Le Monde, 9 juin 2016
La durée de vie des films d’auteur en salles, de plus en plus courte, est-elle une fatalité ? Leur difficulté à exister serait-elle liée à une prétendue évolution des goûts du public ? A ces deux questions, les producteurs et distributeurs indépendants répondent généralement non, avec force : la diversité est mise à mal par le niveau de concentration sur le marché de l’exploitation en salles, expliquent-ils régulièrement dans les médias.
"La charge des “indépendants” du cinéma contre les circuits de salles" Par Clarisse Fabre