Sous le titre quelque peu réducteur et provocateur Où sont passées les couleurs ? Puissance et inertie de la grisaille contemporaine, les auteurs nous proposent plusieurs analyses et réflexions nées d’un constat :
« Reste que le cinéma a parfois ressemblé, des derniers temps, à un grand nuancier, un camaïeu déroulant une gradation, évitant tout contraste ou aplat coloré. »
D’où il ressort que la notion de gris n’est pas neutre… par Marc Salomon A lire dans : Vertigo, Esthétique et histoire du cinéma / n° 23 - Été 2003