Il en va des outils comme des hommes qui les manipulent, ils meurent.
Il est des disparus dont on pense qu’ils « ont fait leur temps » et que « c’était peut-être mieux comme ça ». On pense que leur disparition valait mieux qu’une lente agonie, qu’un pénible chapelet de souffrances. On est triste, c’est tout.
L’éditorial de la Lettre de décembre 2014 Arane n’est plus Par Matthieu Poirot-Delpech, coprésident de l’AFC