Le Monde, 14 juin 2016
Quand l’objet convoité depuis des années est à portée de main, on n’a pas envie qu’il s’échappe. C’est dans cette situation que se trouvent les intermittents du spectacle. Ils sont à deux doigts d’obtenir l’accord sur l’assurance-chômage qu’ils réclament depuis treize ans, que l’on peut résumer par le slogan des "507 heures en douze mois".
Analyse "Intermittents, si près du but…" Par Clarisse Fabre