Bienheureux les fêlés, car ils laissent passer la lumière.
En hommage à William Lubtchansky, récemment disparu (titre de l’affiche d’une saison théâtrale que William avait déposée à l’AFC en 1999)
Bienheureux les fêlés, car ils laissent passer la lumière.
En hommage à William Lubtchansky, récemment disparu (titre de l’affiche d’une saison théâtrale que William avait déposée à l’AFC en 1999)