er mai 2021, ne laissait pas indifférent, aussi bien celles et ceux qui l’ont côtoyé dans la vie professionnelle ou que sa photographie aura marqués ou influencés que les personnes qui ont travaillé auprès de lui sur ses tournages. Nous proposons ici de lire quelques témoignages, ceux de Michel Baudour, SBC, Jean-Noël Ferragut, AFC, Eric Gautier, AFC, Jimmy Glasberg, AFC, Agnès Godard, AFC, Gilles Henry, AFC, Jean-Paul Meurisse, Jean-Paul Toraille et Eric Vaucher.

Dans l’actualité de Papa Sierra

Prises de vues spécialisées

Dans l’actualité mensuelle de Papa Sierra, la sortie, le 4 mars prochain, du long métrage documentaire d’Anastasia Mikova et Yann Arthus-Bertrand, Woman, et celle, le 18 mars, du film de Justin Pemberton et Thomas Piketty, Le Capital au XXIe siècle, riche de nombreuses de nos images.

L’actualité de Papa Sierra en novembre

Prises de vues spécialisées

Dans l’actualité de Papa Sierra ce mois-ci : inauguration de l’exposition "AlUla, merveille d’Arabie" à l’Institut du monde arabe où sont projetées des images de Yann Arthus-Bertrand et Papa Sierra ; retour sur la Mostra de Venise, une édition spéciale pour Papa Sierra avec la projection du film d’Anastasia Mikova et Yann Arthus-Bertrand, Woman ; présence sur le Paris-Tours, course cycliste de légende.

Une riche actualité de rentrée pour Papa Sierra

Prises de vues spécialisées

Après avoir été mobilisés sur le tournage du long métrage Wasp Network, d’Olivier Assayas, les systèmes gyrostabilisés de Papa Sierra ont couvert le Tour de France cycliste. Ces mois de juillet et d’août ont aussi été propices à l’utilisation de la dernière acquisition de Papa Sierra, la GSS B512. Les moyens de prise de vues aériennes de la société ont aussi été utilisés par Yann Arthus-Bertrand pour passer au crible la charpente effondrée de Notre-Dame de Paris et l’agrégat métallique issu de la fonte des échafaudages.

Pierre Lhomme, from Sidney Bechet to the "Light of God"

Pierre Lhomme

Pierre Lhomme’s career has traversed nearly fifty years of French cinema, displaying the same ease and rigorousness with directors such as Alain Cavalier, Chris Marker, Jean Eustache, James Ivory, Joris Ivens, René Féret, Jean-Pierre Melville, Jean-Paul Rappeneau, Margurite Duras, Patrice Chéreau, Robert Bresson, Bruno Nuytten, and others. These richly-diverse collaborations were all nourished by an attentive and uninterrupted observation of natural lighting in all of its forms : “I train my eye everywhere, in the street, in the cinema. I am very curious about gazes, ambiences, climates. Reality is a prodigious source of inspiration.” (P.L.)

Pierre Lhomme, de Sidney Bechet à "la lumière du bon Dieu"

Pierre Lhomme

La carrière de Pierre Lhomme traverse près de cinquante ans de cinéma français, passant avec la même aisance et les mêmes exigences d’Alain Cavalier à Chris Marker, de Jean Eustache à James Ivory, de Joris Ivens à René Féret, de Jean-Pierre Melville à Jean-Paul Rappeneau, de Marguerite Duras à Patrice Chéreau, de Robert Bresson à Bruno Nuytten…, collaborations riches par leur diversité qui se nourrissent d’une observation attentive et ininterrompue de la lumière naturelle sous toutes ses formes : « Je fais mon œil partout, dans la rue, au cinéma. Je suis très curieux de regards, d’ambiances, de climats. La réalité est une source d’inspiration prodigieuse ». (P. L.)

Articles (10)

Étalonnage avec Baselight pour "Un couteau dans le cœur"

Laboratoires, Postproduction, VFX

Jérôme Brechet, directeur d’exploitation de la société Mopart et étalonneur, entre autres, d’Un couteau dans le cœur, et Thomas Eberschveiler, consultant workflow chez FilmLight, reviennent sur cette aventure technique. Ce film de Yann Gonzalez, sélectionné au Festival de Cannes 2018, et dont l’image est signée par Simon Beaufils, a été tourné en pellicule et étalonné à distance entre Paris et Mexico.

Surimpressions cannoises
Par Louise Vandeginste, membre du jury du Prix Vulcain

Festival de Cannes 2018

Louise Vandeginste, membre du jury du Prix Vulcain aux côtés d’Alain Besse, Patrick Bézier, Isabelle Gibbal-Hardy, Vincent Lowy et Aline Rolland, livre ses impressions cannoises en trois chapitres distincts. Il y est fortement question, c’est le moins qu’on puisse attendre d’une ex-étudiante tout juste sortie de l’ENS Louis-Lumière, d’image et surtout de cinéma.

Entretien avec le directeur de la photographie Simon Beaufils à propos d’"Un couteau dans le cœur", de Yann Gonzalez

Les entretiens au Festival de Cannes

Le réalisateur Yann Gonzalez concourrait pour la Caméra d’or à Cannes en 2013 avec Les Rencontres d’après-minuit. Son film Un couteau dans le cœur est en Compétition officielle de ce 71e Festival, événement assez rare pour un deuxième long métrage. Simon Beaufils, son fidèle directeur de la photographie, a travaillé récemment avec Julia Kowalski pour Crache cœur, Justine Triet pour Victoria et Christophe Regin pour La Surface de réparation. Il témoigne ici de l’engagement cinématographique de ce jeune réalisateur qu’il aime accompagner dans son grand plaisir de cinéma. (BB)

Le directeur de la photographie Simon Beaufils parle de son travail sur "Victoria", de Justine Triet

Les entretiens au Festival de Cannes

Simon Beaufils collabore à plusieurs reprises avec Vladimir Perisic (Ordinary People, Les Ponts de Sarjevo), Lucie Borleteau pour Fidélio, l’odyssée d’Alice, ou Yann Gonzalez pour Les Rencontres d’après-minuit. Il travaille dernièrement avec Julia Kowalski pour Crache cœur avant de rencontrer la réalisatrice Justine Triet qui avait été remarquée au Festival de Cannes 2013 dans la programmation de l’ACID avec La Bataille de Solférino.