A propos d’"un mauvais rêve" de Claude Garnier et de l’"effarement" de Bruno Delbonnel, collègues et amis de l’AFC qui décrivent ces états dans la dernière lettre de novembre de notre association par Pierre-William Glenn
Je reste désespérément optimiste quant à l’avenir de l’AFC et ne veux surtout pas apparaître comme un " anti-ambiance " alors que j’essaie au contraire de faire vivre la convivialité par la discussion. Je crois qu’il faut ouvrir le débat sur qui dit quoi, et pourquoi, pour faire progresser l’AFC et la qualité de la vie associative.