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A lire, dans le numéro 729 des Cahiers du cinéma (janvier 2017), un article dans lequel Sébastien Ronceray rappelle à notre bon souvenir qu’il existe, depuis vingt ans déjà, un laboratoire photo-chimique pas comme les autres né des utopies de la fin du siècle dernier. A l’heure où les cuves de nos laboratoires argentiques ont à peu près toutes été vidées de leurs bains – longue vie à Hiventy et Film Factory ! – il est bon de se remémorer que des besoins spécifiques en matière de traitement d’images animées sur pellicule peuvent encore trouver réponse.