Le Monde, 12 mai 2016.
On doit à Vittorio Storaro la lumière du Dernier Tango à Paris, d’Apocalypse Now, de Reds. Et aujourd’hui de Café Society, sa première collaboration avec Woody Allen, qui fait l’ouverture, mercredi 11 mai, du 69e Festival de Cannes. Quelques jours avant la cérémonie, l’Italien reçoit dans son atelier, au milieu du jardin de sa villa, en bordure de Rome. A 75 ans, il raconte son plongeon dans le grand bain numérique, tout en surveillant du coin de l’œil son neveu, qui s’ébroue parmi les statues, les palmiers et les bassins.
Vittorio Storaro : « Je crois aux affinités électives » Par Aureliano Tonet, à Rome