Eric Gautier, AFC, un perpétuel désir Par Ariane Damain Vergallo pour Ernst Leitz Wetzlar
Quand il était enfant, Eric Gautier passait de longs moments à Bondy, dans le magasin de fleurs de sa grand-mère. Il rêvassait en dévorant les albums de Tintin, ne sachant pas encore que son désir de cinéma naîtrait là, au milieu des couronnes mortuaires, et qu’il dirait bien plus tard : « Je dois tout à Hergé ».