Bernard Jubard nous a quittés début février, après une longue maladie qui ne fait pas souvent de cadeaux, à lui qui savait tant en faire aux autres. Pour ceux qui ne l’ont pas connu, c’était le Monsieur Kodak avant Monique Koudrine.
Engagé dans la défense de notre métier, c’était de surcroît une véritable encyclopédie du cinéma, il voyait tous les films, longs ou courts et avait le courage de dire ce qu’il en pensait à ceux qui les avaient faits.
Bernard Jubard, témoignage par Richard Andry